Olivier Bailly, juge pour enfants de Dijon, pédophile notoire proposant le viol de sa fille sur internet, ne prend aucune peine au tribunal et se voit uniquement retirer le droit d’exercer sa profession. Bienvenue à Pédoland, aussi connu sous le nom de FRANCE.
RETOUR SUR UNE AFFAIRE DE 2020
Il en aura fallu du temps pour obtenir des informations sur le sort de cette ce magistrat mais une demie nouvelle vient enfin de tomber. Je dis demie et vous comprendrez rapidement pourquoi. Avant cela, un rapide rappel des faits que vous retrouverez en intégralité ici, sur notre article écrit en Aout 2020 ou sur la vidéo youtube. Le 12 juin 2020, il y a donc un an, nous apprenions qu’un magistrat, juge pour enfants, proposait à des inconnus de violer sa fille sur internet. Quelques mois plus tard, protégé par la totalité de ceux qui osent encore se nommer journalistes, après des recherches de longue haleine, nous avions enfin découvert son nom. Olivier Bailly, vice président du TGI de Dijon et juge des familles. Enquête, article et vidéo très vite repris par quelques pseudo-journaleux s’appropriant notre travail et allant jusqu’à voler nos montages d’images et des passages entiers de notre article – tels que Riposte Laïque ou Les Observateurs – l’affaire fit le tour mais pas vraiment de bruit à notre grand regret. Il s’agit quand même d’un juge pour enfants mais nul dans les mainstreams ne semblait enclin à partager ce drame et à afficher la tête de ce pédophile. L’affaire resta donc malheureusement discrète. L’homme et sa femme Sophie Bailly Vejux, elle aussi magistrate et membre de l’association « femme de justice » regroupant bon nombre de magistrats de sa trempe, possédaient ensemble un compte libertin online. Sur ce dernier, fait connu de tout le tribunal selon nos sources, ils s’adonnaient au départ à des parties sexuelles avec des inconnus où tous s’échangeaient leurs femmes. La grande classe pour des magistrats et des juges pour enfants qui osent prononcer des jugements moraux sur des familles, n’est-ce pas ? Quoi qu’il en soit, le couple (car il ne s’agit pas uniquement de Olivier Bailly) partageait et était actif sur ce compte d’échangistes. Ils se mirent à proposer leur fille de 12 ans, mettant en ligne des photos suggestives de la petite et proposèrent aux inconnus intéressés de venir la violer… C’est un utilisateur au cerveau fonctionnant normalement qui alerta la police. Un agent vint alors sous un faux profil et constata les faits lorsque les Bailly lui proposèrent, à son tour, leur enfant… Note importante, les échanges au sujet du viol de sa fille eurent aussi lieu depuis la connexion internet du tribunal de Dijon. Imaginez donc un instant… Le juge qui s’apprête à potentiellement vous retirer un enfant parce que vous avez accouché à la maison comme cette pauvre mère ou parce que vous refusiez qu’il soit vacciné avec des produits toxiques de BigPharma, lui, propose le viol de son enfant avant de rentrer dans la salle de tribunal pour foutre votre vie en l’air… Impensable et pourtant vrai. A l’époque son nom est donc dissimulé par la presse et le procureur en charge du dossier de cette ordure, Étienne Manteaux, procureur de la république de Besançon, le défend sans peur devant les caméras alors qu’il est censé le juger… Il dira que tout était dans la sphère du fantasme, qu’il n’est jamais passé à l’acte, que sa femme n’a rien à voir – alors que cette dernière utilisait le même compte que son mari donc il est impossible qu’elle ne prenait pas part à ces propositions pédophiles sur sa propre fille… – et sera innocenté immédiatement, sans procès.
ON N’EMPRISONNE PAS UN JUGE PÉDOPHILE
« Si vous me révoquez, c’est l’avenir de mes enfants que vous révoquez » Lança Bailly au CSM. Honte de rien, assume tout. Juin 2021, soit un an plus tard, voici enfin des nouvelles du pédophile sur les lignes du magazines Sud Ouest. Un long article résumant très brièvement l’histoire, très longuement la peine du pauvre pédophile et l’envie de tous de le voir disculpé. On y apprend, encore heureux, qu’il est dégagé de la magistrature par le CSM. On ose espérer que nos appels répétés durant une année pour demander s’il avait été révoqué, a joué un rôle dans cette décision. Il faut le dire, nous les avons harcelés, les faisant à chaque fois se recroqueviller dans un coin face à nos questions. Aucun ne voulait nous répondre, répétant inlassablement les mêmes mots au sujet du pédo : « Nous n’avons pas encore statué » ou encore des « le procès n’est pas terminé donc nous ne pouvons nous exprimer » et toujours des « nous ne communiquerons pas à ce sujet ». Mais la team ne lâcha pas l’affaire aussi facilement et durant l’année qui vient de s’écouler c’est pas loin d’une dizaine d’appels que nous avons passé pour faire comprendre que le peuple allait quoi qu’il arrive regarder de près si cet homme pourrait un jour retrouver son poste de juge pour familles. Et révoqué, il l’est. En revanche, il est clair, vu la tentative de Sud Ouest d’éviter la question, qu’il est aussi blanchi ou acquitté par la justice, par ses copains juges… Car à nul endroit de cet article, il est question de prison, de jugement, d’emprisonnement, de peine judiciaire quelle qu’elle soit. L’homme est donc libre comme l’air, inquiété de rien mais ne pourra plus exercer sa profession. Nous parions malgré tout, et c’est bien malheureux, que la pédojustice franc-maçonne s’est assurée qu’il touche une grasse retraite grâce à vos impôts ou sera comme tous les autres, placé dans une société discrète mais importante où il continuera de mener la belle vie. La France Oh quel beau pays… Nous remarquons très vite dans l’article de Sud Ouest, il faut le dire, qu’il y est fait 80% de références à d’autres affaires que celle dont il est question. Honnêtement, il est clair qu’ils ont purement et simplement noyé le poisson … C’est vrai qu’il aurait été difficile de faire un article sur Bailly pour uniquement signifier qu’il est révoqué de la magistrature. Il aurait été trop voyant que nul ne parle de peine de prison ou de quoi que ce soit du genre, et donc, qu’il est évident que la pédomagistrature franc-maçonne l’a bel et bien acquitté, comme il l’avait fait extrêmement rapidement avec sa femme. Honte à vous, honte à ce pays qui ne prend même plus la peine d’essayer de dissimuler le fait qu’ils protègent tout ce qui concerne la pédophile. Vous qui nous lisez pour la première fois, savez vous seulement combien de juges, hauts gradés et politiques sont tombés pour des faits similaires ? Plus que votre imagination ne vous permet d’imaginer mais grâce à la presse collaboratrice et à cette justice de pédophiles, vous n’en avez probablement pas entendu parler. N’est-ce pas ? Faites vos recherches.
MAJ 30/09/2024
Il ne faut jamais désespérer ! Bon c’est pas vraiment ce qu’on appelle une peine, mais il a été reconnu coupable.
» lundi 30 septembre, à l’issue d’un troisième procès, la cour d’appel a jugé Olivier Bailly coupable des deux infractions : l’incitation à la corruption de mineur et l’incitation à la commission d’un viol.
Il a donc été condamné à trois ans d’emprisonnement avec un sursis probatoire de trois ans, assorti de plusieurs mesures restrictives. Son autorité parentale sur sa fille lui a été retirée, et il a également été interdit d’exercer une profession en contact avec des mineurs pendant une durée de dix ans. Il a par ailleurs été inscrit au fichier des auteurs d’infractions sexuelles. »
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