VIOL D’ENFANTS – la fin du silence ? [1999]




Un horrible reportage datant du 27 Mars 1999 qui montre et prouve – peu de temps après l’affaire Dutroux – l’existence indiscutable des réseaux pédo-sataniques Français, la corruption incroyable de la magistrature, de la police et bien entendu, du gouvernement dans sa presque totalité. Il est question de Pierre et Marie qui décrivent et exposent sur dessins, en sanglots et dans une terreur toujours très palpable, des rituels, des meurtres de bébés et d’enfants, des viols en réunion. Le père étant celui qui mène les enfants à ces dits rituels. Les enfants incriminent des hommes et des femmes portant des tenues et relatant des objets et autres symboles d’appartenance franc-maçonne.

On y apprend que le père, après le dépôt de plainte de la mère, obtient illégalement accès aux procédures, chose prouvée par des enregistrements téléphoniques alors qu’il était sur écoute. Il serait inutile de décrire l’horreur de cette histoire. Voilà pourquoi nous vous proposons de visionner ce reportage car il représente, à lui seul, toutes les preuves nécessaires à convaincre les plus sceptiques quant à l’existence des réseaux d’élites pédophiles sur le sol Français.



Copie archive au cas où la vidéo disparaisse



Mais cet article a surtout pour vocation de mentionner ceci :

2019 – L’affaire Epstein éclate au grand jour. Un ou deux mois plus tard, le reportage d’Elise Lucet est censuré et réquisitionné par l’INA d’une manière que nous jugeons totalement illégale. Comprenez bien une chose. Ce reportage fut tourné par une chaîne publique (France 3). Qui dit chaîne publique, dit financement public. Nos impôts. Le contenu nous appartient donc puisque nous sommes ceux qui payons pour les diverses créations de ces dites chaînes. Pourtant, les chaînes sur les plateformes vidéo où ce reportage était rendu disponible se verront censurées et punies par les services collabos du deep state. Comprenez par-là PedoTube (youtube).

La chaine de la Team Fsociety montrait par un petit montage vidéo réunissant plusieurs affaires, une partie de ce documentaire. Il était question d’environ 30 secondes de vidéo. Cela signifie que juridiquement, c’est du « fair use » (car oui, le fair use existe aussi en France et en Europe, ceci n’est pas limité aux USA – on le nomme ici utilisation équitable). Loi permettant donc d’utiliser un petit passage d’une œuvre sous copyright. Et ne revenons même pas sur le fait que, de base, il appartient aux Français et pas à un gars à col blanc de l’INA qui répond clairement aux ordres de notre cher pédopolitique ayant ordonné la mise au secret – par la censure – de ce reportage.

Alors oui… Le monde entier venait d’être secoué par la preuve indiscutable que les réseaux pédophiles d’élites ne sont pas une rumeur mais bel et bien une réalité. Une organisation bien ficelée qui perdure depuis toujours et dont le monstre tentaculaire venait de perdre l’une de ses pattes. Retirant violemment tous les endormis de leur état végétatif induit par le contrôle mental subi par des BFM et autres médias. Alors imaginez ! La populace cherchant à savoir quels autres réseaux elle aurait pu manquer, sortant tout juste de leur lobotomisation médiatique de nos journalistes traitres favoris… Il est évident que le reportage « Viols d’enfants – la fin du silence » aurait atterri sur leurs écrans. « Non Non ! Surtout pas ! » furent probablement les hurlements des chiens végétant à nos frais dans les couloirs de l’Elysée et dans les charniers d’enfants ; leurs chambres froides secrètes avenue Foch et ailleurs, et de leurs petits copains pédophiles. « Le peuple ne doit pas en apprendre davantage ! Epstein c’est déjà assez grave pour notre réputation ! »

Car le terme Epstein, à lui seul, allait envoyer les gens sur le reportage d’Elise Lucet. Pourquoi, me diriez-vous ? Parce que l’avocate du père « présumé » pédo dans le reportage, porte le joli nom de MONIQUE SMADJA EPSTEIN. Vous comprenez ? Est-elle liée à Epstein ? Nous n’en savons rien. Tout est possible de toute façon… Mais l’homonyme était de mauvais augure pour les pervers de notre cher système pédophile. Et voilà comment les preuves dérangeantes finissent aux oubliettes de la censure gouvernementale pour empêcher le peuple de sortir d’une léthargie nécessaire à la protection du système en place.

 

#Fsociety