MADAGASCAR : l’île pour pédos retraités français



Madagascar, une ile paradisiaque, des plages magnifiques, un haut lieu touristique mais pas que …

Madagascar c’est aussi un pays caractérisé par la grande pauvreté de la population, un des pays les plus pauvres. Des familles pauvres donc vulnérables, des enfants déscolarisés, des touristes riches, voilà les bases de l’exploitation sexuelle des enfants de ce pays. Beaucoup de sexagénaires, récemment retraités, venant d’Europe ou de la Réunion, s’installent dans ce pays et se marient avec de jeunes malgaches souvent beaucoup plus jeunes qu’elles. D’autres pervers viennent y trouver des petites filles, des “vierges”, pour assouvir leur sexualité immonde. Ce phénomène perdure depuis des années, sous les yeux des autochtones, des autorités sans que quoi que ce soit, ni personne n’y mette fin. En novembre 2020, une vaste opération policière avait permis l’identification de 16 pédos soupçonnés d’avoir abusé de filles de 8 à 14 ans dans la ville de Tuléar, plus précisément sur la plage de Mangily tristement réputée pour sa prostitution infantile. 4 Seront arrêtés et mis en examen dont Patrick Coustaury, Patrick Coreti, un certain Jean-Paul et un prénommé Paul. Les autres auraient fui le pays, dont un à l’île de la Réunion et un autre en Isère (arrêté puis jugé), profitant de la campagne de rapatriement officiel des ressortissants étrangers suite au Covid-19 pour rentrer chez eux. Sachant que le Consulat général de France est informé, on peut s’attendre à ce que la justice française prenne le relais et s’occupe de ces criminels. La bonne blague, on connait la suite …



Comment fonctionne ce réseau ? Les familles de ces enfants les envoient mendier dans la rue pour ramener un peu d’argent, de nourriture ou bien directement appâter les touristes pour leur proposer des faveurs sexuelles. Inacceptable ! La précarité ne doit pas entamer l’intégrité des enfants ! Apparemment, cet aspect ne rebute pas ces familles proxénètes … Un intermédiaire repère donc ces enfants dans la rue, leur propose des bonbons, de la nourriture ou de l’argent pour qu’ils se rendent sur la plage de Mangily, quelques kilomètres plus loin. Un autre les accueille et les emmène se faire violer par les pédos dans les hôtels du coin. Plusieurs témoins affirment que les gérants de ces hôtels cautionnent ou ferment les yeux sur ce trafic, percevant certainement un petit pécule en retour, même si certains hôteliers s’en défendent avec ferveur. Pourtant, ces adresses sont connues et disponibles facilement sur le net. Là, les pédos violent tranquillement les enfants, sans aucun complexe et personne ne réagit. Les autorités sont au courant et aucune politique n’aboutit à arrêter tout ça, les malgaches participent ou ferment les yeux, pour résumer les pédotouristes sont les pachas de Mada. Une manne financière importante pour ces détraqués et certainement pour l’économie du pays. Pourquoi y mettre fin ??? La pédocriminalité, la prostitution infantile ne sont pas des faits récents à Madagascar. On veut lire sur certains sites de tourisme, d’expatriés, des commentaires relatant ces abus et viols d’enfants en plein jour et ce depuis bien longtemps. Certaines associations ont tenté d’améliorer la situation mais on sait bien comment fonctionnent ces associations au niveau financement notamment, leur champ d’action est limité, voire contrôlé. Les autorités démontrent leur totale hypocrisie face à ce fléau tout comme celles des autres pays. En 2007, André Cogniat, un homme d’affaires suisse à la retraite exilé à Madagascar, a été condamné à 5 ans de prison pour viols. Les victimes n’ont même pas assisté au procès, la justice avait “oublié” de les convoquer. Mais il est laissé libre, se pourvoit en cassation et file en Suisse pour la simple et bonne raison que le dossier n’a pas été transmis à la Cour de Cassation, il a disparu du Tribunal de Majunga !



Ce n’est pas tout. On apprend que le pédo était déjà connu depuis 1987 pour abus sexuels sur mineurs en Suisse et que les services de police avaient transmis cet élément au Ministère de l’Intérieur malgache … qui n’en a absolument pas tenu compte. L’un des accusateurs de Coignat dira même qu’il est à la tête du réseau. Ceci expliquerait cela. Coignat a même eu l’audace de porter plainte ensuite contre cet accusateur mais aussi contre les familles des enfants qu’il a violés. Hallucinant ! Que de non-sens et d’invraisemblabilité. Autre alerte quelques années auparavant, un couple de touristes français horrifié par les scènes immondes de ce trafic d’enfants, avait alerté le bureau de l’Unicef à Antananarivo, la capitale, sans qu’aucune action n’ait ensuite été menée. Pas de surprise quand on sait dans quelles sales affaires ils trempent. En 2013, ce sont deux ressortissants français travaillant dans des hôtels qui ont été accusés par les habitants de Nosy Be d’avoir tué un enfant. La réaction : lynchage et corps jetés dans un bûcher. A ce moment-là, neuf enfants avaient disparu et des rumeurs de trafic d’organes, démenties par les autorités, circulaient à tout va sur l’île. Que se passe-t-il à Madagascar ? Pourquoi cette tolérance vis-à-vis des viols de leurs enfants ? La rumeur de trafic d’organe a généré une réaction enflammée, pourquoi les viols ne déclenchent pas autant de colère ? Une énième preuve que la pédocriminalité est un domaine protégé par les autorités, la justice. Mais aussi et surtout que ces petits réseaux ne sont pas des réseaux isolés mais forment un seul et même énorme réseau que les dirigeants se donnent grand mal à protéger et entretenir : argent, pouvoir, chantage … Le lobby pédo est une mafia internationale.

Sources 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8

 

#Fsociety