Christian Pidoux – Fils de conseiller politique



Le fils d’un politique Suisse surpris avec une enfant sous ses draps se fait arrêter 10 mois après les dénonciations auprès de la police…

Alors celle-ci, elle est pas mal… Le gars déjà est un criminel aguerri. Il s’est fait pincer au cours des 20 dernières années pour divers crimes tel que tentative d’enlèvement (sur un adulte), tentative d’extorsion, abus, drogue, délit routier… Pour la tentative de rapt, il avait déjà pris plus de 7 ans de prison en 1998 et encore 3 ans pour les délits routiers. En revanche, lorsqu’il s’est fait prendre sur le fait, une mineure dans son lit dans son chalet de luxe vaudois (Suisse), la police l’a laissé tranquille. Ce n’est que 10 mois plus tard qu’ils vont s’affoler, les plaintes et preuves s’accumulant un peu trop, et viendront enfin le choper chez lui pour le foutre à sa juste place : en prison. On peut déjà se demander si son environnement familial facilita la lenteur de la justice… Un problème est encore mis en évidence, prouvant une fois de plus que les services sociaux sont pourris et pas qu’en France : Les victimes proviennent, selon les dires des articles provenant de Suisse, du système social, autrement dit : de foyers.

Trois petites choses pathétiques dans le pseudo travail journalistique : à aucun moment ils ne citent son nom. On comprend vite pourquoi puisqu’il est le fils d’un politique. Ils dissimulèrent donc bien entendu le nom. Le gars a un casier judiciaire tellement gros qu’il nous fallut moins de 10 minutes pour mettre la main sur son nom et celui de son père. Seconde chose, ils n’omettront cependant pas de dire qu’il est le fils ADOPTIF de ce politique, comme si cela le détachait un peu de sa famille. C’est son fils, il l’a adopté, il l’a élevé, peu importe qu’il soit adopté ou non ! Vous n’échapperez pas au courroux d’avoir dans votre lignée un pédocriminel. Dernier point, encore une petite protection pour ne pas froisser le lobby LGBT, dans les victimes, se trouvent des jeunes garçons. Ils cacheront cela par la phrase suivante “majoritairement des jeunes filles”. Franchement, honnêtement, journalistes, tous autant que vous êtes : changez de métier. Là, maintenant, immédiatement. Honte à vous, honte à la police qui mit 10 mois pour mettre au frais le pédocriminel et honte à l’ordure qui a pu, semblerait-il, très/trop facilement se servir dans les foyers des services sociaux pour abuser d’enfants. Ces mêmes enfants qui, déjà de base, sont en situation déplorable au sein dTrois petites choses pathétiques dans le pseudo travail journalistique : à aucun moment ils ne citent son nom. On comprend vite pourquoi puisqu’il est le fils d’un politique. Ils dissimulèrent donc bien entendu le nom. Le gars a un casier judiciaire tellement gros qu’il nous fallut moins de 10 minutes pour mettre la main sur son nom et celui de son père. Seconde chose, ils n’omettront cependant pas de dire qu’il est le fils ADOPTIF de ce politique, comme si cela le détachait un peu de sa famille. C’est son fils, il l’a adopté, il l’a élevé, peu importe qu’il soit adopté ou non ! Vous n’échapperez pas au courroux d’avoir dans votre lignée un pédocriminel. Dernier point, encore une petite protection pour ne pas froisser le lobby LGBT, dans les victimes, se trouvent des jeunes garçons. Ils cacheront cela par la phrase suivante “majoritairement des jeunes filles”. Franchement, honnêtement, journalistes, tous autant que vous êtes : changez de métier. Là, maintenant, immédiatement. Honte à vous, honte à la police qui mit 10 mois pour mettre au frais le pédocriminel et honte à l’ordure qui a pu, semblerait-il, très/trop facilement se servir dans les foyers des services sociaux pour abuser d’enfants. Ces mêmes enfants qui, déjà de base, sont en situation déplorable au sein de ces institutions pro-pédo et malsaines que sont les services sociaux à l’enfance.

Source 1, 2.

 

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