MÈRE PÉDO : le sursis de trop ! [2020]


Le 31 août 2020, une femme de 49 ans est jugée par le tribunal correctionnel d’Avignon pour agression sexuelle incestueuse sur mineur de 15 ans par ascendant. En février dernier, elle reçoit son fils de 10 ans pour une de ses visites bimensuelles. En effet, la mère de 4 enfants est placée sous curatelle renforcée et son fils est placé en famille d’accueil. D’ailleurs, on espère fortement que les 3 autres enfants ne vivent pas avec elle … Cette folle, estimant qu’il a l’âge, décide de lui expliquer comment faire l’amour. Elle lui touche le sexe et lui montre des photos d’elle et son compagnon nus. Le pauvre petit était extrêmement choqué et s’est enfui dans sa chambre. De retour dans sa famille d’accueil, il devient énurétique, il n’est plus le même. Il finit par se confier à l’assistante maternelle et la police de Cavaillon est aussitôt alertée. Bien-sûr, elle nie en bloc ! Un expert psychiatre estimera qu’elle fait preuve d’un manque d’empathie et serait “emplie de colère” envers son fils … On ne connait pas les antécédents dans cette famille mais si elle était sous curatelle renforcée c’est bien pour une raison, les visites auraient pu être mieux encadrées ou elle aurait dû subir une expertise psychiatrique avant la mise en place des visites.

Bref, le procureur adjoint Olivier COUVIGNOU qui estime que ce sont des faits “quasiment impossibles à reconnaître pour une mère”, a requis des peines comprises entre 8 et 10 mois de prison avec SURSIS. C’est quoi cet argument ?! Et une mère ? Cette femme est tout sauf une mère ! Son avocate, Me Nathalie PASSERON avançant qu’il n’existe ni preuve ni antécédent, a quant à elle plaidé la relaxe. Ben voyons, de mieux en mieux. Oui relaxons une pédo qui a traumatisé son enfant pour prendre le risque qu’elle recommence. Me Delphine GALAN-DAYMON, avocate de la partie civile (qui se revendique du réseau lobby LGBT(pz), on se demande ce qu’elle vient faire dans ce procès) , dit qu’elle était devenue une agresseuse « version initiatrice sexuelle ». Le tribunal, même s’il juge la mère coupable des faits qui lui sont reprochés, ne la condamne qu’à 10 mois de prison avec sursis. C’est à dire : PAS DE PRISON ! Elle devra également indemniser son fils à hauteur de 1 500 € pour le préjudice moral subi. Donc cette mère qui n’en est pas une, est LIBRE … Pauvres gosses !

 

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