Le 12 juin 2020, une affaire bien sale apparaît dans la presse : un juge de Dijon proposait sa fille de 12 ans au viol sur un site pour échangiste, à un utilisateur du site qui prévient immédiatement la police. La police, à son tour, met un agent sur le site en question. Là, rebelotte, le juge pédophile lui propose, à lui aussi, sa petite fille de 12 ans et lui envoie des photos d’elle en maillot de bain… L’affaire est passée sous silence. Etienne Manteaux, procureur de Besançon, tentera de garder le dossier secret mais une fuite de la presse l’obligera à rendre l’affaire publique. Complaisant, minimisant, on comprend bien vite ce qu’il se trame. En arrêt maladie, le pédophile est toujours officiellement magistrat et touche encore l’argent que NOUS, Français, payons par les impôts. Enragée par leur volonté délibérée de la franc-mac-gistrature de protéger son anonymat, la team décide de se mettre sur les traces de cet enfoiré et épluche alors chaque ligne de chaque article, relève chaque détail et la traque commence. Rapidement, deux noms tombent mais l’un d’eux se démarque. Un certain « B******* » et le second, Olivier Bailly, Premier vice-président du TGI de Dijon, actuellement JAF, juge des enfants il y a 15 ans, épouse magistrate, 55 ans … Impossible de balancer le nom sans une preuve formelle. Nous n’exposerons jamais un homme ou une femme sans « LA » preuve indiscutable. Durant plusieurs semaines, non loin de trois mois, la moitié de la team retourne le net et met à profusion l’expérience engendrée pour remonter les filons dans ce genre d’enquête mais la traque stagne malgré notre acharnement… Le gouvernement eut, de manière totalement illégale et frauduleuse, supprimé un grand nombre de pages dites officielles et normalement disponibles aux Français. Tel que des registres d’états, de municipalités, d’édition/suppression de pages sur des sites internet du gouvernement etc…
Mais un jour, le miracle arriva. Nous recevons anonymement un email sur un de nos emails « jetables ». Un message bien rédigé, concis et court, demandant si nous avions mis la main sur le juge pédophile. Rapidement, nous répondons que nous avons deux cibles et que nous ne parvenons pas à départager les deux hommes. La personne, dont nous ne connaîtrons jamais l’identité, nous demande les noms sur qui nous buttons. Nous lui communiquons « B******* » et Olivier Bailly. Il répond le jour même « Bien. Bon boulot. C’est Bailly. Lorsque vous l’annoncerez publiquement, veillez à mentionner que vous avez reçu un petit coup de pouce d’un fonctionnaire du tribunal, non corrompu. » Nous tombons par terre. Nous hésitons. Et si c’était un piège pour nous discréditer ? Afin que nous exposions un innocent ? Il fallait encore chercher, creuser, obtenir le moindre indice possible pour confirmer ces dires. Révo se met dessus avec l’aide d’un membre de la team. Après une énième recherche, un article attire l’attention de Révo. L’article est payant, et nous ne l’avions pas vu auparavant. Le seul que nous n’avions ni vu, ni décortiqué. Dedans, le nom est modifié mais pourtant les infos sont déterminantes: “Dans le petit bureau du tribunal de grande instance de Dijon (Côte-d’Or), le père de famille, en instance de divorce, n’en mène pas large. Le juge,un gros bonhomme de 55 ans au crâne rasé, des lunettes strictes sur le nez, n’en reste pas là.[…] tout le monde le connait comme étant« le juge libertin »[..]” Voilà ce qui causera la perte de ce pédo de juge !! Nous avions la preuve que les dires de cet inconnu qui se présente comme « fonctionnaire du tribunal » étaient bel et bien authentiques. Mais toujours pas de photo pour confirmer son identité. Modifiant les termes de la recherche pour contourner l’algorithme de Google, nous tombons finalement sur un lien faisant référence à son implication dans les affaires familiales.
Et là…bingo !!! Sa tête apparaît sur l’écran : gros bonhomme, crâne rasé, lunettes ! Enfin nous le tenons cette ordure ! On ne vous cache pas la joie ressentie à ce moment-là. Malgré la collaboration honteuse de la presse pour protéger l’identité du juge pédo, l’acharnement sans faille de la team a finalement porté ses fruits. Vous n’imaginez pas à quel point nous avons le plaisir de donner publiquement son nom afin de faire un bras d’honneur à ces traîtres de la presse et de la justice. Il s’agit d’OLIVIER BAILLY. Voilà brièvement son parcours : Premier vice-président du TGI de Dijon depuis janvier 2018, Vice‐Président de la chambre de la Famille au TGI de Dijon, vice-président chargé des fonctions de juge des enfants de 2003 à 2008. En parallèle, sa femme est plus facilement retrouvée. Considérée comme une jolie femme, nous avions eut un petit rictus en voyant sa tête sur des documents d’association de femmes magistrates. Sophie Bailly Vejux fait partie de l’association « femme de justice » où son portrait y est sur scène. Vous nous connaissez … on ne peut pas en rester là ! Il va nous falloir comprendre pourquoi ce pédo est protégé. Qui ou qu’est-ce qui se cache derrière cette protection ? Qui sont ses copains de partouzes ? Quelles hautes instances sont derrière cet homme au nom si courant ? Car des Bailly, il y en a plein et c’est du beau monde… Un général, un président des écoles de magistratures… On creusera et on balancera tout. Car… On vous l’a déjà dit : on n’oubliera PERSONNE … affaire à suivre.
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