PROFIL
- Luc Wiseman
- Producteur TV
- Viol sur mineurs
- Arrêté le 20 mai 2021, libéré presque immédiatement grâce à la corruption du pays
- Canada – Montréal
- Avocat du pédo – Me Alexandre Bien-Aimé
- Propriétaire de Avanti Group
- Collaborateur/partenaire avec Radio Canada
L’AFFAIRE
Entre 2018 et 2021, un énième producteur TV viola un enfant. Son nom, Luc Wiseman. Enfonçant le clou, des contenus pédos furent retrouvés dans ses appareils électroniques. C’est le 20 mai 2021 que l’arrestation eut lieu au Canada par la police de Montréal. Bien entendu, on connait bien la réputation de Pédo-Paradise number 2 que représente le Canada et aussitôt après son arrestation, il fut libéré « sous condition ». Traduisez ici, « par corruption ». Pour couronner le tout, la police mit la main sur des preuves attestant que le pédophile n’était pas seulement en possession de contenu pédo mais aussi en faisait des tournages lui-même… On pourrait presque dire, rien d’étonnant sous le soleil, dans un pays où deux générations de leaders sont clairement toutes deux pédophiles. Trudeau père et fils. Mais passons. Wiseman est le président et propriétaire de AVANTI GROUP, une compagnie de production TV. Il fut dégagé aussitôt par la direction histoire de limiter la casse sur la réputation de la société qui, on s’en doute, a de fortes probabilités d’avoir hébergé les tournages pédophiles comme il est de coutume dans ce milieu putride qu’est le show business. Mais attendez, savez-vous seulement ce qu’est le Aventi Group ? Oh et bien, seulement la boite qui produit Tout le monde en parle, Un Gars, Une Fille, (version canadienne) entre autres.. Et ce n’est pas tout ! Le mec est aussi un partenaire de Radio Canada. Vous savez, le média collabo qui vendit pour quelques pièces son derrière pour les bienfaits de l’establishment national. Eux aussi, morts de trouille, annoncèrent aussitôt stopper toute collaboration avec leur copain pédo. Trop tard, j’ai envie de dire. L’enquête était en train de suivre son cours lorsque les médias ont fait machine arrière, télécommandés par au-dessus, et publièrent en cœur le même article, proclamant que finalement, les preuves que le pédophile tournait des films pédopornographiques ne sont pas là. Que tout repose sur la parole d’une victime. Ça y est ? Les preuves ont été détruites ? Ce fut rapide, good job… Cerise sur le gâteau, les victimes n’ont légalement pas le droit de parler publiquement de ce qu’elles savent, la pédojustice leur ayant interdit de le faire. Tout est classifié, « sous le sceau de la confidentialité ». Pensez-vous qu’ils se seraient arrêtés là ? Oh que non. A présent, les contenus pédo trouvés dans ses appareils sont magiquement devenus des contenus normaux et plus une trace de films pédophiles. C’est Disney au Canada, la magie règne… À l’aide d’une baguette magique, tout peut disparaitre. Maintenant passons un court instant sur les copains de ce dernier. À Radio Canada, on a Guy A. Lepage. Le mec, aussi rapide que Zorro, fera un communiqué « Twitter » pour se dédouaner de fréquenter et de travailler avec le pédo depuis… plus de 30 ans. Sans jamais rien voir, sans jamais rien faire, sans jamais n’avoir rien su, bien entendu. Guy est un acteur, producteur, très connu pour l’animation de la version québécoise de l’émission Tout le monde en parle. Ayant donc travaillé de très longues décennies avec son ami pédophile. En tout cas sur les réseaux, les Québecois ne semblent pas être dupes et affirment tous la même chose. Que le Guy n’a « que des associations douteuses » et que visiblement « il n’y a aucun doute qu’il savait » en passant par des « tu nous prends vraiment pour des cons ». Du coup, accablé, le mec se lâche et a insulté la moitié de ses abonnés Twitter et ailleurs. Nous aimerions comprendre pourquoi tout le monde semble persuadé de sa complicité lorsqu’ils ne parlent pas de culpabilité. Nous avons cherché des dossiers sur lui, il semble avoir fait un beau ménage sur internet. Cela dit, ce n’est qu’une question de temps avant que nous trouvions de quoi il s’agit. Quoi qu’il en soit, les Canadiens sur la toile ont aussi le même discours final lorsqu’il s’agit de cette affaire et tiennent tous le même propos, souvent vu en ces termes « il est trop protégé pour tomber »… Lorsque la France ne remporte pas le trophée annuel de Pédo paradise, le Canada n’est jamais bien loin pour le remporter. Affaire à suivre.
#Fsociety