JOHN MONEY : THÉORIE DU GENRE ET PÉDOPHILIE



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Le progressisme moderne, se mettant dos à dos avec le conservatisme, promeut l’idée qu’il faut déconstruire les codes et la culture en les considérant comme nocifs et limitants, et qu’ils seraient à l’origine de nos maux. Cette idéologie avance ses pions dans tous les aspects de notre vie. Elle a accouché du « wokisme ».

Dans la famille du wokisme, je demande la fille ! : la théorie du genre.
Cette idéologie mortifère tend à nier la nature. Et dans la propagande de la négation du genre de naissance, toute la perversion est dans la sémantique et l’inversion des valeurs : dans le mot « déconstruire » comprendre « détruire ». Le discours insuffle que la femme et l’homme seraient un mythe ou le fruit d’un conditionnement social et mettant ainsi, dans l’inconscient des jeunes générations, que nous sommes des êtres interchangeables. Cela s’accompagne d’un nouveau champ lexical balayant la notion de factualité et d’évidence.

Les conséquences : l’épidémie des transitions de genre.
Chacun de nous peut le constater : les adolescents consultent de plus en plus d’endocrinologues pour des motifs liés à leur identité de genre. La propagande trans est omniprésente, des contenus abreuvent les réseaux sociaux et peuvent être reçus comme une réponse à un mal être, une idée qu’ils ne se sentent pas assignés à leur sexe biologique. Il existe la dysphorie de genre vérifiée par un caryotype et cela doit être pris en charge avec sérieux. Mais là, c’est comme se soustraire au réel du corps. Comme si les questionnements sur le genre, propices durant l’adolescence, étaient les symptômes d’autre chose, faisant passer la puberté comme une maladie dont il faut guérir.

Le charlatan qui a créé la maladie : John Money
Et le guérisseur auto-proclamé !
John Money est né en Nouvelle-Zélande, dans une famille protestante et a d’abord étudié la psychologie à l’Université Victoria de Wellington. Il a obtenu un double diplôme de maîtrise en psychologie et en éducation en 1944. En 1947, à l’âge de 26 ans, Money émigre aux États-Unis pour étudier à l’Institut psychiatrique de l’Université de Pittsburgh et obtient son doctorat à l’Université de Harvard en 1952.
À la fin de ses études de doctorat, Money est invité par l’endocrinologue pédiatrique Lawson Wilkins pour être codirecteur d’une unité de recherche nouvellement créée à l’hôpital universitaire Johns Hopkins de Baltimore. C’est dans ce contexte que Money identifie un terme global pour parler de la masculinité et de la féminité des intersexués. Le terme qu’il a finalement choisi est « le rôle des genres ». Il a théorisé et a inventé les expressions « identité de genre » et « orientation sexuelle » qu’il a ensuite étendues à l’identité/rôle de genre, reconnaissant pour la première fois les distinctions entre le sexe, le sexe biologique et le comportement sexuel. Selon lui, les organes génitaux ainsi que les rôles sexuels devraient être désormais non liés.


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Au sein de l’université, en 1966, il fonde la Hopkins’s Gender Identity Clinic, la première du genre aux États-Unis et lance un vaste programme de recherche sur le traitement psycho hormonal des paraphilies et sur la réaffectation sexuelle. Les travaux de Money étaient soutenus par de nombreuses subventions d’organisations, dont la Josiah Macy, Jr. Foundation et l’Institut national de la santé infantile et du développement humain.


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David Reimer, le patient tristement célèbre

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DAVID REIMER à l’époque de Brenda

Tout commence par une opération banale. En 1965, les Reimer amènent leurs jumeaux, Bruce et Brian, à l’hôpital pour une circoncision; ils souffrent de phimosis (un rétrécissement de l’extrémité du prépuce). Mais l’intervention se déroule mal et, à la suite d’une erreur médicale, Bruce doit subir une pénectomie. Les parents sont catastrophés et sont dirigés vers John Money. Celui-ci recommande l’ablation des testicules à l’âge de 22 mois. Money dit aux parents de l’élever en tant que fille, sous le prénom de Brenda. Il doit suivre un traitement hormonal lourd et des séances régulières avec Money, qui veut faire de cette réattribution sexuelle, pourtant forcée et incomplète, la preuve que l’identité sexuée est essentiellement due à l’éducation.
Brenda n’a pas l’impression d’être une fille. Elle est victime de l’ostracisme et des brimades des autres enfants, et ni les jolies robes ni les hormones féminines ne la font se sentir une femme.
À l’âge de treize ans, Brenda passe par une phase de dépression suicidaire et déclare à ses parents qu’elle se tuera s’ils l’obligent encore à voir John Money. En 1980, les parents de Brenda lui apprennent la vérité sur sa réattribution sexuelle. Quand John Money commence à faire pression sur la famille pour lui faire subir une chirurgie de construction vaginale, la famille stoppe les visites de suivi.

A quinze ans il veut reprendre son identité masculine et devient David. Plus tard il se marie. Il se suicide à l’âge de 38 ans, deux après son frère jumeau, Brian. Son combat a été de dissuader les chirurgies de changements de sexe au travers de conférences.

Money a publié des articles scientifiques affirmant que son expérience de « changement de genre » avait été un succès complet. Il est même allé jusqu’à publier un livre sur « L’étude John/Joan » (les noms donnés dans son rapport) sous le titre « Man & Woman, Boy & Girl », co-écrit avec Anke Ehrhardt, une allemande venue aux Etats-Unis pour travailler avec Money. Le magazine Times a même écrit, dans un article dithyrambique sur cette étude: « Cette histoire est une victoire à toute épreuve de la plus grande bataille pour la libération des femmes.»


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Le volet pro pédophile de John Money :
Comme très souvent, derrière les protagonistes qui pilotent des projets concernant la sexualité, comme par exemple Alfred Kinsey, se cache l’apologie de la pédocriminalité.
Dans sa biographie écrite avec le journaliste du Rolling Stone, John Colapinto, David Reimer raconte comment le médecin leur a montré des images à caractère sexuel, qui étaient, selon Money, nécessaires pour réorienter leur sexualité. Il a également affirmé qu’une grande partie des séances de Money comportait des positions forcées et des mouvements sexuels avec son frère. Dans certains exercices, les frères ont répété des positions sexuelles avec des mouvements abjects, ce que Money a justifié comme la répétition d’une exploration sexuelle saine de l’enfance. L’un des épisodes les plus choquants des sessions, raconté par David, c’était lorsque John Money les a forcés à se déshabiller alors qu’ils avaient 6 ans et a forcé Brenda à rester à genoux pendant que Brian effectuait des mouvements et des touchers contre les fesses de sa « sœur ». Si les jumeaux n’obtempéraient pas, Money usait d’agressivité et de colère. Certaines fois John Money prenait des photos de ces moments de pornographie enfantine.
Brian ne s’est jamais remis de ces années.


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Les théories de Money sur la pédophilie ont été plébiscitées, en bonne place, sur le site Web de la North American Man/Boy Love Association (NAMBLA), l’un des plus ancien groupe de défense des droits des pédos. Un site qui n’a jamais fermé malgré les protestations de citoyens militants.
Dans les années 1990, Money a eu un entretien dans « Paidika », un journal de psychologie pédophile nommé d’après l’adjectif grec pour « boyish », et a été utilisé par des militants des droits des pédophiles.

Rapide présentation de la NAMBLA :
Fondée par David Thorstad (1941-2021) un militant politique américain qui a cofondé ou dirigé un certain nombre de groupes de défense des droits des homosexuels à la suite des émeutes de Stonewall en 1969. Plus tard, il s’est engagé dans la pédophilie et l’activisme pédophile.
Ce n’est bien-sûr pas une généralité mais on constate qu’il a existé et qu’il existe encore des groupes ou des pensées militantes faisant des liens entre homosexualité masculine et pédophilie.


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La traduction des déclarations de John Money :
« Si je voyais le cas d’un garçon de dix ou onze ans qui est intensément attiré par un homme d’une vingtaine ou d’une trentaine d’années, si la relation est totalement mutuelle, et si le lien est vraiment totalement mutuel, alors je ne dirais pas que c’est pathologique ».

Les collaborations de John Money :
Avant de fonder la clinique John Hopkins, Money, de 1964 et 1967, faisait partie d’une équipe de recherche dirigée par Harry Benjamin, un sexologue, avec Ruth Rae Doorbar, Richard Green, Henry Guze, Herbert Kupperman et Leo Wollman dans une fondation : « Henry Benjamin International Gender Dysphoria Association » à l’initiative de Benjamin et avec le financement de Reed Erickson, un patient de Benjamin, par l’intermédiaire de l’association de recherches sur le genre et le transexualisme d’Erickson : l’Erickson Fondation pédagogique.


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HARRY BENJAMIN

Money est resté à Johns Hopkins pendant toute la durée de sa carrière, soutenu par de nombreuses subventions d’organisations, dont la Josiah Macy, Jr. Foundation et l’Institut national de la santé infantile et du développement humain.

Les liens entre Harry Benjamin et Alfred Kinsey, le pédocriminel financé par les Rockfeller :
Harry Benjamin, né en Allemagne, était l’une des personnalités de premier plan au cours de l’âge d’or de la sexologie du milieu du XXe siècle. Benjamin était fasciné par la culture gay dans l’Allemagne d’avant la Seconde Guerre mondiale, et a immigré aux États-Unis. Harry Benjamin et Alfred Kinsey se rencontrent en 1945 par l’entremise de Robert Latou Dickinson, un gynécologue militant et partisan du contrôle des naissances et du mouvement eugénique. Il a apporté un soutien professionnel à l’eugéniste Margaret Sanger fondatrice du Planned Parenthood, ancêtre du planning familial.
Dès 1948, Harry Benjamin voulait « guérir » les enfants transgenres.
Kinsey et Benjamin séjournaient tous les deux à l’hôtel Sir Francis Drake à San Francisco.
Kinsey avait rencontré la personne appelée plus tard Sally Barry, qui avait un fort désir d’être une femme, et a demandé à Benjamin de l’examiner. Il a prescrit des œstrogènes et a aidé Sally et sa mère pour lui permettre de bénéficier d’une intervention chirurgicale en Allemagne.

L’UNIVERSITÉ JOHN HOPKINS et ses expérimentations sur la population :
En janvier 2019, l’université Johns Hopkins et la fondation Rockefeller sont visées par un procès mettant en cause leur participation dans les années 1940 et 1950 à un programme expérimental mené par les États-Unis au Guatemala. Près de 700 cobayes, parmi lesquels des enfants, avaient été contaminés, sans leur consentement. Cela consistait à inoculer la syphilis pour vérifier l’efficacité de la pénicilline sur les maladies sexuellement transmissibles. Des centaines de personnes ont été contaminées.
C’est Susan Reverby, professeur à Wellesley College a pris connaissance des faits en étudiant des notes de John Charles Cutler, un expert en maladies sexuelles, décédé en 2003 et qui a dirigé l’expérimentation incriminée.

Les financements de L’UNIVERSITÉ JOHN HPKINS :
Michael Bloomberg, la onzième personne la plus riche du monde, est un financeur du pôle recherches de cette université.
Magna de la presse, il a fondé un groupe de médias en 1981, Bloomberg LP avec chaines de télévision, chaines numériques, radios, presse magazine, gestions de données et sites d’info. C’est une gigantesque compagnie particulièrement influente dans le monde anglo-saxon, mais également au Moyen Orient et en Asie.
Homme d’affaires, il était associé dans la banque d’affaires Salomon Brothers, où il dirigeait les services de courtage d’actions et, plus tard, le développement des systèmes.
Homme politique car ancien maire de New-York et ancien candidat à l’investiture démocrate pour l’élection présidentielle de 2020.

Mais Michael Bloomberg est surtout un mondialiste très actif, membre affilié au groupe Bilderberg, à la Commission Trilatérale, au Council on Foreign Relations, à la Congregation Emanu-El de New York, à la fraternité Phi Kappa Psi et à la société secrète Kappa Beta Phi, et un ami de Jeffrey Epstein et de Ghislaine Maxwell, bien après la condamnation pour abus sexuels sur mineur d’Epstein en 2008 et 2009 écopant de 18 mois de prison. Bloomberg était dans le black book d’Epstein.

Comme le révélait Faits & Documents dans son numéro 480, Michael Bloomberg est en effet celui qui a discrètement racheté la marque de lingerie Victoria’s Secret (via la société de capital-investissement SycamorePartners) à Leslie Wenger ( cité dans l’affaire Epstein ), cofondateur du Mega Group et mécène de Jeffrey Epstein (et également président de la Fondation Wexner, fondation dont l’objectif revendiqué est « l’aide au développement de leaders professionnels en Amérique du Nord et de leaders publics en Israël » (13)


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MICHAEL BLOOMBERG ET GHISLAINE MAXWELL

Photo prise le 1er octobre 2013 lors de la célébration « In My Shoes : A Memoir » de Tamara Mellon au Four Seasons Restaurant à New York par le photographe Leandro Justen.


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PAGE DU BLACK BOOK D’EPSTEIN


Troublante apparition de Bloomberg dans l’horrible meurtre de la jeune Lola, en novembre 2022 : à l’annonce de son soutien aux parents de la victime, en finançant une fondation spécialement créée après le drame pour soutenir financièrement les parents de Lola.





 

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