IVG ET PILULE POUR LES MOINS DE 15 ANS

2020 – Le scandale de l’IVG pour les mineures. Rappel de la loi : Le 4 octobre 2000. Présentation en Conseil des ministres par Martine Aubry, ministre de l’Emploi et de la Solidarité, du projet de loi sur la contraception et l’interruption volontaire de grossesse, réformant les lois Neuwirth sur la contraception (1967) et Veil sur l’IVG (1975), allongeant le délai légal de 10 à 12 semaines de grossesse et assouplissant les conditions d’accès aux contraceptifs et à l’IVG pour les mineures. Et depuis le  28 août 2020, l’Assurance maladie prend en charge à 100% l’accès à la contraception des mineures de moins de 15 ans. La loi permet à toute femme enceinte, y compris mineure, qui ne veut pas poursuivre une grossesse de demander à un médecin l’interruption de sa grossesse, et sans le consentement de son représentant légal. Le consentement des parents est donc préférable mais non obligatoire. Si le consentement des parents n’est pas recueilli, la jeune fille désignera nommément avec l’aide du médecin ou de l’assistante sociale, un adulte qui l’accompagnera dans ses démarches. Quand la jeune fille est encore scolarisée, l’infirmerie est parfois l’endroit approprié pour amorcer les démarches. Ce que dit la sécurité sociale : La contraception d’urgence hormonale ou “pilule du lendemain” peut être délivrée aux mineures gratuitement, de façon anonyme et sans prescription médicale quel que soit le médicament utilisé. Cela, dans une pharmacie, un planning familial ou dans un CeGIDD (Centre Gratuit d’Information, de Dépistage et de Diagnostic des virus de l’immunodéficience humaine (VIH), des hépatites et des infections sexuellement transmissibles). Auprès de l’infirmière scolaire, dans un service universitaire ou interuniversitaire de médecine préventive et de prévention de la santé pour les étudiantes. Ceci par voix médicamenteuse…


Site gouvernemental pour les 12/25 ans avec, comme thème pour les 12 ans je le rappelle les relations sexuelles à plusieurs. Le site «  fil santé jeune » est un site de référence pour informer les mineures sur l’interruption volontaire de grossesse. Voici ses partenaires : Le gouvernement et l’EPE qui est un genre de groupe de parents et d’éducateurs d’écoles… C’est bien l’école vend, après les propagandes de l’histoire, la théorie des genres et l’homosexualité, se met ainsi à l’encouragement des avortements. Il est où le sol ? Car à force de tomber si bas on risque de bientôt toucher le noyau de la terre… Après avoir vu toutes ces lois qui régissent l’accès à l’avortement des jeunes filles mineures et incitent à la débauche avec la pratique des « partouzes » dès 12 ans, le site « Fil santé jeune » financé par l’état et s’adressant, je le rappelle, aux mineurs à partir de 12 ans, nous ne pouvons qu’être absolument scandalisés. On nous a vendu l’IVG pour les mineures comme un progrès et un confort, évitant les bébés non désirés. Mais c’est d’une part, un déplacement d’autorité car un mineur est sous la responsabilité et la protection des parents jusqu’à sa majorité, ce n’est donc pas à un tiers de gérer ces situations et, d’autre part, une propagande pour que les mineurs aient une vie sexuelle libre et illimitée dès le plus jeune âge. Sans compter la loi de 2019 qui permet à la fille mineure de s’acquitter du ticket modérateur évitant ainsi l’utilisation de la carte vitale du parent, et la loi du 28 août 2020 qui accorde à l’Assurance maladie la prise en charge à 100% de l’accès à la contraception des mineures de moins de 15 ans. La volonté ici est clairement de faire une génération sexualisée, voire hypersexualisée sans que les parents ne soient informés ni même ne donnent leur autorisation.

 

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