Décembre 2020, en Indonésie, à Idi Rayeuk, Roni, a été reconnu coupable de viol sur enfant et a été condamné à être flagellé 169 fois en public.
Avant sa sanction, il avait passé six mois en prison, ce qui avait réduit sa peine de 175 à 169 coups (un pour chaque mois derrière les barreaux). Au bout de 52 coups de fouet, il s’effondre de douleur. Les médecins qui l’ont ausculté ont jugé qu’il devait être soigné car les vaisseaux sanguins pouvaient éclater et saigner et ont ordonné l’arrêt des coups. Il aura reçu la suite plus tard. Les violeurs d’enfants ont des droits semblerait-il… Cela se passe dans la province de d’Aceh située sur la pointe nord de l’île de Sumatra, où la politique est ultra-conservatrice car la loi Islamique y est appliquée à la lettre. La sanction pénale de ce criminel est étonnante car en 2015, l’état Indonésien adopte une nouvelle loi pour légiférer sur les violeurs d’enfants : les auteurs d’agressions sexuelles contre des enfants pourront désormais encourir, en Indonésie, la peine de mort et la castration chimique en plus de l’obligation de porter une puce électronique après leur libération. Le président indonésien, Joko Widodo, avait approuvé ces nouvelles mesures radicales pour punir ceux qui agressent les enfants sexuellement. Rien de plus juste.
Etre condamné aux coups de bâton ou de fouet n’est pas dans notre culture occidentale contemporaine mais a été utilisé par le passé et banni par la suite.
Le châtiment corporel, en plus d’être un acte violent est aussi humiliant puisqu’il est public. Double peine donc et bien méritée pour ce genre d’individu. Cela a le mérite de donner l’exemple. Nous ne suggérons pas que cela soit juste pour d’autres crimes qui, selon nous, devrait être pris au cas par cas mais quand cela concerne la violence sur des enfants, sexuelle ou non, ce genre de punition prend tout son sens. Humiliation et peine corporelle. Après tout, beaucoup y penserait à deux fois avant de s’en prendre à l’innocence d’un ou d’une petite s’il voyait au journal télévisé de 20h, 100 coups de fouet sur le dos d’un pédophile. A chacun de se faire son opinion.
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