Voiron – Isère – Institut Médico Educatif Les Nivéoles. Si vous avez des proches dans cet établissement, retirez les au plus vite. Un bon gros et gras réseau protégé par l’état s’y trouve et les viols y sont monnaie courante depuis des années !
L’AFFAIRE
Update/edit : Février 2021 – L’enquête est relancée. Après le non lieu général de la pédojustice contre les trois pédophiles éducateurs remettant en cause la parole des enfants, les familles ayant fait appel, la procédure est relancée ! A suivre.
Décembre 2020 – voilà déjà plusieurs années que des faits de viols sur enfants autistes ont lieu dans cet établissement, Les Nivéoles à Voiron (Isère). Aujourd’hui, le tribunal de pédomagistrats et de son pédoprocureur ont prononcé un non lieu dans l ‘affaire de viols de nombreux enfants autistes de cet établissement. 9 plaintes classées sans suite. L’affaire balancée au feu, les victimes jetées dans l’oubli. Nous, on n’oublie pas et on va tenter de montrer le visage de chaque individu concerné. Inadmissible, honteux. Les enfants autistes et trisomiques, suite à de nombreuses et longues études scientifiques ont prouvé quelque chose qu’il faut absolument garder en tête : Ils ne savent pas mentir et inventer quelque chose qu’il ne leur est pas arrivé. La science, comme pour la plandémie, sera balayée d’un revers de main pour le bénéfice de certains. Et on sait lesquels…
CHRONOLOGIE
- 2012 – premiers viols sur enfants répertoriés
- 2015 – 9 plaintes pour viols sur enfants en situation de handicap sont déposées
- 2015- L’un des éducateurs est mis en détention provisoire pour possession de contenu pédo mais est ensuite relâché. Il s’agit de Anthony R. Le seul qui sera licencié.
- 2015 – Le directeur (exposé plus bas) fera suivre une lettre aux parents, à la fin des courriers d’invitation aux réunions, une petite phrase laissant sous entendre qu’ils ne pouvaient pas s’exprimer publiquement et librement.
- 2016 – Une première plainte a été classée sans suite et deux éducateurs mis en cause ont été réintégrés dans l’établissement.
- 2017 – Malgré les plaintes, malgré la détention provisoire, aucune instruction n’est ouverte par le parquet de la région !
- 2018 – Le procureur collabo qui essaya une première fois d’étouffer l’affaire, Jean-Yves COQUILLAT quitte ses fonctions
- 2019 – Affaire relancée en appel
- 2020 – Toutes les plaintes, après des années de combat des familles, sont classées sans suite…
DES FAITS ET DES CHIFFRES
- 9 victimes qui ont parlé – 4 garçons et 4 filles
- Une des victimes a 11 ans.
- 9 plaintes déposées
- Un des éducateurs a été accusé dans une autre affaire pour viol sur enfant
- L’un des éducateurs incriminés possédait du contenu pédopornographique
- Les victimes sont des enfants autistes et des enfants trisomiques
- Aucune des victimes n’a été entendue par des spécialistes (pourtant indispensables pour des enfants souffrants de handicaps mentaux)
- Jean-Yves COQUILLAT était en charge de l’affaire de la petite Maëlys et donc de l’affaire Lelandais
- Anthony R. Éducateur : Chopé pour détention de contenu pédo en 2014 et 2015. Déjà des plaintes contre lui pour viols sur ses deux neveux, classées sans suite aussi. Il avait aussi été écarté d’un club de football pour « une proximité inquiétante avec les jeunes joueurs ». Les contenus téléchargés étaient pédophiles, zoophiles et dans le genre de snuff aussi (avec des décapitations…)
LES PROCUREURS COLLABOS
Nous tenons à vous présenter les coupables collabos qui défendent le petit réseau du coin. Le procureur de Grenoble, Jean-Yves COQUILLAT. C’est lui qui classe l’affaire sans suite une première fois. C’est lui qui n’ordonnera pas d’expertises ou de rencontres avec des psychiatres alors que des enfants autistes et trisomiques devraient être entendus par des spécialistes et non pas seulement par des flics. « aucune accusation cohérente n’est ressortie de ces auditions » a-t-il osé dire, oubliant de mentionner qu’un enfant autiste ou trisomique a besoin d’un professionnel et non d’un simple flic dans une procédure Mélanie. Il efface aisément les détails d’importance. Bis répétitas avec son successeur Eric Vaillant, procureur en place. C’est lui qui était en charge de l’affaire de la petite Victorine. Ou Jacques Dallest, procureur général de Grenoble ? On a un doute, gardons juste ces noms sous le coude. Pour finir, Christophe Hertereau, directeur de la coordination territoriale et de la qualité de l’Association Familiale de l’Isère Pour Enfants et Adultes handicapés intellectuels (Afipaeim) qui gère l’IME des Nivéoles. Sachez que nous avons essayé de contacter du personnel de l’IME ainsi que d’anciens employés. Aucun n’a eu le cœur, le courage, la dignité de nous fournir les noms des coupables. Aucun. Votre silence vous rend donc complices.
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