APPEL A TEMOIN – FAMILLE VICTIME, CONNAISSANCE, AMIS/ENNEMIS, SI VOUS AVEZ DES INFOS OU UNE PHOTO DU PEDO, MERCI DE NOUS CONTACTER. L’ATTENTE DURE DEPUIS TROP DE TEMPS.CETTE AFFAIRE DATE DE 2019 MAIS NOUS NE LACHERONS JAMAIS LA TRAQUE AUX MONSTRES DE SON GENRE. AIDEZ NOUS, CONTACTEZ NOUS. UPDATE : L’ORDURE VIENT D’ÊTRE ACQUITTÉE IL VA POUVOIR ENCORE VIOLER DES ENFANTS ET RETOURNER A SON JOB D’ENSEIGNANT DE MATERNELLE !! (source mai 2021)
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Un directeur de maternelle abuse d’une vingtaine d’enfants et est relaxé par le juge Yann Jomier au parquet de Bonneville – Haute Savoie.
PROFIL & DÉTAILS
- Date de l’affaire : 7 Novembre 2016
- Date des faits : entre le 1er septembre et le 7 novembre 2016
- Nom du coupable : Bruno Herbaut
- Ville où il vit/vivait : Région de Haute Savoie entre 2015 et 2016
- Localisation : 74800 Cornier / Haute Savoie / Ecole maternelle
- Faits commis : Pénétration de doigts dans le rectum (détail du nombre de victimes exact inconnu), exhibition du pénis sur une vingtaine d’enfants de 3 ans
- Statut : Relaxé
- Peine « évitée » : 5 ans de prison dont 3 avec sursis avec une interdiction définitive d’exercer une activité bénévole ou professionnelle au contact de mineurs ainsi qu’une obligation de soins
- Magistrat/juge coupable de la relaxe : Yann Jomier (il n’en est pas à son premier coup…) parquet de Bonneville
- Elément important : Enquête NTech (enquêteurs nouvelles technologies) : consommation importante de pornographie, possession d’images pédopornographiques et utilisation de TOR. Remarque des enquêteurs : Compétences importantes en informatique et connaissance des méthodes et processus pour naviguer sur internet de façon anonyme.
- Patrice Guiguon procureur NON CORROMPU remet le jugement en cause.
- L’avocate : Coralie Delhaye défend le pédophile
- Les psychologues ont attesté du traumatisme des enfants et cela n’a pas été pris en compte par le tribunal et donc par YANN JOMIER
COUPABLE DE TOUT SAUF DES ABUS
Cornier, magnifique petit village de Haute-Savoie de 1200 habitants, avec toutes commodités, des transports et une école maternelle. Rentrée 2015, le directeur de l’école et instituteur Bruno Herbaut est en charge de l’éducation et la sécurité d’une classe d’enfants de 3 ans. Un an plus tard, le 07 novembre 2016, Bruno Herbaut est suspendu par Christian Bovier, Directeur départemental de l’Éducation nationale. Le 10 novembre 2016, il est mis en examen et placé sous contrôle judiciaire pour agression sexuelle sur mineur de moins de 15 ans. Le vendredi 11 novembre 2016, le journal Le Dauphiné titre « suspicion d’attouchements sexuels » et le lundi 14 Novembre, les familles sont convoquées par Christian Bovier à huis clos pour présenter la situation aux parents. Attouchements sur enfants de 3 ans, rumeurs de récidive… La gendarmerie mène l’enquête : auditions « Mélanie » (procédure adaptée pour entendre les victimes mineures) des enfants, auditions des parents et deux enquêteurs du N’Tech sondent le matériel informatique du suspect : ils y trouvent beaucoup de porno et 3 photos pédos. Bruno Herbaut se montre doué pour cacher ses traces de navigation sur le darknet et sur les réseaux sociaux. Deux ans plus tard, le 24 Juin 2019 s’ouvre le procès de Bruno Herbaut pour agressions sexuelles et exhibitions sexuelles au tribunal correctionnel de Bonneville. Sur la base des auditions « Mélanie » réalisées 2 ans plus tôt, ce sont les parents des 19 enfants qui témoignent devant le tribunal. Les faits rendus publics sont : pénétration de doigts dans le rectum, exhibitions du pénis de Bruno Herbaut, mises à nu des enfants en salle de motricité appelée « salle aux trésors », massages. L’expert pour les familles parle d’exposition à des actes sexuels d’adultes. Les parents expliquent tous avoir constaté des symptômes vécus au même moment des faits par les enfants : terreurs nocturnes, extrême pudeur, énurésie, peur des inconnus au masculin, hypersexualisation. La stratégie de Sylvain Cornier, avocat pénaliste, pour défendre Bruno Herbaut a consisté à remettre en question la valeur des auditions « Mélanie » sur enfants de 3 ans. Les parents auraient pu reporter leurs angoisses sur leur progéniture et les enquêteurs auraient pu faire dire ce qu’ils voulaient entendre aux enfants. La défense a fait venir à la barre Samuel Demarchi, expert universitaire en psychologie sociale et criminelle, qui a expliqué que ces auditions n’avaient pas respecté le protocole de référence. Ils ont tenté de diffuser le reportage sur les dérives de la lutte contre la pédophilie, « l’école du soupçon », qui a été refusée par la cour faute de temps. L’agresseur, lui, nie en bloc. Résultat du procès : les témoignages des 19 enfants de 3 ans ne permettent pas de prouver la culpabilité de Bruno Herbaut. Dans son délibéré, le juge a indiqué que les enfants étaient trop jeunes pour pouvoir porter de telles accusations. Il est relaxé, la peine de 5 ans de prison dont 3 avec sursis avec interdiction définitive d’exercer une activité bénévole ou professionnelle au contact de mineurs ainsi qu’une obligation de soins n’est pas retenue. Bruno Herbaut sort libre et blanchi. Aucune trace de lui à ce jour, il a le droit d’exercer le métier d’instituteur et être au contact des enfants. Son dossier FIJAISV (Fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes) et son casier judiciaire B2 (condamnations sensibles liées aux violences sexuelles sur mineurs) restent vierges. Seul espoir, que le parquet fasse appel de la décision mais les chances sont maigres après 5 ans. Un grand nombre d’enfants décrivent des actes d’horreur, dix-neuf parents constatent des traumatismes dans le même laps de temps, un expert remet en cause le travail de la gendarmerie spécialisée et la justice Française balaye les faits et blanchit un autre pédo, Bruno Herbaut, qui est libre de continuer ses actes pédocriminels.
#Fsociety