Brian WARNER (aka Marilyn MANSON), agent de l’agenda, misanthrope et serial predator



Marilyn MANSON n’existe pas. On a tous vu ses clips, entendu ses sons. On visualise tout de suite la chose. Mais Marilyn MANSON, c’est une invention. Un projet MK ? Il a 52 ans et son vrai nom c’est Brian Hugh WARNER, né le 5 Janvier 1969 à Canton, OHIO.

Les noms de scène des membres du groupe font référence à une star féminine pour le prénom et un criminel pour le nom. Twiggy RAMIREZ (basse), Daisy BERKOWITZ (guitare), Madonna WAYNE GACY (orgue, samples), Ginger FISH (batter), et Marilyn MANSON (« voix »).
Article possiblement super trigger. Il y a beaucoup d’infos pour que vous ayez du contexte. Il y a des citations de Brian, prenez-les avec des pincettes sans pour autant les prendre à la légère. Le type est diplômé en journalisme, il commence à la BBC et quand il est interviewé par la BBC pour la première fois c’est pour dire qu’il rêvait d’être un espion. Plus tard on découvre que le chantage c’est son truc… Brian maîtrise son discours. Millimétré. Socio-maniaque. Narcissique et dangereux. Il se fout de tout le monde. C’est ça « as above / so below » et « in plain sight » : l’occultisme venimeux de l’industrie du divertissement dans toute sa globalité. Il n’est pas question de nier l’aspect cathartique de la musique. Mais de comprendre que la seule chose, aujourd’hui, que nous comprenons des bruits, ce sont les « ondes »… et que la musique est un moyen de contrôle des masses ancestral. Soyons clairs, Brian Warner est accusé de trafic d’êtres humains. Ses victimes décrivent des actes de torture, Evan Rachel WOOD utilise le terme « brainwashed »… et c’est à peine soulevé dans les articles. Posez-vous la question : s’agit-il d’un handler MK ?


Update Mai 2021 : Esmé BIANCO poursuit Brian WARNER et son ancien manager Tony CIULLA et CIULLA Management (CIULLA Management, déjà trafiquant d’êtres humains en 2013 avec la prise en charge du voyage de Zheani SPARKLES d’Australie en Afrique du Sud pour le compte de Watkin de Die Antwoord)  1

Brian

La personne qui parle le plus de Brian, c’est Brian. Aussi difficile qu’ait pu être l’enfance de Brian, les problèmes qu’il a rencontrés ne justifient en rien son comportement de prédateur en série. Brian a des origines anglo-allemandes. 

À propos de la franc-maçonnerie – The Oracle

02 Décembre 2003 question de « illfigure » : « moi-même et beaucoup d’autres à qui j’ai parlé aimeraient vraiment savoir ce que vous pensiez et quelles étaient vos opinions au sujet de la FM, et même si vous ne l’étiez pas vous-même ? »
13 Décembre 2003 réponse de Brian : « cette question nécessite une meilleure compréhension de ce qu’est vraiment ce groupe, avant que je ne veuille discuter de mes sentiments. Ma genèse est profonde en Bavière. Les choses changent, de nouveaux noms pour des anciennes croyances ».

@linfo2trop

Brian fait ce que ferait un FM, il ne répond pas à la question. Il n’y a qu’une personne désespérément seule et craignant que son implication dans une secte ne soit dévoilée qui prend le risque de répondre. 



La musique c’est le contrôle… et Brian contrôle tout, jusqu’à son nom de scène

  • Brian, à propos de Brian : « J’ai choisi ça (Marilyn Manson) comme le nom de scène le plus faux possible pour montrer que c’est ça le show business, c’est fake. Marilyn MONROE n’a jamais été son vrai prénom à elle, Charles MANSON c’est pas son vrai nom, et maintenant, je les prends pour qu’ils deviennent mon vrai nom. Mais qu’est-ce qui est réel ? Tu ne peux pas connaître la vérité, tu choisis le mensonge qui te plaît le plus. Tant que tu sais que tout est un mensonge, tu risques rien ». 
  • Brian, à propos de Brian : “Le premier article que j’ai écrit était au sujet de Marilyn MANSON, je l’ai écrit en tant que Brian WARNER, et c’est notamment pour ça que je devais avoir un pseudonyme, un nom de scène. Je me suis retrouvé bloqué dans la situation avec… (il se reprend) dans laquelle j’avais créé le monstre de Frankenstein. Il y avait Marilyn MANSON, mais pas encore de musique. J’ai créé un monde artificiel, peut-être parce que je n’aimais pas celui dans lequel je vivais. Mais c’est ce qui m’a fait faire de la musique. »



Brian contrôle tout, parce qu’il n’a jamais eu de contrôle sur quoi que ce soit auparavant. 

Les informations suivantes proviennent de son autobiographie : The long hard road out of hell (1998). Brian dit avoir été traumatisé par les responsables pédagogiques chrétiens de la première école qu’il a fréquenté : l’Heritage Christian School. Après l’école Heritage Christian, il est envoyé à Glen Oak High School in 1987. En 1990, il est étudiant en journalisme à Brocard Community College. Brian devient rédacteur adjoint de la section divertissement de The Observer, le journal étudiant de la BCC. Brian explique que sa rébellion contre l’église catholique est née de sa peur de la mort de l’antichrist. « Ça m’a obsédé, j’ai regardé des films, The Exorcist and the Omen et lu des livres prophétiques : Centuries de Nostradamus, 1984 de George Orwell, et la version écrite du film Thief in the Night. » En 2015, dans une interview pour The Guardian, Brian explique que son père travaillait tout le temps, que sa mère, atteinte de la maladie d’Alzheimer se méprenait et appelait son fils par le prénom de son mari. Barbara J. WARNER est morte le 13 Mai 2014. Le père de Brian, Hugh A. WARNER vétéran de la guerre du Vietnam souffrait de PTSD, Brian dit que son père était « très bon dans ce qu’il faisait, c’est-à-dire tuer des gens ». On trouve d’autres informations dans la bio iMDB de Brian ; d’où vient cette info ? : « Pendant son enfance, un de ses voisins l’a agressé à plusieurs reprises jusqu’à ce que le jeune Brian raconte à sa mère ce qui s’est passé. Enfant unique, il se lançait souvent dans des activités malicieuses comme l’aventure à travers les sex toys de son grand-père Jack Warner, tirait avec son cousin Chad au pistolet à billes et créait des magazines sexuels à vendre à ses camarades de classe. Brian a toujours beaucoup parlé. Il parle de lui à la troisième personne. Il sait ce qu’il dit. Quand Brian parle de son enfance difficile — ce qu’il fait en toute jouissance et connaissance de l’impact que ses révélations ont sur le public — il se délecte de l’empathie et la compréhension qu’il suscite. Les soutiens ont beau dire qu’il n’a pas eu une enfance facile. Brian est tout à fait conscient de ce qu’il fait, il incarne l’effet boule de neige, parce que starification ». Mais par qui ? Quoiqu’il en soit, Brian sait ce qu’il fait quand il décrit les souvenirs qu’il a de lui, adolescent, s’énervant contre sa mère, à quel point il détestait la Christian School, il était persécuté par les autres enfants qui le pensaient gay. Brian sait aussi ce qu’il fait quand il parle de son grand-père, branché zoophilie, sans expliquer davantage. Le journaliste demande à Brian s’il envisage la paternité différemment depuis le décès de sa génitrice. « Le plus proche qu’il ait été d’avoir des enfants avant maintenant c’est le fœtus en bocal qu’il garde dans sa maison et dont le nom est Ludwig Von Manson. » On est sur l’interview du journal The Guardian hein. In plain sight. Tout ceux qui vont dire son nia nia nia, sa passion nazie n’a rien à voir des accusations de crimes sexuels, ses paroles et interviews ne sont pas admissibles comme preuves, comprenons-nous bien : que nenni, ce qu’il propage est terrifiant, Brian a toujours prôné la violence.



« Garçon solitaire, Brian a pour seul ami son cousin Chad qu’il retrouve chaque jour après l’école, chez sa grand-mère, Beatrice WARNER, qui les garde jusqu’à ce que les parents finissent leur journée de travail. Ensemble ils jouent aux espions, profession que Brian rêve alors d’exercer. La personne qu’ils préfèrent épier est leur grand-père, Jack, routier à la retraite. Jack descend souvent à la cave faire tourner un petit train électrique. Au fil de leurs « enquêtes », Brian et Chad découvrent que la cave n’est pas ce qu’ils ont imaginé. Leur grand-père y conserve toute une collection de revues pornographiques, de vieux jouets sexuels, de sous-vêtements féminins, de perruques et même de photos zoophiles. « Quand j’étais gamin, grand-père me paraissait monstrueux mais en grandissant je me suis rendu compte que mon grand-père était.. bin chui comme lui donc il est pas si mal que ça. » 

2003, sur le plateau de Tout le monde en parle, Thierry ARDISSON interview Brian. En présence d’Yvan ATTAL, Jennifer AYACHE, Laurent BAFFIE, Jacques CAPELOVICI et Chantal LAUBY




Satanisme

Il faut bien comprendre qu’on ne dit pas que Brian est un sataniste juste parce qu’il s’habille en noir et qu’il n’est pas sorti de sa période gothique.

« The ability to make small children cry at the store i like better than the fame. » — Brian 
« Je préfère la capacité à faire pleurer des petits enfants dans un magasin que la gloire »

Brian aborde des symboles maçonniques : bague rouge avec l’équerre et le compas et bague noire avec un pentacle. Plusieurs questions se posent vis-à-vis de ses inspirations. Son personnage est le prototype de « l’anti-Alice ». Un calcul simple pour comprendre : Alice = Lewis Caroll + Disney = MK ; Marilyn MONROE + Charles MANSON = MK. Brian = MK.



La Church of Satan

Il a des mentors. On ne devient pas l’archétype du malin comme ça, par hasard. Un jour, on passe le seuil de la Church of Satan et on se dit « ah mais tiens, c’est super ! je reviens asap. » En voilà un super outil marketing pour un groupe de metal : devenir révérend de la Church of Satan ! Brian reçoit le titre de « révérend » de la bouche du fondateur de la Church of Satan, Anton Szandor LAVEY himself.



Charles MANSON

Brian et Charles MANSON échangent au moins deux courriers. Voici la traduction de la carte postale de Charles MANSON destinée à Brian (Août 2012) : 

« Il m’a fallu beaucoup de temps pour arriver là où je pouvais toucher M. Manson. Maintenant, j’ai une carte à jouer : vous pouvez vous renseigner sur mon association à but non lucratif, ATWA, et donner à Manson ce que vous pensez qu’il vient chercher de l’air, des arbres, de l’eau et vous. Ou bien je lui donnerai ce que vous pensez que Manson a reçu – la musique a transformé Manson en Abraxas, et je suis sûr que vous voudriez une partie de ce que j’ai reçu. C’est un équilibre (« BALENCE », sur la carte postale) qui est loin d’être parfait. Au-delà du bien et du mal, du bien et du mal. Ce que vous ne faites pas, c’est ce que je vais faire – ce que vous avez fait une chanson, et laissez-vous aller et dites comment vous m’avez sauvé de nombreux pas – je n’ai pas besoin, ce n’est pas un besoin ou un désir. Coup d’État – coup d’État. Les danseurs fantômes se sont battus ensemble et tu es juste dans ma tombe. Corona-coronas-coronae – tu m’as vu d’en dessous avec tout ça sur moi. C’est 2 camions à benne – qui font la même chose que CMF 000007



Lewis CARROLL et Walt DISNEY ou les scripts de programmation

D’où vient la glorification de Baphomet dans les contes de fées destinés aux enfants ? Combien de personnages de bande dessinée abordent le satanisme, la torture, le kidnapping, la violence sexuelle et le sadisme ? En général personne ne se pose la question tant qu’à la fin du conte, le bien triomphe du mal. On justifie la lecture de Harry Potter parce que ça « encourage les enfants à lire » alors que les livres Harry Potter contiennent le genre de contenu enseigné aux enfants dans les sectes. Nombreux sont les auteurs de classiques pour enfants à être liés à des scandales de pédocriminalité ou à des sociétés occultes. D’une manière ou d’une autre, les histoires pour enfants rendent hommage à l’idole du mal ; Pan. La série Narnia de C.S. LEWIS introduit « Tumnus », basé sur le pédo-dieu Pan. Autre point commun entre les auteurs de littérature pour enfants et les pédos : PIE (Paedophile Information Exchange — dont la devise ne laisse aucune place à l’interprétation : « Sex before eight – before it’s too late »). Il faut bien comprendre que PIE a été imaginé d’après d’anciens groupes comme la Guilde des collectionneurs de Lewis CARROLL et le club homosexuel, Peter Pan Club (fondé par Frank HOUSTON). Le vrai nom de Lewis CARROLL, l’auteur de la série Alice au pays des merveilles est Charles Lutwidge DODGSON ; ses deux prénoms Charles Lutwidge latinisés et anglicisés puis inversés… Le type était un pédocriminel notoire, il avait une obsession : photographier une petite fille nue. Alice. Alice était son obsession. Les fondateurs des réseaux pédocriminels clandestins les ont baptisés Peter Pan Club et Lewis CARROLL Collectors’ Guild parce qu’ils ont reconnu James M. BARRIE (Peter Pan) et Lewis CARROLL (Alice au pays des merveilles) comme étant des dégénérés attirés par les enfants. La Lewis CARROLL Collectors Guild était dirigée par David LECHTON. LECHTON a éditéun pédo-journal appelé « Wonderland » dans lequel il diffusait des photos d’enfants nus jusqu’à sa mort en 1988. Le magazine était envoyé au Japon, au Mexique, au Canada…. Le Peter Pan Club parce que l’histoire du Peter Pan de James M. BARRIE rend hommage à Pan. Le concept des « garçons perdus » de BARRIE est une représentation déviante de garçons dont le développement émotionnel a été freiné à l’âge auquel ils sont victimes d’un premier viol et qui auraient ainsi hérité de l’esprit pédocriminel du dieu Pan. Les scripts de programmation utilisent des comptines et des contes de fées traditionnels, d’anciennes mythologies qui deviennent des films et des livres pour enfants. Par exemple Le Lion (The Lion), la Sorcière et l’Armoire (Witch and the Wardrobe), Peter Pan, Le Seigneur des Anneaux (Lord of the Rings), Alice au Pays des Merveilles (Alice in Wonderland), et Le Merveilleux Magicien d’Oz (The Wonderful Wizard of Oz). ‘Oz’ est Osiris, et le contrôle des esprits a été développé dans l’Égypte ancienne. Notez le mot « merveille » – « wonder » utilisé dans les deux derniers titres. En l’occurrence, la programmation Wonderland, le trou du lapin représente le passage anal que le lapin blanc (le programmateur) pénètre (sodomisant) la victime. Toutes les productions Disney sont à considérer comme des scripts de programmation. Faudrait quand même pas oublier que le type était un nazi. Walt a toujours été fasciné par les sciences occultes, les dessins animés, la nature et les enfants… Walt demandait aux dessinateurs que les animaux soient anthropomorphiques, pour que les spectateurs oublient qu’ils regardent des animaux. Bambi est baptisé, les animaux le saluent comme un « prince », etc. La grande majorité des films Disney qui visent les enfants, présentent très tôt dans l’histoire a) la mort d’un ou des deux parents ; et/ou b) un ou les deux parents étant absents du film sans explication, l’enfant déjà orphelin. Cela est fait parce que rien n’invoque plus la réaction de peur psychique d’un enfant que de vivre la perte d’un parent. Cette réaction de peur déclenche une activité au niveau du tronc cérébral, le système limbique.

« Le bonheur est une maladie mentale » —  Brian 




La musique : instrument de pouvoir

Et c’est d’ailleurs pour ça qu’on parle des « instruments de pouvoir ». Toutes les élites ont toujours été organisées autour de la musique pour « dieu ». C’est toujours le cas. La musique populaire a toujours été méprisée, considérée comme le produit du diable, en partie parce que jouée par des noirs. Le blues qui vient des chants Gospel. Et le jazz qui n’a pas de règle et se joue sans chef d’orchestre. Pensez aux rappeurs qui imitaient les gangs pour se faire une réputation. Certains rappeurs comme Eazy E ont utilisé leur affiliation à des gangs pour asseoir leur réputation. De vraies histoires de gangsters. Des rappeurs sans aucun lien avec des gangs ni même avec un passé criminel rappent encore à ce sujet. Il en résulte un grand clivage entre l’idée de savoir s’il est acceptable d’être un conteur d’histoires pour promouvoir un concept, ou si les rappeurs doivent raconter des histoires dont ils sont le produit et qu’ils peuvent représenter de manière authentique. L’un des plus grands exemples de cette prise de conscience a été lorsque Eazy E a dit que Dr Dre était ce qu’il appelait un « gangsta de studio » car Dr Dre a grandi dans une jolie maison de classe moyenne et n’avait lui-même aucun concept de la vie de gang. Dre avait de bons écrivains qui pouvaient l’aider à raconter des histoires sur cette vie, mais Eazy pensait que seuls les gens qui la vivaient devraient en parler. Ce genre de choses continue encore aujourd’hui, et je ne suis pas sûr que ce soit une bonne chose pour la musique. Les groupes doivent être abrasifs pour se faire remarquer. Pensez-vous que Brian aurait réussi s’il n’avait été qu’un intello délivrant ce même message sur de la musique d’ambiance ? Sauf que le rock se revendique comme étant le produit du diable, c’est différent. Le rock est joué par des blancs avec des instruments branchés. Si ça n’était pas assez clair, en France, on a le festival Hellfest par exemple. Une messe du diable ? Brian s’adresse aux blancs, il a une grande connaissance ésotérique et se donne des airs de philosophe de antichristique. Peut-être est-ce un agent de la CIA consentant ? Il assume en tout cas, son rôle d’envoyé de Satan. Tout le monde connait la vidéo de Bob DYLAN dans laquelle il dit avoir vendu son âme au diable…. mais qu’a donc bien pu faire Brian pour en arriver là ? Ce sont les adolescents qui sont la cible de Brian et de l’agenda en général. L’âge de la crise d’adolescence, du rejet de tout. La période où les esprits se forment. La quête d’autonomie : et quoi de mieux et d’identifiable que l’apparence ? Plus c’est clivant, mieux c’est. A priori, personne n’est attiré par les performances vocales des MM, Alice Cooper, Courtney Love ; c’est plutôt leur comportement outrageous, et le fait qu’ils proposent quelque chose de différent en plus d’arborer un pseudo courage. Le courage, ce n’est pas ça. Le courage c’est ce dont ont fait preuve les victimes de Brian Warner en témoignant. 

 « Si tu rigoles après l’avoir violée c’est pas un viol. » — Brian




Musique

Me me me… Son premier groupe : Marilyn Manson and the Spooky Kids. Considéré comme le pire, le plus grand, le plus bruyant et le plus dangereux groupe de musique que Broward County ait jamais connu. Le groupe a galvanisé les foules locales comme jamais auparavant. Jusqu’à maintenant il était plus connu pour son rôle d’agent du mal et son mariage avec Dita von TEESE que pour toute autre contribution musicale. Brian définit « Marilyn » et « MANSON » comme étant les deux phases de sa personnalité « dieu et satan ». Il a emménagé dans l’ancienne maison des patrons de Chess Record et Rolling Stones Magazine. Combien de ses connaissances sont mortes ? 



Trent Reznor

Commentaire de l’internet : « ses meilleures chansons sont celles écrites ou produites par Trent REZNOR (un des premiers producteurs de Brian). D’après un passage de l’autobiographie-ramassis de Brian (The Long Hard Road Out of Hell, 1998), Brian et Trent REZNOR auraient agressé une femme en état d’ébriété. Dès la sortie du livre Trent déclare que le passage était une « fabrication complète » de Brian. Suite aux révélations de ces derniers jours, Trent (re)prend la parole : « j’ai exprimé au fil des ans mon aversion pour Manson en tant que personne et j’ai coupé les ponts avec lui il y a près de 25 ans… Comme je l’ai dit à l’époque, le passage des mémoires de Manson est une fabrication complète. J’étais furieux et offensé quand il est sorti et je le suis toujours aujourd’hui ». En 2009, dans une interview, Trent REZNOR a décrit Manson comme un « un type malveillant et il écrasera n’importe qui pour réussir et franchir n’importe quelle ligne de décence… En le voyant maintenant, la drogue et l’alcool régissent sa vie et il est devenu un clown stupide ».


Stephen Gregory BIER Jr

D’après Stephen Gregory BIER Jr (a.k.a. Madonna WAYNE GACY, orgue, samples dans le groupe Marilyn MANSON), Brian a dépensé une énorme partie de l’argent du groupe en artefacts nazis (machines à écrire SS, croix gammée sur les murs, cintres du gouvernement nazi appartenant à Adolf Hitler, un sac à main ayant appartenu à Eva Braun pour Dita Von Teese), en drogues (cocaïne et Vicodin) et pour la production du film « Phantasmagoria : The Visions of Lewis Carroll ». A côté de cela, Brian collectionnait des animaux empaillés, dont un grizzly californien et deux babouins, il avait aussi le squelette complet d’un homme du XVIIe siècle en fauteuil roulant. Brian a aussi utilisé l’argent du groupe pour acheter des masques africains en peau humaine et le squelette complet d’une petite fille Chinoise de 4 ans. 




Bref aperçu du cauchemar

Dans les chansons du groupe Marilyn MANSON, il y a une punchline au début ; les tracks ne durent pas plus de 5 minutes, c’est très pauvre. Un clip ne se tourne pas tout seul. Les personnes qui travaillent avec Brian sont payées pour assurer leur confidentialité. Considérant la redondance de la thématique « filles à poil » on peut supposer que ses équipes doivent vraiment apprécier déshabiller les actrices (et/ou les terroriser) ; jusqu’à maintenant en tout cas, ils ont toujours réussi à trouver de la chair fraîche. Imaginez un instant l’ambiance de travail avec Brian. Est-ce qu’ils mettent la musique pendant tout le temps qu’ils tournent ? Imaginez un peu ce taré qui dit : « tiens, j’enlève mes fringues, je me mets là et je simule une pénétration ». En regardant les clips du groupe Marilyn MANSON, on en vient à se demander si la première passion de Brian ne serait pas accessoiriste, et si les tournages et les clips ne servaient pas que de prétexte pour exhiber son personnage de bourreau.. et si il ne fait que jouer son propre rôle. In plain sight. 


Album — Pedophile’s Dream (1994)

The hands of small children 
Diary of a dope fiend
Sxxxxy chicken gang bang
Kiddie grinder (remix)
Sympathy for the parents
Sweet dreams (are made of this)
Everlasting cxxxsucker (remix)
Fxxx Frankie
I put a spell on you…
May cause discoloration of the urine or feces
Scabs, guns and peanut butter
Dance of the dope hats (remix)
White trash (remixed by Tony F. WIGGINS)
Dancing with the one-legged…
Rock’n’roll nigger


Album — Portait of an American family 
Clip — Lunchbox (1994)
Il y un petit garçon dans ce clip. Le tournage de cinglés. Brian est encore « en devenir » mais, déjà, il va se met en position de victime pour vendre sa musique et semble vouloir nous faire entendre « quand j’étais petit, on m’a piqué mon goûter alors c’est normal que je sois devenu méchant ».
Il est question de cannibalisme ; mais qu’est-ce qu’il y a dans cette boîte en fait ?


Album — Smells Like children (1995)
Clip — Tourniquet (1996)
C’est morbide, narcissique, la putréfaction de la tourmente. Des papillons représentent le contrôle mental. Une poupée en cage ; l’histoire de ses relations avec les femmes ?
Au moins un enfant dans ce clip. 


Clip — The long hard road out of hell (1999)
Un foetus et un cadavre d’enfant ; ah.. ils sont là ! sont-ils issus de la collection personnelle de Brian ? Deux petites filles. Il est clairement question de contrôle. Deux femmes qui tiennent leurs fleurs, ce sont des chrysanthèmes. 
Brian porte du vernis, se met les doigts dans la bouche. C’est une caricature de l’agenda LGBTPZ+ quand il se penche, nu, sans que son pénis ne pende. Il a une corne sur le front (un substitut phallique comme métaphore de son obsession). C’est clairement une représentation de Baphomet et c’est über-satanique. 


Clip — The Beautiful People (1999)
Prothèses et mind-control à la Orange Mécanique (Kubrick, 1971)


Clip — Disposable Teens (2000)
Brian est incarne un pape ; la coiffe du pape peut être envisagée comme le symbole du crâne allongé de la mythologie mésopotamienne ; de l’île de Pâques à l’Egypte, jusqu’aux Maya et les délires qu’on a en Europe avec les chapeaux (la reine d’Angleterre notamment).
C’est une allégeance satanique ; de la programmation et un entraînement macabre. Brian détourne la scène du Christ en mangeant littéralement le corps du Christ ; un hommage au cannibalisme de la fête Rothschild ? Une cage, et l’ange déchu avec un morceau de viande sur le côté. Il est question de sadisme : « plus tu as peur plus nous grandissons ». 


Album — The Golden Age of Grotesque (2003)
Clip — Mobscene 
Réalisé par Brian et Thomas KLOSS.
Présentation de l’agenda, de l’enthousiasme de Brian pour les échasses (le cirque). Rejet de tout, violence et sexe. Deux femmes sur un divan, ambiance snuff movie. 
Spirales, hypnose, une cage ; allusions à la dissociation et au contrôle mental. Il y a aussi un paon blanc (la renaissance) tenu par une fille avec une cage sur la tête.
À 44 secondes du clip, Brian porte un képi ; s’agit-il d’une de ses propres pièces de collection ? 
Une armée de femmes zombifiées en tenue de cabaret version militaire aux couleurs de l’armée allemande fait le salut nazi ; serait-ce une allégorie de ses relations humaines ? 
Le thème de l’abus des enfants est plus que récurrent chez Brian, dans Mobscene, une petite fille avec un bandage sur la tête tient la tête (décapitée) de Brian entre ses mains ; le trauma qui ne quitte jamais sa victime en images. S’il est aussi intelligent qu’il prétend l’être, il n’ignore aucune des signification des symboles véhiculés. 
Dita Von TEESE apparaît dans le clip dans un grand verre à cocktail (ce n’est qu’en Octobre 2006 que Dita est à l’affiche de son « effeuillage » au Crazy Horse (invitée par Andrée DEISSENBERG, la nouvelle DG « création et développement » du Crazy Horse).


Clip — Autopsy (2004)
Très très dérangeant. Disponible sur Youtube (connexion obligatoire mais sur YouTube, n’importe quoi !!)
C’est un snuff movie (what has been seen cannot be unseen). 


Clip — (S)aint (2004)
Réalisé par Asia ARGENTO (durée 3 minutes 57). L’histoire du fantasme de Brian. Dans une chambre d’hôtel avec une caméra derrière lui on va revivre ce que Brian vient de vivre. La vidéo est extrêmement explicite (bondage, nudité, actes sexuels, consommation de drogues). Il se sacrifie en direct devant la caméra d’Asia ARGENTO. Brian a le nez en sang. C’est encore une fois super narcissique ; Brian se masturbe face à une fille. Une autre fille, nue, est bâillonnée. Pendant tout le clip Brian répète « what’s my name ». Eric SZMANDA qui incarne un agent de police dans les séries CSI / Les Experts apparaît en travesti, une fille avec le nombre 23 tatoué dans la nuque. Porno, coke, mutilation. Disponible sur YouTube. 

Mai 2007 à Mars 2008 : tournée Eat Me, Drink Me (Alice au Pays des Merveilles)


Clip — Arma-goddamn-mother-fucking-geddon (2009)
Couverture de l’album avec l’emblème « Arms of the Masons » de Heideloff (1515)
« Satanic cult gone wild ».
L’histoire de sa relation avec les femmes – qui portent des masques en latex. Encore des casques et des pièces de collection. Le dollar représenté aux couleurs nazies. Il utilise son savoir ésotérique comme outil marketing. 


Clip — Deep 6 (2014)
Brian passion vers de terre et sphincter. Thème récurrent de « la fille à poil » ; pour tourner ça des filles nues ont été tirées par les jambes par quelqu’un habillé en vert. Brian est bien marqué par la vie. C’est de la pop. 


Clip — Cupid carries a gun (2015)
Aucun clip = pas d’argent.


Clip — Kill 4 Me (2017)
Avec Johnny DEPP. Réalisé par Bill YUKICH. Produit par Travis CULTRERI ; directeur de la photographie : Matt BASS ; design : John RICHOUX. Relations avec les femmes… À nouveau, plein de narcissisme, de spirales, de pentacles. La musique pue la production. Johnny est dans une salle de contrôle, il a accès à plein de caméras. C’est la représentation d’un plan à trois.. et d’une fille qui meurt sans que personne ne lui vienne en aide. Pendant ce temps-là ça chante « this is a sacrifice ». 


Clip — Tattoued in Reverse (2018)
Über-satanique. Extrêmement sexuel et très explicite. Des images subliminales de croix tout au long du clip. Représentation de la dissociation et des personnalités multiples et du contrôle mental. Il y a la poupée d’un bébé. Dans un hôpital, une femme subit une série d’électrochocs. Après la procédure elle se jette au cou de Brian : elle est transformée et atteint ensuite la glorification sexuelle en étant encerclée de personnes sans visages. Encore une allégorie de la relation de Brian avec les femmes. 


Clip — Don’t chase the dead (2020)
Avec Norman REEDUS. Brian et Norman ont un accident, ils sont au volant d’une voiture. Brian est blessé au ventre. Il émerge d’un bain de sang. 




ALLONS UN PEU PLUS LOIN…

  • Dans les registres du Sénat du 6 Janvier 1995 : Bob DOLE et Dwayne O. ANDREAS discutent de la médiatisation croissante de violences, dans la musique, les médias et à la télévision.
    En Mai 1995, DOLE accuse Interscope Records, la maison de disques du groupe Marilyn MANSON « de glorifier la violence et la soumission des femmes ».
  • Brian peint des aquarelles et possède aussi sa propre galerie la Celebritarian Corporation Gallery (= transport de marchandises).


Le projet cinématographie de Brian qui n’aboutira jamais. « Phantasmagoria : the visions of Lewis CARROLL« . Brian a tenté de produire « Phantasmagoria : the visions of Lewis CARROLL » entre 2006-2009 – jamais sorti en salles, n’a pas trouvé de distributeur). D’après le pitch il s’agirait de l’interprétation de Brian de la vie de Lewis CARROLL et de son « incapacité torturée à trouver l’amour et à trouver le bonheur dans sa vie » (qu’il incarnerait lui-même) et du personnage d’Alice joué par Lily COLE. La réalisation a été reportée plusieurs fois. Quelques images officielles ont été diffusées en Avril 2010 avant que la production du film ne soit à nouveau arrêtée. Il semblerait plutôt qu’il s’agisse d’un patchwork de séquences de tortures, à mi-chemin entre le film sous contrainte et le film de compromission (blackmail). « Faute de moyens » ou plutôt parce qu’on lui a dit qu’il irait en prison si le film venait à sortir…. même s’il est dit que « seuls Brian et son avocat avaient alors visionné les bandes… »
Co-scénariste : Anthony SILVA ; réalisateur : Roger AVARY ; avec Alan CUMMING et Tilda SWINTON.


Tout ce qu’il fait, tout ce qu’il est. Tout ce qu’il a été conçu pour représenter le satanisme. Jusqu’à sa propre personne. Ses tatouages par exemple. Brian aplusieurs symboles alchimiques sur les doigts : Mercure, Terre, Jupiter, Phosphore, Cinabre, Arsenic, Souffre noir, Crocus veveri. Sur la main gauche « la signature de Lucifer ». Description d’une de ses publications sur Instagram : « de peur d’oublier au moins une reconnaissance par-dessus l’épaule au tout premier radical : de toutes nos légendes, mythologies et histoire (et qui doit savoir où la mythologie s’arrête et où commence l’histoire ou laquelle est laquelle), le premier radical connu à l’homme qui s’est rebellé contre l’establishment et l’a fait si efficacement qu’il a au moins gagné son propre royaume — Lucifer ». À l’intérieur du poignet gauche, le fameux symbole pédo coeur-spirale qu’il se serait tatoué « en hommage à Evan Rachel WOOD » pour l’avoir inspiré…. Brian a le contrôle total de sa propre narrative. Il orchestre tout, aussi via la parution de ses propres livres. Dont l’autobiographie « The Long Hard Road out of Hell » parue en 1998. Brian ne l’écrit pas tout seul évidemment, le livre de sa vie est co-écrit avec Neil STRAUSS (un autre misogyne, coach en séduction de son état). Dedans, il admet avoir abusé de beaucoup, beaucoup de femmes. Il parle des jeunes fans qu’il a ligoté et torturé après ses concerts. Il parle de mettre le feu au pubis d’une femme et de doigter une femme sans consentement en public. Et plus encore. Il admet tous ces crimes cruels, d’autant plus qu’il a l’air de penser que ça rend sa vie excitante et subversive. En-dehors des normes. Il se perçoit comme une victime et devient de défenseur des incompris, juste après avoir écrit qu’il venait de torturer une « sal*pe ». Avec fierté. In plain sight.


On a un type qui dit s’exprimer pour les incompris mais qui séquestre, martyrise et torture ses compagnes et collaborateurs. Qui est derrière tout ça ? Brian serait-il un espion ? Dans une interview il mentionne le fait d’avoir rêvé de devenir espion lorsqu’il était petit. Agent pas si secret obviously. Mais agent tout de même : agent de l’agenda ? De qui ? Est-ce que Brian c’est juste un « wanabee » ? De ce qui transparait dans les recherches, il a l’air d’un soldat, Brian est un petit chef. Son pouvoir, il le tire du blackmail (les vidéos de compromission tournées à l’insu de ses victimes). Entitled MF qui se croit au-dessus de tout parce qu’il est « philosophe » et qu’il « fait du métal »… Brian est également agent de la décadence. On l’appelle « l’agenda LGBT(PZ+) ». Brian se représente lui-même. Grimé, portant des prothèses mammaires dans ses clips, pochettes d’albums et autres productions « artistiques ». Narcissique vous disiez ? La période métal de Brian s’est arrêtée il y a dix ans, c’est peut-être lié au fait d’embrasser la cause « LGBT(PZ+). Au fil des années on n’entend plus que des accords arrangés en production, ce n’est plus du métal. De la « dark pop » à la limite. L’agenda de qui ? qui le soutient ? d’où vient l’argent ? Jusqu’à présent, et malgré le peu de talent de Brian, on ne peut que constater l’atroce pérennité de sa carrière et ce que le pouvoir lui a permis de faire… Son explosion et toutes les fois où Brian a été médiatisé dépendent de son entourage. Il n’est pas question de talent ni dans son groupe de musique, ni dans ses aquarelles. Tourner des clips coûte une fortune, ce sont les personnes derrière Brian qui ont l’argent. QUI ? On a MTV, qui fait sa promo depuis des décennies (MTV, filiale de Viacom, CBS Networks, EMEAA : MTV + VH1 + VIVA + NICKELODEON + COMEDY CENTRAL + CHANNEL5..). Qui achète ses aquarelles ? qui visite sa galerie ? Pendant des années, les personnes qui entourent, soutiennent et financent Brian ont (au choix) laissé faire, laissé passé ou laissent toujours faire et passer. Certains des proches et des collaborateurs de Brian ont contribué à mettre des vies en danger en toute conscience ; d’autres ont été instrumentalisés par Brian, toujours dans le but de nuire à la vie d’autrui.


La presse lui a tout laissé passer : 

The Guardian — « Quand Jim MORRISON est arrêté en 1969 à Miami pour s’être exhibé sur scène, les salles ont annulé les spectacles, les stations de radio ont mis le groupe sur liste noire et la presse est devenue hostile. Mais, lorsque Brian a été arrêté pour le même délit 32 ans plus tard, la nouvelle a été accueillie avec un haussement d’épaules à l’échelle mondiale. »

Evan Rachel WOOD parle de lavage de cerveau, c’est complètement omis dans les médias, évincé. Est-ce de l’incompétence journalistique ? une demande des rédactions en chef ? de plus haut ? Est-ce parce que Brian aurait été recruté par la CIA, in fine ? Ou est-ce que dans son propre délire égocentrique il s’est investi de cette mission tout seul ? En fait, il propose un film d’horreur en vrai à ses compagnes. Au fur et à mesure de ses relations, Brian, comme tout sociopathe – narcissique – sadique – masochiste – … – gagne en puissance, en confiance et, bien sûr, en expérience. On constate qu’il jouit de briser les autres. On pourrait dire « control freak » si c’était suffisant. Ça ne l’est pas. Est-ce qu’il prévoit des scénarios de l’horreur pour chaque relation ? est-ce qu’il a des bouffées délirantes sadiques chroniques ? Dans l’une de ses biographies disponibles sur l’Internet, il est indiqué que Brian joue de la « flute de Pan ». On ne va revenir sur l’étymologie grecque et mythologique de la racine du mot « pan » ; devenu « panique » (c’est pour ça que l’expression « Satanic Panic » des années 60 de la Church of Satan est une insulte aux victimes de crimes et d’abus rituels et sataniques). L’expression « jouer de la flûte » signifie aussi « mentir ». Si on part du principe que Brian se fout de la gueule du monde comme il respire, ça colle assez. Pour Brian, idolâtrer le mal et Satan est l’expression de la liberté, c’est clair dans sa « carrière » comme dans sa vie.
Les gants blancs (« Phantasmagoria… »).




Entourage de Brian 

Ces individus ne sont pas connus sous leurs vrais noms et prénoms, et cette liste est loin d’être exhaustive.. Eminem (Remix de The way I Am), Brian MOLKO, Lady Gaga (MK, satanisme, agenda LGBT), Jonathan DAVIS (Korn), Richard KRUSPE (Rammstein, Emigrate), Joey JORDISON (ex-Slipknot), Rob ZOMBIE (satanisme), Quentin DUPIEUX (Wrong Cops)…
Tour d’horizon d’un échantillon de l’entourage shady de Brian :



David LYNCH 

Au début de sa carrière LYNCH réalise des films expérimentaux. Courts métrages dont les thèmes oscillent entre les trauma physiques et psychologiques. Brian et LYNCH se rencontrent par l’intermédiaire de Trent Reznor. LYNCH offre un rôle à Brian dans Lost Highway (1999). LYNCH rédige la préface de l’autobiographie de Brian – The Long Hard Road Out of Hell. Brian et LYNCH collaborent à nouveau en 2011 avec la parution de Genealogies of Pain (Catherine HUG, David LYNCH, Brian WARNER) qui contient des peintures de Brian et des « œuvres visuelles de LYNCH. LYNCH lui donne du crédit -littéralement.


Alice COOPER

Dans une interview, Alice COOPER : se rencontrent en Transylvanie…. c’est à dire la Roumanie. La Transylvanie c’est Dracula, les vampires etc… pas de coïncidences chez les représentants sataniques.


Justin BIEBER

Brian publie des photos de Justin BIEBER : « c’est bouleversant quand on prête une chemise à quelqu’un après une sodomie sans la rendre. Au moins, elle est utilisée pour une « bonne cause » : « Justin BIEBER OOO the douche show »


Nicolas CAGE

Très récemment, le 20 Octobre 2020 : Nicolas CAGE est interviewé par Brian. Voilà ce qu’on apprend dans cet étrange échange ; qu’on peut facilement imaginer comme étant, encore une fois, du foutage de gueule. L’oncle de Nicolas est le réalisateur Francis Ford Coppola. Brian l’appelle « Nick », Brian et Nicolas se connaissent depuis des années, ils sont fort proches. C’est Nicolas CAGE qui achète son premier tableau à Brian lors de son premier vernissage. Brian, à Nicolas :  « t’es un collectionneur.. d’art notamment.. On a parlé des créateurs vivantes et mortes que t’accumulais avec ta fascination de l’inconnu et des origines inexplicables. » Ils parlent de mystique de numérologie, Nicolas évoque la nécessité de dissociation inhérente au métier d’acteur hollywoodien. Nicolas explique également son idée de scénario : un garçon de 13 ans qui ne peut pas s’empêcher de crier « cork » et ça le fait beaucoup rire. CAGE raconte aussi avoir joué au casino pour la dernière fois il y a 30 ans… au Bahamas. La roulette aurait rapporté $20 000 à Nicolas qui explique s’être empressé de donner ses gains à un orphelinat de l’archipel : « tenez, c’est pour vous », aurait-il dit à la directrice et aux écoliers. 


Marc JACOBS 

Collaboration Brian – Courtney LOVE et Marc JACOBS.


Shia LABEOUF 

Avec Brian, Shia réalise une « performance artistique ».. que ne ferait-on pas au nom de l’art ? La vidéo s’appelle « Born Vilain » et met en scène deux femmes, dont l’ex-compagne de Shia, FKATWIGS. Elles sont agenouillées à terre, nues évidemment. Une blonde, une brune, Shia leur coupe les cheveux. On voit un gosse victime des attouchements d’un vieux type, est-ce une représentation en hommage à Brian et son grand-père ? on voit un médecin, et quelque chose qui ressemble à une cage de dépravation sensorielle. Un œil enlevé. Main sur la bouche. Aiguille enfoncée dans la joue. Œil greffé sous la peau. Œil mis dans le vagin. Des cris de torture. Un flingue. Du sang. Disponible sur YouTube. Il est clairement question de violences et de PTSD.


Die Antwoord

Groupe composé de : Anri du Toit a.k.a. Yolandi VISSER (« Yo-Landi VI$$ER », ou « Zef ») et Watkin Tudor JONES (surnommé « Ninja »). Die Antwoord représente l’agenda, le nom du groupe signifie « la réponse » en afrikaans, c’est aussi un anagramme pour « Ordained Two » (les « deux ordonnés »). Notons ici que ce sont des « bouddhistes végétariens » parce que ce n’est pas très évident par la suite… Die Antwoord a des millions de followers sur internet, ce sont des stars internationales. Yolandi et Watkin se connaissent depuis 2006, lorsqu’ils étaient respectivement âgés de 22 et 32 ans.
Ils ne sont pas très populaires en Afrique du sud, leurs tournées sont en Europe et aux USA… Watkin a le tatouage $O$ dans son dos (comprendre « SOS » — ou « SS » si on enlève le « O » qui est en fait le symbole du ying et du yang.. – Brian, Cara DELEVINGNE et Dita Von TEESE apparaissent dans le clip Ugly Boy de Die Antwoord avec deux de leurs enfants. Watkin et Yolandi sont cités dans les Panama Papers : ont créé une shell company pour éviter de payer des taxes sur leurs « produits artistiques ». 
Été 2013 : Le mec du groupe Die Antwoord : Watkin Tudor JONES (Ninja) invite Zheani SPARKLES, une Australienne de 20 ans à venir en Afrique du Sud. Il est question de trafic d’êtres humains parce que ce sont les représentants de Watkin qui organisent le voyage de Zheani. Processus de séduction typique, elle rêve de « voir les éléphants ». Watkin, a 20 ans de plus qu’elle et lui fait consommer des champignons hallucinogènes. Cinglé qu’il est, il part dans un délire satanique. S’en suit un rituel « sex magick » : Watkin viole Zheani (pour être précis le truc de Die Antwoord c’est la « CHAOS MAGICK »). Zheani est traumatisée, choquée. Des années plus tard, elle balance tout dans une chanson : « The Question ». Non seulement elle reçoit une lettre des avocats de Watkin pour retirer sa musique, son compte Instagram est fermé pendant quelques jours, mais en plus Zheani reçoit des vidéos d’intimidation de Watkin ET Yolandi. Menaces subtiles ou complètement à charge ? La réponse de Zheani ? filmer à l’arrache le clip de « The Question » sur un toit et ajouter les captures d’écran de ses échanges avec « Ninja » dans son clip… Yolandi et Watkin n’en ont pas fini avec Zheani cependant. C’est Yolandi qui revient à la charge en déformant complètement les propos de Zheani pour la discréditer, Yolandi commence la vidéo par « hello I’m Zef and I’m in a cult » et la prévient « ..et si tu me crois pas, regarde les liens en-dessous ». Les deux cinglés mettent en ligne des photos compromettantes de Zheani, désactivés rapidement, mais le mal est encore fait. Revenge porn et menaces à très grande audience. Dans une autre vidéo, Watkin, stressé et condescendant, commence par dire que Zheani est une prostituée et que, lorsqu’elle a débarque en Afrique du Sud, Zheani n’était pas ce à quoi il s’attendait « en la choisissant dans le menu », il balance aussi des liens vers des photos de Zheani, « wow ». Dans une suite de messages, on apprend que Watkin a choisi Zheani parce qu’elle ressemblait à sa fille (c’est d’ailleurs comme ça que s’ouvre le son de Zheani, « The Question »)… Watkin aussi dit avoir montré les photos de Zhaeani à son fils. Menaces et intimidation. Zheani explique que c’est Yolandi qui a pris contact avec elle. Les paroles de The Question : « t’as passé 10 ans avec le type – il t’a lavé le cerveau ». C’est Yolandi qui prend la défense de Watkin dans plusieurs vidéos dans lesquelles elle menace Zheani. Watkin répond dans dans un son : chante que Zheani s’est fait « catfished » (c’est leur grand mot depuis que Zheani a dénoncé ce qui lui était arrivé en Afrique du Sud). La punchline de fin du quarantenaire « elle puait de la chatte », mature à souhait. Leur technique de défense se résume à discréditer leur victime. Zheani mentionne aussi Cara DELEVINGNE qu’elle a rencontré à NY et qui fera un shooting photo avec des connaissances de Zheani quelques semaines après les crimes aient eu lieu. Sur les fringues portées -hyper sataniques au passage- il y a un « cunt » qui lui serait adressé (décryptage de Edwins Generation). 


Watkin et Yolandi ont quatre enfants. 
Sixteen, leur fille biologique née en 2005 (ou 2006, selon les sources), « par accident », dit Watkin. En 2010, Yolandi « s’occupe » de Tokkie, un garçon de 9 ans. Les week-end uniquement d’abord, puis, elle l’adopte définitivement en 2010, avec Meisie, 6 ans, la soeur de Tokkie. Les deux enfants sont séparés du reste de leur fratrie. Petit point « langues vivantes » : en Afrikaans « meisie » se traduit « fille » ; en hollandais « meisje » signifie « fille » et « meisie » est l’argot de « petite copine ». Watkin et Yolandi adoptent Jemile en 2015, un adolescent de 15 ans. Meisie et Tokkie et Jemile viennent de Fietas, un quartier difficile de Johannesburg qui a selon les dires des deux cinglés, « toujours été une ‘grande source d’inspiration’ pour le groupe Die Antwoord ». Tokkie et Meisie sont issus d’une famille pauvre et tous deux atteints du Syndrome de Christ-Siemens-Touraine, une maladie génétique. Yolandi dit avoir toujours eu « l’instinct maternel ; cette connexion avec les enfants des rues, et les rebuts de la société »… leur relation familiale a tout l’air d’être basée sur la coercition. Les enfants sont utilisés comme accessoires promotionnels pour faire des millions… original ! C’est le cas de Tokkie dont une photo -avec t-shirt 666- est publiée avec le titre « il est certain d’être l’incarnation du diable ». Pardon ? ce serait pas un peu instrumentalisé-utilisé par ses parents ? ce serait pas une histoire d’éducation, de programmation, etc ? D’après les informations à disposition, les trois enfants adoptés par Yolandi et Watkin resteraient dans la maison de Pankhurst avec filles au pair et autres pédagogues tandis que Sixteen, leur fille biologique, voyage avec ses parents. Les médias représentent Sixteen comme la prunelle des yeux de ses parents. Enfant, Sixteen a tourné dans plusieurs de leurs clips, torse nu, avec un serpent autour du cou, à sept ans. Watkin a tout de même le chiffre 16 tatoué sur la tronche. Sixteen semble faire (ou a fait) partie d’un groupe « The Boy With the Rainbow Face » avec Flea (le bassiste des Red Hot Chili Peppers ?) et Sunny (la fille de Michael Peter BALZARY). Lorsque l’affaire Zheani éclate, le couple, n’assume rien et utilise ses enfants pour se défendre, dont un vlog de leur fille pour déblatérer sur l’affaire. L’instrumentalisation est totale. 


Jade CARROLL accuse Watkin d’agression sexuelle. À 16 ans, Jade s’est fait tatouer une swastika sur la poitrine. Elle fait de la musique. Elle est prise en photo en festival, ça la fait connaître comme la « Miley Cyrus du punk nazi »… En 2014, Jade reçoit une invitation pour les backstages de Die Antwoord à Padova… arrivée sur place, Watkin braille « Swastika Girl » et se présente comme un expert en occultisme et n’arrête pas de lui dire à quel point il appréciait Hilter et à quel point il voulait créer le même genre de secte. Watkin n’a pas arrêté d’insister pour voir son tatouage. Jade a fini par le lui montrer et il était là « oh mon dieu, oh mon dieu » et il a mis ses mains sous le t-shirt de Jade.
Jade a témoigné après avoir entendu la chanson de Zheani, The Question : « j’étais sûre qu’elle disait la vérité, elle dit une phrase précise que seule une personne qui a passé du temps avec Watkin pourrait dire : « il m’a dit que j’étais belle et que je ressemble beaucoup à sa fille ». 


Asia ARGENTO 

Asia ARGENTO est la fille de Dario ARGENTO, le réalisateur de films d’horreur. 
– 2004 : Asia réalise le clip (s)AINT du groupe Marilyn Manson. 
– 2005 : Asia réalise ensuite son propre film « The Heart Is Deceitful Above All Things », une adaptation du livre de J.T. LeROY — considéré comme autobiographique. Brian a son rôle – que Wikipédia décrit comme celui d’un « beau-père tourmenté ».. C’est l’histoire monstrueuse de Jeremiah, agressé sexuellement par l’ex-petit-copain de sa mère, Sarah. Sarah a 15 and quand elle accouche de Jeremiah. Le petit est placé dans une famille d’accueil. Quand Jeremiah a 6 ans, sa mère reprend sa garde et devient strip-teaseuse, se prostitue et maltraite – brutalise son fils, psychologiquement et physiquement. Jeremiah est traité de la manière la plus horrible qui soit par sa mère et ses différents « nouveaux papas ». Sarah drogue son fils. C’est un cycle d’abus, de négligence et de déchirement. JT Leroy, auteur du livre sur lequel est basé ce film, a participé à la production. Il a présenté le film à plusieurs festivals de cinéma. C’est perturbant à quel point l’horreur de la vie est dépeinte de façon explicite. Franchement, ça pourrait être la suite de Eyes Wide Shut. C’est On est dans la galaxie « me-me-me », Asia joue « Sarah ». Il y a aussi, Peter FONDA, Jimmy BENNET, Winona RYDER (produit MK), Ornella MUTI, John ROBINSON, les jumeaux Dylan et Cole SPROUSE (Cole SPROUSE qui joue dans la série d’inspiration lynchienne de Netflix l’über-satanique-in-plain-sight : Riverdale) .
– 2017 : Asia est en couple avec le chef Anthony BOURDAIN depuis 2 ans. Son corps est retrouvé dans sa chambre d’hôtel de Kaysersberg Vignoble dans le Haut-Rhin, en France, le 8 juin 2018.
– 17 Octobre 2017 : Asia accuse Harvey WEINSTEIN
– 2018 : Jimmy BENNET accuse Asia ARGENTO d’agressions sexuelles. Enfant star, Jimmy Bennett, avait 17 ans au moment des faits qui se sont produits en 2013. Asia aurait versé de l’argent à Jimmy. Il l’accuse aussi d’agression sexuelle dans une chambre d’hôtel et de lui avoir « infligé de manière intentionnelle une détresse émotionnelle et des pertes de salaire suite à une agression sexuelle ». Il demandait 3,5 millions de dollars de dommages et intérêts, et les deux parties se seraient mises d’accord sur 380.000 dollars. Jimmy BENNET débute sa carrière très jeune dans des publicités, il obtient son premier rôle à 7 ans dans L’Ecole paternelle, avec Eddie MURPHY (pédo). Cette année-là, il tourne aussi dans le film d’Asia ARGENTO. Depuis, Asia dit de Jimmy qu’il est son « fils perdu depuis longtemps » ou « mon fils, mon amour » à chacune de leurs retrouvailles. Il fait les seconds rôles dans les productions hollywoodiennes, du Pôle Express avec Tom HANKS (pédo) à Otage avec Bruce WILLIS en passant par le reboot de Star Trek, le film d’horreur Esther ou la comédie fantastique Shorts, dont il signe la chanson de fin.
– 2018 : Asia dit que ce qui lui fait le plus de mal dans les accusations de Jimmy BENNET, c’est d’être reconnue comme pédocriminelle. Ah. 
– 2021 : Asia accuse le réalisateur Rob COHEN d’abus sexuels. D’après Asie, COHEN l’aurait maltraitée en 2002 lors du tournage de son film d’action « xXx – Triple X ». Il l’aurait droguée au GHB et elle se serait réveillée le lendemain nue dans son lit. Un porte-parole de COHEN nie ces allégations qu’il qualifie de « déroutantes » et « absolument fausses ».


Eli ROTH

Le réalisateur des films « Hostel » qui mettent en scène des touristes qui payent pour tuer et torturer des humains. Le triangle Brian – Eli ROTH – Lana del REY est impliqué dans la controverse entourant une scène de viol. La controverse ? Brian nie avoir accepté que sa musique soit associée à cette séquence….


Johnny DEPP

Johnny DEPP et Brian sont très proches… Brian est le parrain de Lily-Rose DEPP, la fille de Johnny et de Vanessa Paradis. 
– Johnny aurait été inspiré par Brian pour incarner Willy WONKA dans le film Charlie et la Chocolaterie (dans un article du NY Post du 5 Janvier 2001 : « MANSON : I’ll play WONKA as Satan »)
– 2014 : Brian, Johnny DEPP, et Ninja (Watkin du groupe Die Antwoord)
– 2015 : dans une interview de la très sérieuse feuille anglaise The Guardian, Brian rappelle un souvenir charmant : Johnny et lui ont pris de la coke et bu pendant 24 heures après que Johnny ait déposé sa fille à l’école. 
Brian aime parler de son amitié avec Johnny, est-ce pour assurer son maigre capital sympathie ? Brian : « Je suis le parrain de la fille de Johnny DEPP. C’est mon meilleur ami et c’est moi qui lui ai offert à elle sa première paire de talons hauts. Malheureusement, elle portait des couches quand je les lui ai donnés. C’était bizarre quand je l’ai vue 14 ans plus tard, et Johnny est là : ‘c’est oncle Manson’, il t’a donné ta première paire de talon et a changé ta couche’. Ça a l’air horrible. Mais c’était génial ».
Brian, à propos du désir d’enfanter : « eh bien, quand votre meilleur ami est un aussi bon père et a un style de vie similaire, ça me faire penser que ce serait sympa de donner la vie. Je détesterai que ce soit une fille par contre — parce que, si c’est une fille, alors il faut que tu fasses gaffe à toutes les b*tes du monde. Si c’est un mec, t’as à te soucier que d’une b*te.
Un autre ami de Johnny DEPP était Hunter S. THOMPSON, aujourd’hui décédé. Les compagnes de Johnny : Vanessa PARADIS, Winona RYDER et Amber HEARD… Amber et Johnny se sont rencontrés en 2011 sur le tournage de Rhum Express (réalisé par Bruce ROBINSON, d’après le livre de Hunter S. THOMPSON — auteur de Las Vegas Parano). Ils se marient en 2015. Amber demande le divorce en 2017. Depuis Amber HEARD dénonce les violences conjugales qu’elle a vécu lorsqu’elle était en couple avec Johnny, il a toujours nié les accusations. Dans un enregistrement audio (31 Janvier 2020), un aperçu de la manipulation dont est capable Johnny ? Onze mois après la publication de cet extrait d’appel téléphonique, un juge constate qu’Amber a été battue par Johnny. Si on essaie de mettre un peu de contexte à ce maigre extrait : les engueulades entre Amber et Johnny sont fréquentes. Le cercle vicieux des violences conjugales. Elle a probablement (pour une fois ?) répondu aux coups de son mari ; et là, c’est le moment de la culpabilisation et des menaces de « je vais te quitter ». La coercition. 2 Novembre 2020, London’s High Court : Johnny perd son procès en diffamation contre le SUN, il fait appel. Le tabloïd l’a qualifié de « frappeur de femmes ». Au cours du procès de trois semaines, le juge a constaté qu’Amber a été battue par Johnny à 12 reprises. Douze des quatorze fois où il aurait été violent envers elle. Amber et Johnny vont à nouveau s’affronter dans une affaire de diffamation aux États-Unis. Depp intente une action en justice contre Amber en raison d’un article qu’elle a écrit dans le Washington Post en décembre 2018. Le procès aura lieu au plus tôt en Mai 2021. 

Johnny DEPP, Brian WARNER et un certain nombre d’autres célébrités se sont battus pour la libération des West Memphis Three jusqu’à ce qu’ils soient effectivement libérés. Ces trois hommes étaient accusés des meurtres de trois garçons de CE1 au cours d’un rituel satanique dans les bois. Le meneur du groupe, Damien ECHOLS, avait des journaux parlant d’Aleister CROWLEY. Si vous regardez les interviews de ce type, vous verrez qu’il a un ego surdimensionné. ECHOLS dit des choses comme : « j’aime bien ça parce que maintenant, même après ma mort, les gens se souviendront de moi pour toujours. Ils parleront de moi pendant des années. Les gens de West Memphis raconteront des histoires à leurs enfants. Ce sera comme, un peu comme si j’étais le croque-mitaine de West Memphis. Les petits enfants regarderont sous leur lit avant d’aller se coucher… ‘Damien est peut-être là-dessous’! »

Johnny DEPP a joué ET réalisé un film intitulé « The Brave ». Selon IMDB : « Un Indien d’Amérique malchanceux, récemment libéré de prison, se voit offrir la possibilité de jouer le rôle de la victime d’un snuff movie, dont les bénéfices pourraient considérablement aider sa famille pauvre. »




KING, HOLMES, PATERNO & SORIANO LLP 

2015 : avocat : KING, HOLMES, PATERNO & SORIANO LLP 
1900 Avenue of the Stars — Twenty Fifth Floor, Los Angeles, CA 90067- 4506
— sur un document du DoJ U.S. un Stephen D. ROTHSCHILD dans ce cabinet d’avocats…Ce cabinet représente : Dr Dre, Metallica, Pharrell, Van Halen, Carole King, Skrillex, Van Morrison, Tori Amos, Soundgarden, M.I.A., Yeah Yeah Yeah, A Perfect Circle, 2pac, Marily, Manson, Train, Alice in Chain, Sia (MK à fond), Lauryn Hill, Offspring, Brian Setzer, 30 Seconds to Mars (Jared LETO : MK), Iggy Azalea, Goo Goo Dolls, Aimee Mann, RZA, Journey et plein d’autres « world-class recording artists and songwriters ».


Howard E. KING 

Howard E. KING, l’avocat de Brian : hking@khpslaw.com — (310) 282 8999 (ah tiens, 666 inversé dans le numéro de téléphone, pas du tout satanique…)
Entre les innombrables affaires de propriété intellectuelle Howard E. KING travaille à  : 
– obtenir un verdict en faveur d’une superstar internationale suite à un procès pour supposé accord professionnel à long terme
– plusieurs confrontations en lien avec investissements bancaires privés de primes ou de rémunérations différées
– une défense réussie et des réclamations de $8 000 000 contre une institution financière accusée de ne pas avoir financé la production d’un long métrage (s’agit-il de PHANTASMAGORIA ??) 
– une défense suite à l’arbitrage des réclamations de l’ancienne commission des managers contre une star internationale du rock


Justice
Détroit, 2002 : Brian est condamné à payer une amende de $4000 après avoir frotté ses parties génitales contre un garde du corps lors d’un concert.


Plus d’entourage de Brian : Getty people..

10 Décembre 2019 : Fondation « Cyndi Lauper And Friends : Home For The Holidays Benefit » au Novo, avec Microsoft à LA. Avec Lily TOMLIN, Margaret CHO, Billy PORTER.




Sadisme 

« J’aime commettre des crimes qui passent inaperçus aux yeux de la loi. » — Brian

Il est temps de se réveiller et de cesser d’idolâtrer de fausses idoles. Tous les haters qui vont venir dire qu’elles l’ont cherché : non. Brian séduit ses victimes via le processus du « grooming » des prédateurs comme Ghislaine MAXWELL, Jeffrey EPSTEIN, les pédocriminels et autres détraqués. D’abord, le prédateur séduit sa victime. Une fois en confiance, et sûr de son emprise sur sa proie, le prédateur retourne les situations, les gens, les corps et les esprits. Plus il y a d’abus, plus les victimes sont culpabilisées. De fausses informations sont présentées à la victime, le prédateur s’amuse en faisant du mal et nie toute implication « c’est dans ta tête ». Il s’agit-là de l’escalade. On va voir un aperçu du cruel cercle vicieux des violences de la vie conjugale avec Brian. Certaines des femmes qui ont eu l’horreur de croiser son chemin témoignent à visage découvert depuis deux ans, sans le nommer comme étant l’agresseur -par peur des répercutions s’il est nécessaire le préciser. Mettre des mots sur ces abus c’est déjà être sur le chemin de la guérison, et l’expression même du courage. Tout star du rock et sataniste et monstrueux qu’il soit, Brian est un homme et a été en couple avec des femmes. Il s’agit de tortures et de violences conjugales chroniques très graves. Et de trafic d’êtres humains. Brian n’a pas abusé que des femmes. Dans la maison de Brian, il y a une « rape-room », une pièce dédiée au viol. Il est question de chantage, de vidéos de compromission tournées à l’insu des victimes. Brian contrôle et coerce ses victimes en les privant de sommeil. Une grande partie des victimes de Brian souffrent de PTSD. Brian pue le narcissisme. Ces affairent puent la manipulation narcissique (il a toujours échappé aux conséquences, jusqu’à présent). Brian monte en puissance et le public assiste, passif, crédule, naïf, endormi. Ça pue l’expérimentation : ses victimes se font laver le cerveau ; toutes craignent représailles et calomnies. Ce type a un vrai problème au niveau sexuel, voire génital. C’est peut-être pour ça qu’il est fasciné par les viols et les violences sexuelles ? et qu’il porte autant de prothèses ? et qu’il se sert d’instruments de torture et de sextoys sur ses victimes ? Il fait ses coups en douce et pourtant… il n’est pas seul sur les plateaux de tournage. Les gens autour de lui ont cautionné ce qu’il faisait pendant des années, des décennies.
Brian est en couple avec Lindsay USICH depuis 2015 (depuis qu’elle a 18-19 ans). Ils se sont mariés en 2020 pendant le confinement ; Lindsay devient Lindsay Elizabeth WARNER.




Pédo

Brian est accusé d’agressions sexuelles sur plusieurs mineurs en Floride ; le FBI a ouvert une enquête. Une jeune fan parle de sa rencontre avec Brian. Elle exhulte de joie. « Il a trouvé que mon appareil dentaire était cool », « il m’a demandé mon âge – 15 – et m’a dit qu’on se rappelait quand j’aurai 18 ans », « il m’a prise dans ses bras », « il m’a trouvée mignonne », « il m’a attrapée et m’a embrassée sur le front »…. Vidéo: « je ne prends pas de drogues et je ne couche pas avec des mineures ».



Bianca ALLAINE

Bianca ALLAINE, a rencontré Brian à 16 ans et dit avoir vécu l’horreur avec lui à partir de ses 19 ans : « Brian WARNER est la personne la plus terrifiante que je n’ai jamais rencontrée » et l’appelle « Jekyll and Hyde ».




Prédateur en série 

« J’attire vraiment les putes cinglées » – Brian

Le Temps

Jennifer SYME  

Le 3 avril 2002, Maria St. JOHN a intenté une action en justice devant la Cour supérieure de Los Angeles, accusant Brian d’avoir fourni de la cocaïne à sa fille adulte, Jennifer SYME, et de lui avoir ordonné de conduire alors qu’elle était sous influence. Après avoir assisté à une fête chez Brian, Brian affirme que Jennifer a été ramenée chez elle par un chauffeur désigné. Une fois arrivée, elle s’est mise au volant de son propre véhicule et a été tuée en percutant trois voitures garées. Brian aurait déclaré qu’il n’y avait ni drogue ni alcool à la fête ; l’avocat de St. JOHN conteste cette affirmation. Jennifer est la petite amie de l’acteur Keanu REEVES à l’époque, lors des funérailles, REEVES a porté le cercueil de Jennifer avec Dave NAVARRO et David LYNCH, avec qui elle avait travaillé comme assistante (LYNCH lui a donné un petit rôle de junkie dans « Lost Highway » et lui a dédié « Mulholland Drive » dans le générique de fin). Certaines nécrologies citent Jennifer SYME comme une ancienne assistante de Brian, cependant les représentants du groupe insistent sur le fait qu’elle n’a jamais été employée par Brian. Jennifer SYME a-t-elle été sacrifiée ?

The Guardian (2017) — « Un vampire est un personnage qui vit la nuit, et s’en prend aux jeunes femmes. Il boit du sang. Cette idée de consommer quelqu’un (…) est assez romantique. » — Brian




Satanisme

Taylor MOMSEN

Revolver Awards Dope Show — Concert de Taylor MOMSEN et Brian. On apprend ce qui suit dans une interview de l’assistante de Taylor MOMSEN le soir cette performance. Cette assistante encadre la logistique et la régie : nourriture, l’eau et l’escorte de Taylor jusqu’à la scène. Après le concert, Taylor a rendez-vous pour une interview, ses proches (amis, manager) sont backstage. En plein concert, Brian attrape Taylor par la gorge. Lorsqu’elle quitte la scène Taylor est en état de choc, du sang coule de sa bouche, elle répète en boucle « il m’a étouffée – on n’avait pas prévu ça – il est fou – on n’a pas répété ça ».



Peaches GELDOF

Née en 1989, Peaches est présentatrice TV / mannequin… « socialite » son nom complet : Peaches Honeyblossom Michelle Charlotte Angel Vanessa GELDOF. Fille de Bob GELDOF (musicien, producteur UK, a lancé les concerts Live Aid dans les 80s) et de Paula YATES, divorcent en 1996. Paula YATES meurt d’une overdose en 2000. 
Peaches a deux soeurs : Fifi Trixibelle GELDOF, et Pixie GELDOF aussi décrites comme étant des « socialites ».. et une demi-soeur : Heavenly Hiraani Tiger Lily est la fille de Paula YATES et Michael HUTCHENCE. HUTCHENCE sera retrouvé pendu dans une chambre d’hôtel à Sydney en 1997. À la mort de Paula YATES, c’est à Bob GEDOLF, le père de Peaches qu’est confiée la garde de l’enfant. Tiger Lily HUTCHENCE est donc la demie-soeur et la nièce de Fifi Trixibelle et Pixie GELDOF. Peaches veut faire du journalisme, à 15 ans, elle commence à travailler pour Elle Girl, ensuite elle devient chroniqueuse pour le Daily Telegraph et The Guardian. MTV, revenge porn…. Peaches épouse Max DRUMMEY à 18 ans, le quitte 6 mois plus tard, 
En 2009, Peaches participe au 25ème anniversaire de l’association internationale de scientologie à Saint Hill Manor, East Grinstead, Sussex. En 2012, elle épouse Thomas Cohen, le chanteur du groupe S.C.U.M, dans la même église de Davington où ses parents s’étaient dit oui 26 ans plus tôt. Avec lui, elle a eu deux fils, Astala Dylan Willow, et Phaedra Bloom Forever.
En 2013, Peaches s’intéresse à l’Ordo Templi Orientis (OTO), elle avait les initiales OTO tatouées sur son avant-bras gauche. Toujours en 2013, Peaches rend les noms des co-accusés du musicien pédo Ian WATKIN publics. ((( En Décembre 2013, WATKIN est condamné à 29 ans de prison pour de multiples agressions sexuelles de jeunes enfants, possession et distribution de matériel à caractère pédosexuel, de pornographie zoophile « extrême ». WATKIN plaide coupable pour la tentative de viol et non coupable pour le viol. Sa victime la plus jeune est un bébé de 1 an. Il envoyait des messages à la mère de l’enfant « si tu m’appartiens, ton bébé aussi ». Un des officiers de police décrit WATKINS comme un pédocriminel organisé, « un des plus dangereux qu’il ait jamais croisé ». Les mères de ses victimes ont également été accusées et condamnées à 14 et 17 ans de prison. Ces femmes étaient des fans du groupe de WATKINS, leurs noms avaient été dissimulés pour protéger les identités des deux jeunes enfants victimes du pédocriminel.))) Peaches doit s’excuser publiquement sur Twitter, elle dénoncera aussi les déviances pédocriminelles. En 2014, les médias proposent plusieurs versions des circonstances « inconnues » de la mort de Peaches. La première (BBC-Wikipédia), Peaches décède le 7 Avril 2014 d’une « overdose d’héroïne » à son domicile de Wrotham dans le sud-est de l’Angleterre, 39 seringues retrouvées dans un sac noir. (Gala) Peaches décède son domicile, son fils Phaedra près de son corps lorsque les secours arrivent, question du « régime drastique auquel Peaches se soumettait ». (L’Express) Peaches est emmenée dans un hôpital à Londres en ambulance depuis son domicile dans le Kent, elle meurt pendant le trajet. Après avoir fait des recherches chez elle, la police a déclaré n’avoir trouvé aucune trace de drogues et pas de lettre de suicide. (Daily Mail) Le dernier adulte à l’avoir vue vivant est un ancien toxicomane qu’elle a rencontré en cure de désintoxication mais sa fille Heavenly Hiraani Tiger Lily, dont le père Michael HUTCHENCE est mort trois ans plus tôt était avec elle quand elle est partie… La veille de sa mort, Peaches avait tweeté une photo d’elle enfant, dans les bras de sa mère. Le parallèle avec le traitement médiatique de la mort d’Amy WINEHOUSE paraît assez évident. En tout cas, les médias ont détourné l’attention de la seule question qu’ils avaient à poser : Peaches voulait-elle juste quitter la secte quand elle est « morte » ?
Tout cela nous intéresse parce que Peaches a rencontré Brian….. ils sont en couple en 2011. Brian a 20 ans de plus que Peaches. Peaches aurait été en couple avec Brian lorsqu’elle « était jeune » (The Sun). L’article de Madame Figaro « Les amours maudites de Marilyn Manson : « d’autres murmurent qu’il a entretenu une romance avec Peaches Geldof, bien avant qu’elle ne décède d’une overdose d’héroïne, en 2014, à l’âge de 25 ans ». Était-ce au moment de MTV ? Du revenge porn ? 



Jenna JAMESON BITTON 

Brian et Jenna (actrice X) se rencontrent à une première de films pour adultes Howard Stern — Private Parts en 1997. Brian est marié, ça ne va pas les empêcher de se fréquenter.
Jenna se sépare de Brian lorsqu’il ai dit qu’il ‘fantasme de la brûler vive’.. Jenna parle d’une relation étrange. Brian la mordait pendant leurs relations sexuelles, laissant des ecchymoses, « déconcertant » dit-elle. Brian n’aurait jamais rien fait sans son consentement. Elle écrit au sujet de leur liaison dans son « mémoire » : « How to Make Love Like a Porn Star » : A Cautionary Tale ». Jenna aurait commencé à voir Brian « par intermittence » après son mariage avec son collègue acteur Brad Armstrong, devenu « sans amour et sans sexe ».



Evan Rachel WOOD

Brian a été en couple avec Evan Rachel WOOD de 2006 à 2010 – PTSD
— était-il l’équivalent de son handler MK ?
2016, Evan Rachel WOOD dépose plainte et témoigne des violences infligées par Brian pendant leur relation de 2006 à 2010. À l’époque il dit « fantasmer tous les jours à l’idée d’écraser son crâne avec une massue ». En 2021, Evan accuse Brian sur Instagram le 2 Février depuis, elle a disparu des réseaux sociaux. Pendant leur relation, Brian a hacké son téléphone et ses emails, stalker est un faible mot. Elle apparait dans le clip Heart-Shaped Glasses (référence à Lolita, évidemment). Dans une interview pour SELF, Evan explique la violence conjugale comme le cercle vicieux du bourreau qui se présente comme le sauveur jusqu’à penser que c’est sa faute. 

post Instagram ERW : 
« Le nom de mon agresseur est Brian Warner, également connu dans le monde entier sous le nom de Marilyn Manson. Il a commencé à me préparer lorsque j’étais adolescente et a horriblement abusé de moi pendant des années. On m’a fait un lavage de cerveau et on m’a manipulée pour me soumettre.  J’en ai fini de vivre dans la crainte des représailles, de la calomnie ou du chantage. Je suis ici pour dénoncer cet homme dangereux et appeler les nombreuses industries qui l’ont rendu possible, avant qu’il ne ruine d’autres vies ».  Elle a conclu : Je suis avec les nombreuses victimes qui ne se taisent plus. Mme Wood a ensuite fait part des allégations d’autres femmes contre Manson, dont l’une a déclaré souffrir de « syndrome de stress post-traumatique » à la suite des abus signalés ».



Un peu de contexte.. Evan joue dans Thirteen quand elle a 13 ans. Thirteen, si vous vous rappelez, c’est le film de l’agenda de la décadence du début du millénaire. On est en 2003, et ce film va conduire à ce qu’une génération entière se demande si c’est une bonne idée de faire des gosses. Quand elle a 18 ans, Evan rencontre Brian au Chateau Marmont (aux USA la majorité c’est 21 ans). Brian a 36 ans, est marié à Dita Von Teese. Leur relation commence comme ça. Peu après, Evan apparaît dans le clip “Heart-Shaped Glasses” pédo-référence aux lunettes de la Lolita de Vladimir NABOKOV. Brian promet à Evan la « liberté, pas de jugements »… alors qu’à l’époque, quand elle se met en couple avec Brian, les gens « étaient plutôt méchants » : « je n’avais pas encore été exposée à ce genre de cruauté de la part d’inconnus. Si les gens se demandaient pourquoi je me comportais comme une folle ou comme une adolescente, c’est parce que c’était le cas. »
Brian inflige des cycles d’abus chroniques à Evan, le couple se sépare et se remet ensemble, à plusieurs reprises. En janvier 2010, il fait sa demande sur scène à Paris ; le couple rompt ses fiançailles plus tard dans l’année. Brian menaçait Evan de se suicider quand ils se sont séparés. Séduction, vulnérabilité, contrôle : dress code, nourriture, privation de sommeil, violence physique, chantage. Pendant les sept années qui suivent son agression, Evan pense devenir folle, jusqu’à ce qu’elle soit diagnostiquée comme souffrant de PTSD. Elle a également révélé comment elle avait été violée dans un bar après la fermeture. Elle a tenté de se suicider à deux reprises et a fini par se faire soigner dans un hôpital psychiatrique à cause des difficultés à supporter les conséquences de son agression (relations, santé mentale et physique).


2019, Californie : Evan a transformé son traumatisme en projet de loi
Introduit par la sénatrice Susan RUBIO le 9 Juillet 2019, le « Phoenix Act » a été promulgué par Gavin NEWSOM, le gouverneur de Californie, afin d’étendre le délai de prescription en matière de violence domestique de trois à cinq ans. La loi est entrée en vigueur en janvier 2020. Lors de son témoignage devant le Sénat californien, Evan parle des violences subies aux mains d’un ancien partenaire (sans nommer son agresseur) : « J’ai eu le courage de partir plusieurs fois, mais il appelait sans cesse chez moi et menaçait de se suicider. Une fois, je suis revenue pour essayer de désamorcer la situation, il m’a acculée dans notre chambre et m’a demandé de m’agenouiller. Ensuite, il m’a attachée par les mains et les pieds. Une fois que j’ai été attachée, il m’a battue et a électrocuté des parties sensibles de mon corps avec un dispositif de torture appelé Violet Wand. Pour lui, c’était une façon de lui prouver ma loyauté. La douleur était atroce. C’était comme si j’avais quitté mon corps et qu’une partie de moi était morte ce jour-là ».



Esmé BIANCO 

Esmé fait la connaissance de Brian en 2005. Ils se rencontrent par l’intermédiaire de Dita VON TEESE pour être précis. Danseuses burlesques toutes les deux. Brian veut qu’Esmé joue dans son film Phantasmagoria et qu’elle soit la star du clip de « I Want to Kill You Like They Do in the Movies ». Esmé reçoit un billet d’avion Londres / LA. Dans un mail, Brian explique que le clip serait tourné avec un flip-caméra pour donner une impression de vidéo amateur et que Brian « kidnapperait » Esmé chez lui : il a besoin d’une « victim/lover ». Esmé n’imagine pas que le travail en question dépassera les limites du cadre professionnel. Pour Esmé, Brian est « passé de la star adulée qui a aidé l’adolescente qu’elle était à traverser des moments incroyablement sombres et difficiles à l’adolescence » à un « monstre qui l’a presque détruite et qui a presque réussit à détruire tant de femmes ». Quelques jours avant le tournage du clip, Brian envoie un mail à Esmé : « Tu vas devoir faire semblant d’aimer être malmenée par moi. Désolé ». Dès son arrivée la frontière entre l’art et la réalité a disparu. Esmé a 26 ans à l’époque. Brian lui fait passer les trois jours suivants en lingerie, dormant et mangeant à peine, Manson lui sert de la cocaïne à la place de la nourriture. Il s’est mis en colère et a balancé la caméra sur un détecteur de fumée. Brian est vite devenu violent, il a attachée Esmé avec des câbles, l’a mise à genoux, l’a fouettée et a utilisé un sextoy électrique appelé « Violet Wand » directement sur ses blessures (le même genre de dispositif de torture décrit par Evan Rachel WOOD). Esmé était terrifiée, mais elle a essayé de se calmer en se disant qu’il était juste dans son rôle qu’ils étaient en train de concevoir du « grand art ». Quelques jours après le tournage, Esmé reçoit un mail de Brian : c’est une photo de son dos couvert des cicatrices qu’il lui a faites, « bringing sexy back ». L’ancienne colocataire d’Esmé, Hannah FOX, dit que sa coloc lui avait parlé des coupures et des ecchymoses comme si faisant « juste partie du business ». Esmé et Brian commencent une relation longue distance. Brian lui rend visite lors à Londres et s’arrange pour qu’elle voyage et séjourne dans des hôtels de L.A. ; « prépare ta lingerie et tes talons », écrit-il. Lorsqu’ils se voyaient, Brian la mordait pendant les rapports sexuels sans son consentement et laissant son corps meurtri de traces. Il disait que c’était juste « vicieux », elle voulait croire que tout était normal. En mars 2011, deux ans après le tournage du clip, Brian propose à Esmé d’emménager avec lui et promet de l’aider à obtenir un visa. Pour remplir les formalités d’immigration, l’équipe de Brian remet à Esmé un accord écrit stipulant qu’elle jouera le rôle d’une infirmière dans le « prochain long métrage » de Brian, Phantasmagoria, dont les répétitions commencent à la mi-juillet. En une semaine environ, Esmé quitte son mari et déménage de Londres à l’appartement de Brian à West Hollywood. Elle raconte qu’il y a eu une très brève période de lune de miel pendant laquelle Brian l’a comblée d’attention, mais il a vite commencé à contrôler tous les aspects de sa vie. Il lui dictait ce qu’elle pouvait porter (il voulait qu’elle porte des robes courtes avec des bas), ses heures de sommeil (« il me secouait violemment si je m’endormais sans sa permission », a-t-elle dit à l’Assemblée de Californie), et ses allées et venues dans l’appartement (Esmé n’avait pas de clé). Une nuit, Brian a envoyé à son assistante personnelle, Ashley WALTERS un SMS disant que quelqu’un avait cassé un verre dans le studio et que « Esmé allait en faire les frais. Je m’en fiche ».
Les témoignages sont unanimes, chez Brian il fait très froid (dans les 60°F ; environ 15°C) et les rideaux sont toujours tirés. Les tapis et les meubles sont noirs, et il fait si sombre à l’intérieur, que des lampes frontales sont requises : aucune idée de l’heure qu’il est. Mais pas question de défier Brian, il pourrait s’énerver et se mettre à casser des choses. Esmé raconte que lorsqu’elle a emménagé, elle et Brian ont convenu qu’ils auraient une relation monogame. Elle a vite appris que ce ne serait pas le cas. Ashley WALTERS raconte que pendant que Brian avait des relations sexuelles avec d’autres femmes dans son studio, il lui demandait de surveiller Esmé ou de la faire sortir de la maison. L’ancienne assistante ajoute que la chambre de Brian contient un placard vitré que Brian peut fermer de l’extérieur, il l’appelle la « bad girl’s room ».


Bianco a passé moins de deux mois à vivre avec Brian, en buvant beaucoup pour faire face à la situation. Elle était souvent dans un état dissociatif. Comme beaucoup de survivants de la violence domestique, Esmé a peut-être développé une sorte de syndrome de Stockholm qui a déformé sa réalité. Récemment, Esmé a retrouvé un SMS qu’elle avait envoyé à Brian au sujet de ses coupures et de ses ecchymoses : « Chaque fois que je bouge, ils me font si mal de penser à toi » — « Everytime I move they hurt so good thinking of you ». Mais « Maintenant, quand je pense à ça, j’ai tellement honte… J’essayais désespérément de lui faire plaisir et de m’éviter des ennuis. » Esmé dit que son point de rupture est survenu en Mai 2011, un mois après son emménagement, lorsque Brian l’a poursuivie dans l’appartement avec une hache. Ashley WALTERS se souvient avoir vu Brian menacer Esmé avec la lame et dit qu’Esmé semblait être en état de choc. Discrètement, Esmé a commencé à récupérer ses affaires dans l’appartement, elle s’est échappée un jour de Juin 2011 pendant que Brian dormait. Au début, elle pensait qu’ils avaient juste besoin d’espace, mais un mois plus tard, elle a rompu avec lui par mail. Brian a menti à Esmé, il a assuré son transport (UK-USA), l’a hébergée, contrainte à une servitude involontaire incluant des abus sexuels. Jay ELLWANGER, l’avocat d’Esmé a déclaré que sa cliente avait été interrogée par le FBI et leur avait remis des preuves qui pourraient être liées à la traite des êtres humains et aux crimes sexuels. Pas de confirmation, ni d’infirmation du FBI. Esmé BIANCO prend la parole après le témoignage d’Evan Rachel WOOD devant le congrès. À l’époque, WOOD ne nomme pas Brian. Les parallèles entre leurs histoires et le fait d’entendre WOOD dénoncer ce qu’elle a vécu comme entrant dans le cadre des « violences conjugales » a tout de suite fait clic dans son esprit. Esmé n’hésite plus à dénoncer Brian comme étant un prédateur en série qui a crié au monde entier pendant des décennies à quel point il aimait faire mal aux femmes. « Ce n’est pas un artiste incompris. Il mérite de passer le reste de sa vie derrière des barreaux ». Pendant cette période, l’assistante personnelle de Brian, Ashley WALTERS, a géré les voyages de BIANCO et d’autres femmes, dont beaucoup ont également été amenées par avion à L.A. avec la promesse de séances photos ou de clips musicaux. Ashley donnait le planning « de qui est à quel hôtel » à Brian. Ashley dit qu’elle ne « savait pas jusqu’où la violence allait à l’époque ». Ashley WALTERS a récemment témoigné et dit avoir été une victime de Brian elle aussi.
(Alex est une source anonyme proche du cercle de Brian qui balance.) Le pilote de Game of Thrones a été diffusé pendant qu’Esmé et Brian étaient ensemble. Il l’humiliait en projetant sa scène de sexe à leurs invités. Alex se souvient que Brian l’a montrée au moins quatre fois en disant : « c’est ma copine, c’est une pute. Regarde, ses seins sont sortis ». Lors d’une fête, Brian a soulevé la jupe d’Esmé et lui a donné une fessée, qui était déjà couverte d’un bleu – un moment qu’Ashley WALTERS a filmé. Esmé portait souvent de la lingerie ou des robes dans la maison, et Alex se souvient avoir vu des bleus sur ses bras et son dos. Il ne savait pas s’ils provenaient d’expériences sexuelles consensuelles et avait trop peur de Brian pour lui demander. Après avoir quitté Brian, Esmé tourne deux autres saisons de Game of Thrones. Ros, son personnage, est contrôlé, menacé et torturé par les hommes qui l’entourent dans certaines des séquences les plus graphiques de la série. Dans l’une d’entre elles, elle est forcée de fouetter une autre prostituée avec une ceinture et un sceptre en bois. Dans une autre, elle est tuée avec une arbalète, son cadavre ensanglanté est suspendu à un poteau de lit. Alors que les acteurs décrivent souvent l’intensité du tournage de scènes violentes, Esmé dit qu’elle n’a rien ressenti. En 2019, elle a tweeté une photo d’elle sur le plateau de Game of Thrones avec de fausses blessures dans le dos. Cette image rappelle étrangement une photo de sa vie réelle, une photo macabre qu’elle a postée sur Instagram la même année, prise après que Brian l’ait battue : « le coup de fouet qui m’a valu ces blessures a été filmé au nom de l’art. Je regardais cette photo avec fierté parce que je pensais que c’était un signe de grande dévotion envers mon agresseur. Maintenant, je la regarde avec horreur ». Esmé, Brian et Asia (ARGENTO).



Gabriella

2015 : Brian et Gabriella sont en couple pendant environ six mois. Gabriella a eu des envies suicidaires quand elle était avec lui.
« Gabriella », c’est son pseudo sur Instagram, dit que Brian l’a attachée, privée de sommeil et forcée à prendre des drogues pendant leur relation. Elle a déclaré avoir tenté de se suicider à un moment donné pendant qu’ils sortaient ensemble. Gabriella : « J’ai rencontré Brian Warner, connu sous le nom de Marilyn Manson, en coulisses en octobre 2015.. J’avais 22 ans et il en avait 46.. La deuxième fois que nous nous sommes rencontrés, il a cassé un verre de vin dans la chambre d’hôtel et a exigé que nous fassions un pacte de sang ensemble. Il a saigné nos deux mains avec les débris du verre… Il m’a dit qu’il m’aimait deux semaines après notre rencontre et m’a invitée à partir en tournée avec lui en Europe. Mais je n’en ai pas de bons souvenirs car les choses se sont rapidement dégradées. Il m’a attachée pour le premier des nombreux viols qu’il a commis… Brian la regardait en souriant quand Gabriella pleurait par terre dans la chambre d’hôtel, le genre de situation qui lui permettait de savoir que Gabriella « l’aimait ». Gabriella : « Il m’a traitée de folle… Il m’a qualifiée d’autiste. Il savait que mes parents sont noirs et que je partageais moi aussi cet ADN et se moquait de mes racines.. Il se vantait souvent d’être affilié au gang MS 13 et qu’il pouvait me faire tuer ou faire tuer n’importe qui… Brian l’a forcée à prendre des drogues qui étaient « plus que ce que son corps pouvait supporter », dit-elle. Elle a ensuite affirmé que sa relation avec Brian l’avait poussée à faire une tentative de suicide. « J’ai réprimé cela parce que je sentais que personne autour de moi ne pouvait comprendre la gravité de ce que j’avais vécu. J’ai bloqué tous ces souvenirs, mais ces ressentis demeurent présents et se manifestent de diverses manières. La raison pour laquelle je partage cette expérience traumatique, c’est que je veux guérir et je refuse de me taire désormais. Je suis une survivante. »



Scarlett KAPELLA

En 2011, Scarlett est mannequin. À Mexico City, Brian soumettra Scarlett à des abus émotionnels, physiques et sexuels. Il était charmant au départ et s’est transformé en monstre. Brian contrôlait tout : les tenues, le maquillage et même les prises de parole de Scarlett. Abus de pouvoir.



Love BAILEY 

Love, styliste, victime de Brian à 20 ans. Love a publié une vidéo décrivant l’incident sur son compte Instagram. La styliste, qui avait 20 ans à l’époque, s’est rendue chez Brian pour l’aider à préparer une séance photo avec lui et une actrice anonyme. (The Daily Beast) En 2011 : Love se souvient de trois pièces différentes : le studio d’enregistrement de Manson, un salon et une chambre à coucher à l’intérieur du studio d’enregistrement. Elle a décrit avoir vu beaucoup de peintures “démoniaques” et d’œuvres d’art faites de charbon de bois qui étaient disposées en cercle dans le coin d’une pièce. « On aurait dit qu’il essayait d’ouvrir un portail, d’invoquer une présence démoniaque. » Elle a finalement été appelée dans la chambre de Manson, et elle dit avoir vu une cage de verre avec un verrou. « J’ai rampé sur les draps tachés de [fluides sexuels] que [l’actrice] et Marilyn venaient de souiller. J’ai regardé [l’actrice] et elle était complètement bourrée. Je ne sais pas si c’était à cause de [la drogue], mais elle n’était pas du tout cohérente. Elle trébuchait, elle s’est blessée au genou sur la table de chevet et Marilyn s’est moquée d’elle et l’a laissée ramper sur le sol. J’ai donc couru pour l’aider, et alors que je la tenais et que j’essayais de lui faire trouver son équilibre, Marilyn a pointé un pistolet sur ma tempe. Un gros Glock, un Glock en métal. Ce n’était pas un jouet – c’était un vrai pistolet. Il l’a pointé droit sur moi et m’a dit : “Je n’aime pas les pédés”, en riant sur un ton très sombre et agressif. » Love Bailey se décrit elle-même comme “une femme trans”. « Sentant que ce n’était pas du tout une blague, j’ai été stupéfaite ». Love s’est sentie forcée de garder l’incident pour elle pendant des années, principalement par peur d’être mise sur la liste noire des photographes et de l’industrie de la mode dans son ensemble. Le témoignage d’Evan Rachel WOOD a permis à Love à rendre publique son expérience. « Je suis désolée qu’il ait fallu tant de temps pour que cette histoire soit rendue publique. Mais je suis heureuse de pouvoir enfin partager la vérité. »



Chloé BLACK 

Brian a abusé de Chloé, une musicienne, il y a dix ans. Il l’a privée de sommeil, l’a malmenée verbalement et l’a physiquement blessée. Il « disait des choses racistes et antisémites et se moquait de son indignation », il la rabaissait parce qu’elle écoutait de la « musique de Noirs ». En colère, Brian jetait des verres contre les murs. Une nuit, elle a cru qu’il allait « vraiment » la tuer. Lui disant « quelque chose de si sombre, si violent et si incriminant » qu’elle a pensé qu’il n’y avait aucune chance pour qu’il la laisse sortir de cette maison vivante.



Louise KEAY BELL 

Keay, artiste et auteur, a accusé Brian de l’avoir maltraitée émotionnellement et financièrement pendant plusieurs années à partir de l’âge de 19 ans. Elle a été victime de harcèlement, de traque et de cyberharcèlement, en partie de la part de personnes qui lui sont associées.



Torii LYNN 

Torii a aussi été victime de Brian. Il lui a fallu des années pour comprendre le mal qu’il lui avait fait à elle et son entourage. 



Sarah McNEILLY

Sarah McNEILLY, mannequin, a dit que Brian l’avait attirée en « se faisant passer pour le parfait petit ami ». Quand il a réussi à la séduire, Sarah comprend qu’il torture d’autres personnes. Il ne va pas mettre longtemps à commencer à la torturer et l’isoler de ses amis. Brian l’enfermait quand elle ne se comportait pas comme il voulait. Sarah a été abusée émotionnellement, terrorisée et marquée. Brian l’a tenue à l’écart de ses proches et menaçait de s’en prendre à eux si elle désobéissait, racontant des histoire d’autres personnes qui avaient essayé de parler dont les animaux de compagnie finissaient par mourir. Un grand malade qui l’a projetée contre un mur et l’a menacée de la frapper au visage avec la batte de baseball qu’il tenait… pour avoir essayé de lui faire choisir un pantalon avant un clip vidéo ! Elle l’a vu mettre en scène des situations et dissimuler des objets pour justifier ses accès de violence. Les vies personnelle et professionnelle de Sarah ont sévèrement pâti suite à sa relation avec Brian, Sarah souffre de maintenant de PTSD et de problèmes de santé mentale. « Je crois qu’il prend son pied à ruiner la vie des gens », estime-t-elle.



Ashley Lindsay MORGAN 

En 2009, Brian contacte Ashley, actrice et mannequin, ils se rencontrent peu après. Et leur relation devient vite « sombre ». Il y a eu des abus, des violences sexuelles, des violences physiques et de la coercition. Ashley a des terreurs nocturnes, souffre de stress post-traumatique, d’anxiété et de troubles obsessionnels-compulsifs invalidants. Brian privait Ashley de sommeil, il l’a jetée dehors à 3 heures du matin sans aucun vêtement parce qu’elle s’était endormie. Entre autres, le vampire a réussi à faire croire à Ashley que les brûlures, les coupures et les poings dans la bouche c’était « leur truc ». Et « Brian continue à faire ça à d’autres jeunes filles, et à causer des dommages irréparables ». 



Ellie ROWSELL 

Ellie, chanteuse du groupe Wolf Alice. Au cours d’un festival de musique il y a quelques années, Brian filme le dessous de la jupe d’Ellie à son insu. Brian ne cesse de complimenter le groupe d’Ellie et elle commence à se méfier de son comportement. Il n’y avait eu aucune répercussion à son encontre, son directeur de tournée disait qu’il « faisait ce genre de choses tout le temps ». « Comment a-t-il pu être la tête d’affiche de festivals pendant tant d’années ? Quand cesserons-nous de permettre aux misogynes de s’exprimer en raison de leur succès ? »



Saint SACHA

Sasha, mannequin et maquilleuse, décrit Brian comme quelqu’un effrayant qui contrôlait la manière avec laquelle elle devait s’habiller pendant leur relation. Sacha dit que son expérience est moins terrible que celle qu’on vécu les autres filles mais Brian est « l’être humain le plus terrifiant » qu’elle a jamais connu, et qu’il est « bien plus puissant » qu’il ne devrait être. D’après Sacha, il a abusé et réduit au silence d’innombrables femmes pendant des décennies.



Ashley WALTERS

AshleyWALTERS est photographe. Elle a a été l’assistante personnelle de Brian, contactée sur les réseaux sociaux en 2010. Ashley explique que Brian l’a soumise à des « abus psychologiques » et qu’en sa présence, elle craignait souvent pour sa sécurité. « Au début, il me mettait sur un piédestal et me disait que je lui sauvais la vie. Il manipulait son entourage et nous dictait ce qu’on devait considérer comme la réalité. Il a normalisé des comportements horribles et des scénarios insensés. J’avais l’impression d’être sa propriété, il proposait des relations sexuelles avec moi pour satisfaire ses collaborateurs et potentiels futurs amis… Il m’a isolée de ma famille et de mes amis.. Il était souvent violent, lançait des objets, y compris des plaques de verre et des objets lourds. » Ashley souffre de PTSD et de dépression depuis qu’elle a rencontré Brian.





Brian a torturé et traumatisé des hommes aussi. 


Jonathan PAVESI

À 18 ans, Jonathan a été l’assistant de Brian. Brian rémunérait régulièrement Jonathan pour (littéralement) lui « casser la gueule ». $100 pour que Brian puisse lâcher ses nerfs sur Jonathan. Une fois, ivre, Brian a posé $500 sur la table et s’est déchaîné sur lui.


Corey FELDMAN

Des années de sévices et de tortures, des provocations. Brian et Jenna JAMESON y font allusion dans leurs autobiographies respectives.


Mark

1998 – Backstage, après un concert, Brian en vient à intimider Mark (éditeur de SPIN Magazine). Brian le menace de le tuer lui et sa famille. 2 bodyguard attrapent Mark par la gorge.. tandis que Brian regarde ces gorilles à l’oeuvre : « voilà ce qui se passe quand on me manque de respect ». Des années plus tard, il s’en vante en interview. Et raconte une toute autre version des faits… et improbable, encore plus culpabilisante (se trompe-t-il de victime ?) il aurait mis un Glock dans la boucle de l’éditeur et se serait réfugié dans la Trump Tower. X procédures à la suite de cette affaire. L’avocat finira par par dire que l’événement a eu lieu : « ça a duré deux secondes » et que Mark « a sorti les mains de ses poches, il connaissait le risque. »

« Le bonheur est une maladie mentale » —  Brian 




Réponse de Brian suite aux accusations en Février 2021

« Évidemment, mon art et ma vie ont longtemps été des aimants à controverse, mais ces récentes affirmations à mon sujet sont d’horribles distorsions de la réalité. Mes relations intimes ont toujours été entièrement consensuelles avec des partenaires partageant les mêmes idées. Peu importe comment – et pourquoi – d’autres choisissent maintenant de déformer le passé, c’est la vérité ».



Des répercussions depuis les allégations ?

En dehors du cover-up de l’industrie du divertissement — ça fait (au minimum) plus de 20 ans qu’il sévit librement et prône la violence : aidé de son entourage, des médias et promotion infâme de ce qu’il représente : c’est bien beau de se désolidariser de lui aujourd’hui, mais tout le monde savait. Encore une fois, personne ne pouvait ignorer. Que les victimes aient caché les sévices subis à leurs proches, par honte, OK. En revanche, les amis et collaborateurs variés de Brian savaient. Certains parlent des années après.

Ça balance..

… depuis plus ou moins longtemps :



Charline YI

En 2018, l’actrice Charline YI balançait Brian. En « grand fan de la série » il était venu sur le tournage d’un épisode de la dernière saison de Dr House. Sur le plateau il a « harcelé toutes les femmes » en leur adressant des commentaires sexuels aux femmes.

…. ça balance et ça se réveille maintenant mais mieux vaut tard que jamais, comme on dit…

Commentaire de l’Internet : « Je suis fan de sa musique depuis un adolescent des années 90 mais ce n’est pas difficile pour moi de ne pas écouter l’art produit par un violeur, un sadique, vous savez, une merde. L’homme voulait être le diable, eh bien il a eu ce qu’il voulait. C’est bien pour lui. J’espère qu’on le verra pleurer une rivière de lave de l’enfer dans une sorte de vidéo d’excuses. »



Phoebe Bridgers

« Je suis allée chez Marilyn Manson avec des amis quand j’étais adolescente. J’étais une grande fan. Il a fait allusion à une pièce de sa maison comme étant une “r*pe room”, j’ai pensé que c’était juste son horrible sens de l’humour. J’ai cessé d’être fan. 
Je soutiens toutes ses victimes.
Le label savait, le management savait, le groupe savait. Ils prennent leurs distances maintenant, prétendre être sous le choc et horrifié est p*tain de pathétique. »  

Thread Twitter @Phoebe_Bridgers


Wes BORLAND

Wes BORLAND (Limp Bizkit) a une courte expérience avec Brian et le groupe Marilyn MANSON en 2008. Il s’exprime suite aux révélations des victimes de Brian : « J’ai été dans son groupe pendant neuf mois. Ce n’est pas un type génial. Tout ce que les gens disent à son sujet est vrai. […] Ceux qui [disent du mal de] ces femmes… Allez vous faire foutre. Elles disent la vérité. Je suis désolé pour tous ceux qui sont fans de sa musique – il est incroyablement talentueux, mais il est totalement baisé et il a besoin d’être mis sous contrôle. Il a besoin de devenir sobre et il a besoin de faire face à ses démons. Ce type est une mauvaise personne. J’étais là quand il était avec Evan Rachel Wood. J’étais chez lui. Ce n’est pas cool, putain. C’est tout ce que je dirai à ce sujet. Alors si quelqu’un s’en prend à ces filles, allez vous faire foutre. C’est tout ce que je dirai. Désolé de casser l’ambiance, mais ce gars doit être mis hors d’état de nuire.



Rose McGOWAN et Dita Von TEESE

Rose McGOWAN

Brian est en couple avec Rose McGOWAN  de 1999 à 2000. Un peu de contexte : Rose grandit en Italie avec ses parents auprès des Children of God (on ne présente plus le monstre John of God, lié à la sorcière des talk-shows, Oprah WINFREY). Quand ses parents reviennent aux US, sa mère la fait entrer en rehab, à 13 ans. À 15 ans, son petit copain, William, a 20 ans, il est violent. Elle a été fiancée à Marilyn Manson.

Washington Post 2018 : « Sa relation avec Marilyn Manson était très bonne, merci bien. Malgré le fait que la presse l’ait appelé l’antéchrist, le chanteur était une personne très douce, et le couple avait une existence domestique assez ennuyeuse, se souvient-elle. »

VIDÉO 2021 : Rose McGOWAN explique que MM n’a jamais eu d’attitude violente ni harcelante envers elle mais considère que « ça n’a rien à voir avec ce qui s’est passé pour les autres, avant ou après moi. Interscope Records et Sony étaient avec lui pendant la période Evan. Ils savent et sont complices. Tous les managers, les agents, les avocats… la secte d’Hollywood doit tomber. »



Dita VON TEESE

Brian est en couple avec Dita VON TEESE de 2001 à 2006. Ils se rencontrent pendant une vente de vêtements vintage. Ils se fiancent le 22 mars 2004, et scellent leur union en décembre 2005, dans un manoir gothique de Tipperary à minuit. Dita le quitte le 25 Décembre 2006, le divorce est prononcé en Décembre 2007. Dita est sûrement la rupture dont Brian n’a pas su se remettre. Dita avait déjà parlé de sa relation avec Brian. Dans une interview pour SPIN Dita explique qu’elle s’est séparée de Brian le jour de Noel. Serait-il traumatisé par sa séparation, d’avec Dita ? Il a dû tomber de son piédestal, c’est sûr. Parce qu’à propos d’ERW, Dita dit « elle est en train de se faire modeler ; entraîner ». Le 17 avril 2017 — KNPR : Dita dans une interview au Harper’s Bazar. Au sujet de son divorce avec Brian Warner. Les « choses lui sont devenues claires ». Elle explique comment fonctionne la procédure de divorce en Californie : « vous avez trois : maladie mentale – tentant – ; annuler ; irréconciliable ». Elle a pris le troisième, « englobant ». Le journaliste questionne Dita au sujet de la nouvelle compagne de Brian : Evan Rachel WOOD. Dita : « elle est en train de vivre un make-over en ce moment ». Toute la presse people de l’époque nous rappelle qu’Evan est beaucoup gothico-burlesque au cours de sa relation avec Brian. Brian contrôle l’apparence de ses compagnes. Dita reconnaît avoir eu la « chance » d’éviter tout épisode abusif dans l’industrie du divertissement au cours de sa carrière, et attribue cela en partie au fait d’avoir toujours eu « des limites très distinctes » et d’avoir toujours été « entourée de ses assistants ». L’article de Female First n’est pas très clair : est-ce un amalgame facile de la part de la rédaction que de dévier l’attention ? avait-elle un assistant avec elle lorsqu’elle était mariée avec lui ? pour se protéger de son mari ??!! Cependant, Dita dit « qu’il s’est passé quelque chose d’assez dur pour déménager le jour de Noël après après six ans de relation ». Brian a toujours tout fait en plein dans la tronche de tout le monde : dans le NY Post : « dans la vie réelle, Manson possède l’ancien squelette d’un garçon chinois de 7 ans et garderait un rack de torture dans son dressing ». En 2020, Dave EVERLY du magazine Metal Hammer s’entretient avec Brian au téléphone. Dave EVERLY mentionne les allégations portées Evan Rachel WOOD et Esmé BIANCO contre lui. Il répond « rumeurs ». La ligne coupe après que Dave ait reposé la question. Le magazine offre un droit de réponse à l’équipe de Brian. Voici leur réponse : « Le témoignage personnel est justement cela, et nous pensons qu’il est inapproprié de commenter cela. Vous parlez ensuite de Manson qui est accusé de ‘choses terribles’ par des ‘critiques’ anonymes, mais vous ne donnez aucune indication sur l’identité de ces critiques et sur la nature de ces choses, il n’est donc pas possible de commenter ».

Déclaration de Dita a publié suite aux accusations : « J’encaisse les informations qui ont éclaté lundi au sujet de Marilyn Manson. À ceux qui ont exprimé leurs préoccupations concernant mon bien-être, j’apprécie votre gentillesse. Sachez que les détails rendus publics ne correspondent pas à mon expérience de nos 7 années ensemble en tant que couple. Si tel avait été le cas, je ne l’aurais pas épousé en décembre 2005. Je suis partie 12 mois plus tard en raison d’infidélité et de toxicomanie. L’abus de quelque nature que ce soit n’a sa place dans aucune relation. J’encourage ceux d’entre vous qui ont subi des abus à prendre des mesures pour guérir et à avoir la force de vous réaliser pleinement par vous-mêmes. Ceci est ma seule déclaration à ce sujet. Merci de respecter cette demande. »




Des répercussions ?

Reprenons..

Son label Loma Vista Recordings, son manager de longue date ; et son agence de talents, CAA, l’ont tous laissé tomber. Loma Vista Recordings a déclaré ne plus travailler avec Brian, tandis que la chaîne de télévision américaine Starz a déclaré que l’apparition de Brian dans la série American Gods sera retirée d’un épisode de la nouvelle saison. Pas d’audition, pas de procès, pas d’interpellation et pourtant, sa maison de disques et son producteur l’ont déjà laissé tomber, sur la base d’ALLEGATIONS ! Le FBI a depuis ouvert une enquête. Les flics ont envahi le domicile de Brian à Los Angeles mercredi dernier après avoir reçu un appel demandant une vérification de son état de santé. Un représentant a ensuite assuré aux officiers que Brian allait bien et qu’il ne voulait tout simplement pas sortir de la maison en raison de la présence des médias. Il est libre



Anna V. ESKAMANI

Courrier de la représentante Anna V. ESKAMANI, adressée au directeur du FBI Christopher WRAY et au procureur général des États-Unis par intérim Monty WILKINSON : « Je demande que le ministère américain de la justice rencontre immédiatement les victimes présumées et enquête sur les accusations très graves. En tant que défenseur de longue date des survivants de la violence domestique et sexuelle. J’ai vu de mes propres yeux les effets traumatisants du contrôle émotionnel, psychologique et physique exercé par un agresseur. Souvent, les victimes ne sont pas crues ou sont contraintes de se taire, en particulier lorsque l’auteur présumé est une personne qui occupe une position de pouvoir et/ou a le statut de célébrité. C’est pourquoi je vous implore de prendre des mesures. Ces cas présumés contre M. Warner proviennent de tout le pays, mais j’ai également été informée de l’existence de victimes en Floride et je vous demande de prendre des mesures pour enquêter immédiatement sur ces plaintes. Je vous remercie de votre temps et de votre considération pour une action rapide sur cette affaire. J’apprécierais vivement toute information que vous pourriez partager sur l’avancement de cette enquête au fur et à mesure que vous avancez. »

« You know who you’re fucking with » — Brian 

Les engagement caritatifs de Brian (typique des people du XXIème : « soyez vegan et laissez-moi vous torturer »). Brian sert l’agenda et se fait de la thune, contribue à détourner des fonds et probablement bien pire encore. Il est en contact avec des enfants, des adolescents. Et les donateurs.Fondation Make-A-Wish (2002), donne un masque à Music for Relief (2004), vente aux enchères Little Kids Rocks (2006). En 2006, Brian devient le bienfaiteur de « Project Nightlight », une fondation basée à LA qui diffuse des courts métrages, de la musique et des vêtements pour attirer les ados et (accrochez-vous) et les encourager à s’exprimer contre les abus sexuels et physiques. En 2007, Brian donne une guitare Gibson à l’association Music for Life après un concert en Belgique. Où est-ce qu’il faut regarder encore ? Réveillez-vous. Il est question d’intérêt public, de santé mentale, de protection, d’assistance à personnes en danger. Le mal n’a pas de sexe, hybride. Les révélations des unes, les démentis des autres, tout s’est passé via Instagram ces derniers jours. En revanche, faut pas oublier que des prédateurs stars ou pas-stars sévissent aussi sur Instagram. Tous les jours. Côté star : James FRANCO, accusé par une adolescente de 17 ans de lui avoir proposé un rendez-vous à l’hôtel en 2014. Invraisemblable : l’article de The Cut finit par « le 1er avril est derrière nous, mais le personnage public de James FRANCO est très poisson-d’avril tous les jours. Faut pas oublier que les médias ne sont pas de notre côté. Faut pas oublier que Ed Westwick l’acteur de Goosip Girl accusé de viols par quatre femmes, vient d’ouvrir son compte TikTok. In plain sight.
Sur TikTok, Twitter, Instagram, YouTube… on ne peut rien dire sans être shadow ban et que les vidéos soient retirées mais pas de problème quand il s’agit des vidéos porno-mutilation-snuff-movies à la Brian… Qui contrôle Brian ? Si le mec qui est l’antéchrist dans le métal (et dont le label Interscope est une spirale) n’est pas contrôlé, ça sert à quoi ? Le FBI a ouvert une enquête. Brian WARNER est pire que Marilyn MANSON. 
Patsy, pawn or dead ?




Les sources : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 42, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50, 51, 52, 53

  • Trent REZNOR : 1, 2, 3, 4, 5
  • Stephen Gregory BIER Jr : 1
  • Bob DOLE : 1, 2
  • Cauchemar audiovisuel : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19
  • Celebritarian Corporation Gallery : 1, 2, 3
  • Phantasmagoria : the visions of Lewis CARROLL : 1, 2, 3, 4, 5
  • Asia ARGENTO : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11
  • Justin BIEBER : 1
  • Nicolas CAGE : 1
  • Alice COOPER : 1
  • Johnny DEPP : 1, 2, 3, 4, 5
  • Die Antwoord : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13
  • James FRANCO : 1, 2
  • Marc JACOBS : 1
  • Shia LABEOUF : 1, 2
  • Avril LAVIGNE : 1
  • Eli ROTH : 1
  • Lindsay USICH : 1, 2
  • KING, HOLMES, PATERNO & SORIANO LLP : 1, 2, 3
  • Témoignage de la jeune fan : 1
  • Gabriella : 1
  • Mark : 1
  • Bianca ALLAINE : 1, 2
  • Love BAILEY : 1
  • Jenna JAMESON BITTON : 1
  • Esmé BIANCO : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12
  • Wes BORLAND : 1
  • Phoebe BRIDGERS : 1, 2
  • Corey FELDMAN : 1
  • Peaches GELDOF : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13
  • Rose McGOWAN : 1, 2, 3
  • Sarah McNEILLY : 1
  • Taylor MOMSEN : 1, 2
  • Ashely Lindsay MORGAN : 1
  • Jennifer SYME : 1, 2
  • Dita von TEESE : 1, 2, 3
  • Ashley WALTERS : 1, 2
  • Evan Rachel WOOD : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20
  • Charline YI : 1
  • Thread et commentaires : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
  • Getty people : 1, 2, 3, 4, 5, 6
  • Mansonisabusive : 1
  • Ellie JAYDEN : 1
  • Études sur les femmes pédocriminelles : 1

 

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