Affaire KENTLER – 30 ans de placements chez des pédos [1970]

16 septembre 2020Les Réseaux

Allemagne. Durant 30 ans, les services sociaux, encouragés par le gouvernement, ont placé volontairement des enfants dans des foyers où se trouvaient des pédophiles. Cela à but « expérimental » et totalement voulu et assumé par le gouvernement. Voici les faits et les chiffres. Nous abordons le sujet sous un angle légèrement différent du premier déjà présent sur le site.


  • Pays : Allemagne
  • Responsables : Helmut Kentler (sexologue), les services sociaux, le gouvernement
  • Durée : 30 ans
  • De 1970 à 2000
  • Un rapport sur ce qu’il se passa sera publié par l’Université de Hildesheim en 2021
  • L’expérience fut « commandée » par la mairie de Berlin
  • Tentative de lumière sur l’affaire en 2016, étouffée par le gouvernement Allemand

On pourrait ne pas y croire mais c’est pourtant une triste réalité qui ébranle le pays suite à l’éclatement de ce dossier. Les expériences de Kentler. L’homme, sexologue et pro-pédophile faisait partie de la lignée de ceux qui souhaitaient tout faire pour dépénaliser la pédophilie et considérer qu’il n’y avait aucun crime dans l’acte qu’un adulte exécuterait sur l’innocence d’un enfant. La mairie (entendez donc là, le gouvernement) en association avec les services sociaux nationaux, ont placé des enfants en situation de détresse chez des pédophiles. Comme lisible sur l’article de Valeurs Actuelles, ils donnent l’exemple d’un concierge (qui est en fait un mec friqué, ancien technicien des télécoms, histoire de bien noyer, encore une fois, le poisson n’est-ce pas?) qui, grâce à cette « expérience » a pu violer 9 petits garçons sans être inquiété de quoi que ce soit. Un témoignage rapporte que lorsque ce dernier vint chercher le petit garçon, il lui offrit une bière et ce, en présence d’une infirmière… On a presque du mal à y croire et pourtant… Le pédo en question n’avait pas eu droit à 1 petit garçon mais 3, dont l’un mourut sous son toit avec la raison qui ne pourra jamais être vérifiée d’une pneumonie. Comme pour le Covid, la pneumonie reste la raison de décès de beaucoup de gens, hein?… Au total, il a eu 9 petits garçons différents qui, une fois trop vieux à son goût, sont devenus des esclaves domestiques et ont été remplacés par des plus jeunes… Le début du rapport de ce scandale note bien un fait très important : Les autorités Berlinoises ne se sont pas contentées d’autoriser cela, ils l’ont encouragé. Nous citerons un passage de l’article en question :

 » Plusieurs institutions de la capitale sont pointées du doigt, comme l’université berlinoise FU, l’administration ou l’institut Max Planck, mais aussi des établissements scolaires dans toute l’Allemagne. »

L’impunité est totale. Il faut savoir que cette affaire aurait dû éclater il y a déjà 4 ans, lorsque l’Université de Göttingen mit sur pieds le premier rapport sur ce qu’il se passait. Le gouvernement Allemand a essuyé d’un revers de main le dossier, tentant de l’étouffer. Aujourd’hui, on prétend que tous les responsables sont morts et qu’il n’y a, qu’en guise de lot de consolation, que les excuses du gouvernement auprès des victimes. Kentler est mort en 2008. Un peu facile car si l’on cherche un peu, il est évident que beaucoup de responsables politiques et des services sociaux de l’époque sont encore bien vivants. Mais en Allemagne comme en France, on ne touche pas à l’exécutif pédophile. Kentler travaillait en tant qu’expert auprès du Sénat Allemand. La politique du pays est bien trempée là-dedans et jusqu’au cou. Kentler bossait aussi et principalement pour l’Université Gottfried Wilhelm Leibniz de Hanovre. Malgré quelques médias ayant osé pointer du doigt cette affaire, nous remarquerons rapidement que certains faits d’importance seront globalement éludés. Par exemple. Kentler était en contact direct avec les services sociaux et avec les familles d’accueil pédophiles et profitait – sans le moindre doute – des victimes aussi.



LES COUPABLES

Cela amuse grandement ces corrompus collabos de ne pas pointer du doigt les responsables, préférant parler d’un gouvernement qui ferma les yeux et de services sociaux qui exécutèrent les ordres mais nous, on aime particulièrement exposer les …. de pédophiles qui votèrent, acceptèrent, encouragèrent cette ignominie. Donc, reprenant les faits s’étant déroulés de 1970, date à laquelle le sénat offrit au docteur pédo Kentler l’autorisation de mener cette expérience, jusqu’en 2000 où les responsables se succédèrent sans rien dire permettant ainsi à l’expérience de perdurer. Voici les noms des responsables que nous avons pu relever. Focalisons sur la tête du sénat du département pour l’éducation, la jeunesse et la famille.


Passons à la Mairie de Berlin de 1970 a 2000


La liste des personnes et associations responsables liées aux services sociaux (les responsables de ces départements sont gérés par les maires)* :


Dénoncer un crime aussi gros, un scandale aussi malade sans nommer clairement les responsables est une honte. Encore une fois et comme toujours, honte à vous collabos que l’on nomme plus communément « journalistes ». Honte aussi au gouvernement Allemand pour faire comme si aucun responsable n’était encore vivant pour assumer la responsabilité de ce qu’il s’est passé avec l’accord – comme toujours – de tout le gouvernement !!

*Les organismes responsables de l’aide à la jeunesse sont divisés en organismes publics (offices d’aide à la jeunesse, offices publics d’aide à la jeunesse) et en organismes indépendants (associations de jeunesse et d’aide sociale).Les services d’aide à la jeunesse sont principalement fournis par des institutions indépendantes. Les grandes organisations indépendantes ont un statut spécial, juridiquement reconnu, d’organisations faîtières du travail social indépendant et exercent une influence correspondante sur la politique sociale fédérale.

Une vidéo parfaite explicative partagée par un membre de la communauté youtube qui illustre en 15 min très bien l’affaire.


 

#Fsociety