- Date – 08 Octobre 2020
- Nom – Bryan Loyson
- Lieu – Nouvelle Galles du sud / Australie
- Origine – Belge
- Emploi – « Vendeur » dans une Holding (oui, je sais… voir plus bas) Depuis 2014. Manager : Bruno Baron.
- La holding : Maison mère en France, Charleville-Mézières .
- Faits – Diffusion / vente de contenus pédopornographiques
- Peines – 4 ans de prison
- Fait troublant – Dans ses centres d’intérêts, sur sa page professionnelle, il indique « Richard Branson ». Ce dernier étant relié au trafic Epstein et NXIVM.
- Site internet –Ici(fermé mais sauvé sur archive).
08 Octobre 2020 – Bryan Loyson, 26 ans est condamné à quatre ans de détention par la Cour suprême de Nouvelle-Galles du Sud (Australie), pour diffusion de pédopornographie. L’enquête pénale a débuté en février 2019, lorsque l’équipe de l’opération de protection de l’enfance (l’AFP) à Sydney a été informée par l’organisme Américain qui s’occupe de la lutte de l’exploitation sexuelle des enfants. Ils communiquèrent ainsi qu’un homme en Australie mettait en ligne des photos et vidéos pédopornographiques sur Snapchat. L’AFP a retracé la piste numérique et découvert que Loyson n’utilisait pas que Snapchat mais un certain nombre de plates-formes de réseaux sociaux, notamment Tumblr et Instagram. Bryan Loyson a plaidé coupable aux accusations de distribution de contenus de pédopornographiques par le biais d’un service de distribution, d’utilisation d’un service de transport pour accéder, transmettre, rendre disponible, publier, distribuer, annoncer et promouvoir du matériel à caractère pédosexuel. La police Australienne a également confisqué les bénéfices de son trafic qui s’élevaient à 25000 dollars répartis sur un compte Australien et un Allemand. Lorsque l’on connait l’argent que les contenus génèrent, on peux aisément se dire que ces 25k de dollars ne sont qu’une partie de son argent de poche. Il est dit que chaque contenu était vendu pour 50$. Il n’en aurait vendu que 500 ? Depuis combien de temps exerçait-il ? S’il fut repéré par les services américains, ça ne faisait pas 12 mois… De plus, on sait aujourd’hui que la vente de contenus pédophiles est de loin l’un des marchés les plus lucratifs, avec, juste pour les U.S.A un chiffre supposé de 9.500.000.000 $ par an… Ce chiffre datant de quelques années en arrière, communiqué par les diverses associations nationales et basé sur une « estimation », nous pouvons conclure extrêmement facilement que le chiffre puisse être doublé. Alors 25.000$ divisés sur deux comptes en banque pour un trafiquant de contenus pédo ? Non, on n’y croit pas une seule seconde.
Il fut donc condamné à 4 ans de prison et ne pourra pas être libéré sur parole avant 2023. Faible sentence, pour changer, même si cela tombe en Australie. Il avait, officiellement une vie de globe-trotter. La justice Australienne n’a pas évoqué que Bryan Loyson aurait pu être l’auteur de ces contenus pédos ni qu’il était lui-même un pédocriminel, ce qui est intriguant. Il est là aussi difficile de croire que quelqu’un de normalement constitué puisse supporter ce genre de choses seulement pour un profit financier, uniquement pour l’appât du gain pour ainsi se tourner vers ce type de commerce innommable. La question peut se poser. Il avait plusieurs supports pour poster ses photos de voyages : sa page Facebook et son compte Instagram où il partageait ses aventures par le biais de photos et un blog qui est à présent fermé. On peut voir qu’en 2017, durant un mois, il a parcouru 3200 km en Thaïlande. Il se montre dans des chambres d’hôtel de luxe et se divertit par le biais d’activités sportives à sensation. En novembre 2018, il s’installe en Australie. Une bonne couverture pour cacher ses activités immondes qui finançaient sa vie de bohème de luxe. Sur son profil Linkedin, il indique que depuis 2014 (et jusqu’à aujourd’hui) il est employé comme vendeur dans la société Développement Belge Concept Sucx. Selon un site de business Belge, c’est une société d’activités de holding depuis 2011. Cependant, avant cela, la société évoluait dans le commerce de détail de chocolats et confiseries, portant le nom – comme mentionné dans un article de Franchise Magazine – de « Sucx king of candy ». Ils parlent de cette enseigne, fondée en 2012 par Laurent Cordier, repris ensuite par Cyril Danau, comme s’étant éteinte en décembre 2016 mais les registres du commerce Français ne semblent pas correspondre au discours officiel. Des modifications ont clairement été effectuées sur les pages de ces dits registres… Car en fouillant, nous trouvons aussi qu’avant ce soi-disant fondateur, il y avait une autre personne, Marine Keit, qui elle serait la véritable fondatrice une année plus tôt. Tellement d’incohérences. Et pourquoi Loyson affiché vendeur dans cette société de holding ? (les holdings sont faites pour cacher des sociétés qui abritent d’autres sociétés). Pour que vous compreniez bien, SUCX en phonétique anglaise donne SUCKS, cela signifie « Suce »… Si la dénomination indiquée sur son Linkedin n’est pas anormale et qu’il était simplement vendeur dans un magasin de bonbons pourquoi ne pas avoir écrit « vendeur à Sucx king of candy« comme pour le précédent emploi « vendeur à Dreamland » qui est précisément le nom du magasin et non la forme juridique. Car il pourrait être un revendeur de la franchise ? Alors, il a un poste à responsabilité, et dans ce cas, il n’afficherait pas simple vendeur… Quoi qu’il en soit, en attendant d’avoir des précisions, l’idée de l’homme qui seul met en place un tel trafic n’est pas envisageable, comme toujours. Surtout qu’en 2016, il se forme, via la plateforme Google atelier numérique, au développement marketing digital. La vente digitale de contenus, donc, pédophiles.
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