FEMMES PÉDOPHILES – Ou comment l’instinct maternel peut être remplacé par le sadisme

Les Femmes Pedo 01


Novembre 2020 – Six mois de prison avec sursis et une forte amende ont été prononcés à l’encontre de deux femmes il y a quelques jours. Elles ont été reconnues coupables d’avoir diffusé sur les réseaux sociaux la vidéo du viol de deux enfants, âgés respectivement de 2 et 5 ans. À la barre, elles ont tenté de minimiser les faits. Elles « ne savaient pas que c’était interdit et n’ont fait que relayer un message, afin de retrouver le violeur », a déclaré l’une d’elles. « Pourquoi ne pas avoir dans ce cas averti les forces de l’ordre ? » a questionné la juge. Ces deux femmes, mères de famille, n’ont-elles donc aucune empathie envers les petites victimes ? Celles-ci n’ont certes pas agi d’elles-mêmes en tant que bourreau. Mais leur geste, en plus de minimiser la gravité des faits, prouve une perversion anormale. Il faut également savoir que ce fait n’est pas rare ou isolé. D’autre part, certaines femmes monstrueuses passent à l’acte. À l’image de Vanessa George, surnommée la « pire pédophile britannique », libérée en 2019 après dix ans de prison pour le viol de 64 enfants, dès l’âge de deux ans, dans la crèche où elle travaillait. Elle partageait ensuite les preuves de ses violences avec un homme et une autre femme, eux aussi condamnés à l’époque des faits. À sa libération, elle a été placée dans une auberge de probation coûtant jusqu’à 50000 £ par an. Et l’auberge se trouvait à seulement 547 mètres d’une crèche et à moins d’un demi-mile d’un club pour enfants, selon The Sunday People. Source 1, 2.



DES CAS CONNUS

En matière de grosses ordures, citons Malka Leifer, une pédo de 54 ans protégée par Israël malgré les nombreuses agressions qu’elle a commises en Australie (74 chefs d’accusation au minimum), dans une école de filles dont elle été directrice. Dans le genre d’affaire sordide, nous pouvons parler également de cette australienne de 40 ans qui a été condamnée à six ans de prison après avoir accouché d’une fillette… qu’elle a eu d’un enfant de 12 ans, après avoir abusé de lui à de nombreuses reprises. Que dire de l’avenir du bébé né de ces viols ? Indescriptible… Continuons. Il y a aussi référence dans la très médiatisée affaire d’Outreau. Rappelons que cette affaire fut traitée de manière absolument ignoble en faveur des nombreux pédophiles innocentés qui retombent pour les mêmes faits quelques années après. Et dans ce réseau pédophile, faisaient partie un certain nombre de femmes. Voyons aussi le cas du procès d’Angers. 39 hommes et 27 femmes accusés d’avoir violé, prostitué, martyrisé 45 enfants âgés de 6 mois à 12 ans. Ou celui, plus récent, à Bourgoin-Jallieu, dans lequel trois enfants d’une même fratrie ont été abusés par sept personnes, dont leur mère, leur beau-père, leur oncle et leur grand-mère. Source 1, 2, 3, 4, 5.


Et comment passer à côté d’une des femmes pédos parmi les plus connues, Ghislaine Maxwell ! La compagne d’Epstein, tête pensante de cet immense réseau ignoble, fournisseuse de chair fraîche pour ces messieurs, et elle aussi perpétratrice de viols. Pour citer un dernier exemple de sale violeuse, cette histoire sortie tout récemment impliquant neuf hommes et cinq femmes dans la région de Glasgow. Ce listing ci-dessus n’est qu’une toute petite partie immergée de l’iceberg. Chaque année, partout dans le monde, des femmes abusent d’enfants, elles les offrent en pâture sciemment à des prédateurs, ferment les yeux sur ce qu’ils subissent, ou matent ça avec excitation. Une question se pose alors. Leurs motivations sont-elles les mêmes que celles des hommes ? Pourquoi font-elles subir cela à de petits êtres innocents qu’elles sont censées protéger ? Des psy se sont penchés sur le problème, et ont tiré quelques éléments d’explications. Dans la plupart des cas, les agressions n’auraient pas de but purement sexuel, mais relèveraient plutôt d’un comportement hautement malsain : vengeance envers leur rejeton qu’elles tiennent pour responsables de leurs malheurs, tentative de créer une dépendance affective teintée de vice et de culpabilisation, ou encore résurgence de comportements qu’elles auraient elles-mêmes subis. Si ces hypothèses sont réelles, cela signifie que ces femmes ne feraient que transmettre sur les enfants des déviances dont elles auraient été victimes. Ce qui souligne à minima un énorme défaut de suivi et de soin avant un passage à l’acte, alors que les agresseuses n’étaient encore que des agressées.



CONCLUSION

Dans une des rares études publiées sur le sujet, on estime qu’il y a une femme pour 60 hommes parmi les pédophiles. Mais ce chiffre reste à prendre avec prudence, puisque ces cas sont moins souvent rapportés, que ce soit par honte des victimes ou méconnaissance de la gravité des faits. De plus, la sexualité des hommes est plus souvent perçue comme active, à contrario de celles des femmes qui serait passive et dénuée d’agressivité. Quoi qu’il en soit, et quels que soient les événements qui ont conduit les femmes pédophiles à le devenir, il faut absolument les punir au même titre que les hommes ! Les traiter de manière différente serait injuste. D’ autant plus que c’est leur rôle, inscrit même dans leurs gênes, d’éviter aux enfants qu’ils ne subissent de telles agressions. Pour un enfant, une mère, une institutrice, une nourrice est vue comme, et se doit d’être, un rempart contre la violence des adultes. Une femme, c’est un lieu de refuge et de tendresse, un havre de paix au sein duquel se ressourcer et oublier les horreurs extérieures. Mais alors, si elles ne tiennent pas ce rôle fondamental, sur qui vont pouvoir compter les enfants pour grandir et vivre sans danger ? Source 1, 2, 3, 4.


 

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