[update] – OPERATION TRINITY – L’énorme réseau gay pédophile mondial [2015-2021]



UPDATE MAI 2021

  • Comme nous l’avions suggéré, Aschbacher et Arson étaient bel et bien cachés en FRANCE !
  • Un “second” mandat d’arrêt avait été déposé selon la presse. Nouveau ? FAUX ! Ils n’étaient pas fichés sur INTERPOL tel que la presse et la justice le faisaient croire nous vous l’avions prouvé à l’époque avec preuves à l’appui sur les notices rouges d’Interpol et ce, sur le site d’INTERPOL directement !
  • Ils avaient de nouveaux passeports/identités, plein de cash et du matos informatique !
  • Rappelez vous qu’ils avaient été libérés après l’annonce de leur sentence potentielle qui était de plusieurs centaines d’années de prison !!! Et ce, juste avant le procès ! Alors qui a fourni faux passeports et cash ?
  • Ils étaient dans le sud lorsqu’ils furent rattrapés par la police ce mois-ci, région d’où ils étaient originaires. On suppose que personne n’a cherché à l’endroit même d’où ils venaient… Source :1

EN PARTIE 2 DE NOTRE DOCUMENTAIRE VOUS RETROUVEREZ L’INTÉGRALITÉ DE L’AFFAIRE




Un réseau massif remontant sur plusieurs autres réseaux, dirigé par deux Français et quatre espagnols. Avant d’être arrétés , leur objectif était de mettre en place une formule vacances All Inclusive. Chambre d’hôtel au Maroc (et probablement dans d’autres pays), du contenu pédophile sur photos et vidéos et des victimes à violer : de nombreux jeunes garçons provenant d’un peu partout. Les foyers sociaux (comme d’habitude) étant le lieu où ils se procuraient la grande majorité des futures victimes. Les accusés étaient en détention préventive depuis fin 2015 début 2016. Fin 2019, juste avant le procès, la pédo-justice les libéra sans raison et Jean-Luc Aschbacher, Christian Arson et Youness En-Naciri purent quitter le pays pour ne jamais être retrouvés. Notez que nous gardons le profil le plus intéressant pour la fin et commencerons par les réseaux précédant celui-ci.

Les données rassemblées du réseau de Barcelone

  • 45 Pays
  • 28 sites internet de vente de contenu pédo
  • 10 à 20 euros par viol
  • Une librairie de Catalogne dont le nom est passé sous silence vendait le pédoporn
  • Garçons immigrés / orphelins placés
  • 75 victimes identifiées
  • 28 victimes retrouvées
  • 79 suspects retrouvés
  • 600 clients répertoriés 
  • + de 1.000.000 de fichiers pédopornographiques
  • – de 13 ans : Moyenne d’âge des victimes
  • 3 réseaux en 1. Un réseau mondial découvert aux USA (années 80), le réseau pédophile de Valence (1996) puis le réseau Espagnol/Franco/Marocain (2015/16)
  • Des centaines d’années de prison requises.


Les principaux accusés identifiés du réseau sont :

  • Christian Bernard Georges Arson (Français – Le mec de Jean luc – ils vivaient ensemble)
  • Jean Luc Aschbacher (Français, propriétaire des sites pédophiles, leader du réseau, anciennement producteur de films gays en France – le mec de christian)
  • Jose Cardona Serrat (Espagnol, bijoutier à la retraite, leader du réseau)
  • Fernando Aguilera Garrido (Espagnol)
  • Martin Rafaele Chanza Almudever (Espagnol)
  • Miguel Avilez Fernandez (Espagnol)
  • Youness En-Naciri (Marocain, ancienne victime devenue bourreau)

Notez que cette liste ne référence, bien entendu, que les petites frappes du bas de la pyramide et ne reflète en rien les hauts profils dirigeant très certainement ce réseau. Comme pour Dutroux, comme pour Zandvoort, comme pour toutes les affaires de ce genre, seul le bas du réseau est mis en lumière mais c’était sans compter sur la team qui put remonter un peu plus haut. Avant de rentrer dans l’affaire Espagnole, il est nécessaire de souligner un fait très important : Parmi les leaders du réseau, certains furent inculpés dans le passé pour des faits similaires, mêlant d’énormes réseaux pédophiles au fil des années. L’un de ces réseaux sera le premier jugé comme étant le plus gros des Etats Unis. Pour remonter sur ce réseau, la pièce maîtresse est l’homme suivant :


Jose Cardona Serrat

Il fut déjà inculpé en 1996 pour une affaire similaire de réseau pédophile. Le réseau de Valence (Espagne). A cette époque, ses complices étaient : Vicente Soler (qui sera assassiné après son acquittement durant le procès), Thomas Mc. Guire, 50 ans, ancien professeur d’informatique dans une école privée de Puçol et également recherché par la justice nord-américaine. Il était mêlé à une affaire de réseaux remontant aux années 80 aux USA. Mais il ne s’agissait pas d’un autre réseau, c’était exactement le même. Au début des années 90 les USA mettent la main sur les organisateurs. McGuire exportait depuis l’Espagne les contenus pédos aux USA. Sur place, “Eugene”, son contact pour la distribution aux U.S, revendait les vidéos. Ce réseau de l’époque était énorme. Il fut, il faut le mentionner, ce que les États-Unis jugèrent comme étant le plus gros réseau pédophile du pays. Eugène Leithiser, était un professeur d’école élémentaire, distributeur et vendeur national des contenus pédophiles. Brian G. Doherty faisait lui aussi partie du réseau de cette époque. Puis vint en 1996 la pseudo chute du réseau de Valence où seront identifiés McGuire et Cardona Serrat. Un seul et même réseau qui opérait donc depuis près de 40 ans. Jose Cardona Serrat émet une plainte à cette époque auprès du tribunal international des droits de l’homme, jugeant que son incarcération provisoire était injustifiable. La cour lui donnera raison… Vous pouvez accéder au PDF officiel En cliquant ici. Il y a beaucoup d’hommes mêlés à l’affaire de 1996, des hommes moins importants qui ne sont pas mentionnés ici. Vous trouverez donc ci-dessous un screenshot de l’organigramme afin de connaitre leurs noms. Notez que Martin Rafael Chanza Almudever faisait aussi partie de ce réseau de Valence et c’est sur lui que nous enchaînerons un peu plus bas.

Journal Espagnole de 1996 (1/4) – Article éliminé de Google affaire des années 80 (2/4)Copie journal Américain (3/4)D’autre noms 1996 Espagnols (4/4)



Nous trouvons donc ensuite Martin Rafael Chanza Almudever. Il faisait aussi partie du réseau de Valence en 1996, il est supposé être professeur des écoles mais peu d’infos sont disponibles à son sujet. Il a été condamné plusieurs fois comme en atteste cet article et libéré à chaque fois. S’ajoute à cet homme un autre anonyme que nous savons être de Grenade en Espagne et qui, d’après nos recherches, serait lui aussi un professeur, le pédophile du nom de Miguel Aviles Fernandez.



Passons maintenant au profil de Fernando Aguilera Garrido. Fernando est un espagnol, ancien flic reconverti en vendeur et producteur de contenu pédophile. Les autorités Espagnoles considèrent qu’il était l’un des dirigeants du réseau de Barcelone, aux côtés de Aschbacher et Arson. A droite sur la photo, Christian Arson. Un Français qui possédait une entreprise dans le sud à La Ciotat et dont “ils” se sont empressés de supprimer les informations relatives à cette dernière. Falsification de papiers officiels ? il faut le croire car lorsque vous recherchez cette dite entreprise, le nom fut modifié pour n’afficher que “Monsieur Christian Arson”. C’est connu, tout le monde crée une entreprise en l’appelant par Monsieur ou Madame suivant son nom et son prénom. A la grande rigueur, nous pouvions penser que ce n’était qu’un détail fortuit et qu’effectivement, la société fut stupidement nommée ainsi. Sauf que lorsque l’on regarde les infos sur societe.com, il manque aussi le numéro de la rue de la société, se limitant à une rue et un nom de ville. Bon, disons que là aussi nous jouons les naïfs et passons à un autre détail. La date de création de l’entreprise : Le 01/01/1900. Il n’était même pas né. Intéressant de créer une société à son propre nom et prénom avant même sa propre naissance. Une vaste plaisanterie et ce n’est pas fini, loin de là. Le numéro de Siret. Nous avons eu beau rechercher dans tous les registres du commerce disponibles en ligne, nous n’avons jamais retrouvé cette société. Sur Infogreffe ainsi que sur l’INSEE, le numéro de Siret est indiqué comme erroné. Traduction : FAUX. Est-ce légal ? Nous avons quelques doutes là-dessus. Comprenez ceci : Un nom de société peut remonter à d’autres individus via nos recherches. Une adresse précise avec un numéro peut nous indiquer qui a vécu avant, après, pendant, à cette adresse ainsi que le propriétaire des lieux et d’éventuels gérants d’autres sociétés basées à cette même adresse. Pour en terminer sur ce ridicule acte de falsification de registre officiel évident terminons que la date de création peut elle aussi aider à trouver des informations en recroisant d’autres données liées à l’année de création. Voici un exemple de ce que nous venons d’expliquer ici sur Societe.com.

Christian Arson fait partie de ceux qui ont eut le privilège de la pédo-justice de pouvoir sortir sans raison de sa détention préventive juste avant le procès et a ainsi pu quitter le pays pour ne plus être retrouvé ni jugé.

Mais reprenons l’histoire de ce réseau, Christian Arson vivait donc dans la région de Barcelone, il est le bras droit de Jean Luc Aschbacher. Ils étaient tous deux producteurs de films porno gay avant les années 90 en France. Avec la venue d’internet, le business de film porno gay en VHS piqua du nez. Ils se reconvertirent et débutèrent de nombreux sites internet pédophiles. On en dénombre 28 mais il est fort probable qu’il y en ait bien plus. Il faut noter que, même si bon nombre de ces sites furent stoppés au moment de leurs arrestations entre 2015 et 2016, après vérification, nous pouvons confirmer que certains sont toujours en ligne et actifs. Un de ces sites en question que nous prendrons ici en exemple et sans donner l’URL pour ne pas faciliter la recherche de contenus pédophiles pour certains détraqués qui passeraient par-là, a toujours la même vocation. C’est un site miroir, dont le nom ne peut prêter à confusion dans le genre “boys sex” qui renvoie sur une page d’accueil proposant des sites aux titres tels que “clip sans adultes”. Des clips sans adultes, on voit très bien à quoi cela fait référence… Nous n’avons pas été plus loin mais nous pouvons confirmer que le code source est pro, que le site miroir renvoie sur plusieurs autres sites, que l’hébergeur est bodis.com et que, pour finir, les sites enregistrés en premier lieu sous le nom de Jean-Luc Asch sont à présent anonymes et certains toujours actifs.



Youness En-Naciri

Youness En-Naciri, né au Maroc, est une ancienne victime de Christian Arson et Jean-luc Aschbacher. Une fois adulte, lorsque les pédophiles ne furent plus intéressés par Youness, puisque trop vieux à leur goût pour être violé, ils utilisèrent le jeune marocain afin de trouver de nouvelles victimes, de jeunes garçons pauvres/abandonnés pour leur trafic pédophile. Youness est devenu à son tour agresseur, la police retrouvant des contenus pédopornographiques où l’individu se trouvait avec de jeunes victimes. Il fût aussi mentionné qu’il aidait aux tournages des films pédophiles. Youness En-Naciri fait partie de ceux qui ont eu le privilège de la pédo-justice de pouvoir sortir sans raison de sa détention préventive juste avant le procès et a ainsi pu quitter le pays pour ne plus être retrouvé ni jugé.









Jean Luc Aschbacher

Jean Luc Aschbacher, le pire et le plus important pour la fin. Un Français, aussi connu sous le pseudonyme de Jean-luc Asch est le propriétaire des sites internet pédophiles et probablement le responsable du trafic. Lorsque nous parlons du responsable, nous ne parlons pas du big boss du réseau. Si l’on s’attarde sur les informations disponibles de la police, cet homme n’est qu’un énième Dutroux. Le gérant du bas de la pyramide, du réseau qui s’étend dans le monde entier. Il n’avait, semblerait-il même pas le train de vie d’un homme possédant un tel réseau. Lorsque l’on sait qu’un trafic aussi étendu peut générer jusqu’à plusieurs milliards d’euros par an, il ne fait absolument aucun doute qu’il n’était pas du tout le haut profil dirigeant dans l’ombre cette organisation qui, je le rappelle, perdure depuis les années 80 si l’on remonte jusqu’à Thomas McGuire et le trafic Espano/Américain par lequel nous retrouvons des membres du réseau actuel de Barcelone et – quelques années plus tôt – le réseau de Valence. Officiellement, le réseau fut mis en place dans les années 2000. Pourtant, la société fut créée en 1991/92, prouvant encore une fois la connexion évidente par les preuves et la présence de Jose Cardona Serrat dans toutes les affaires de la plus vieille à la plus récente. Il est le troisième et dernier faisant partie de ceux qui ont eu le privilège de la pédo-justice de pouvoir sortir sans raison de sa détention préventive juste avant le procès et a ainsi pu quitter le pays pour ne plus être retrouvé ni jugé. Et sachez, que parmi les victimes, la police Espagnole confirme qu’il y avait des enfants Français….



PLUSIEURS HOMMES AUX IDENTITÉS PASSÉES SOUS SILENCE

1 HOMME – À Malaga, les enquêteurs ont découvert qu’un autre des clients était un professeur de lycée qui utilisait son travail et sa position d’autorité pour approcher ses élèves à des fins sexuelles.

1 HOMME – En Cantabrie, un travailleur d’une école maternelle a été arrêté. Chez lui, la Guardia Civil a trouvé des photos pédophiles des enfants de l’école, ainsi que des sous-vêtements.

Et quelques autres sur qui nous n’avons pas assez d’informations précises.




Synthèse finale :

  • Aucun média ne parla de cette affaire. Les seuls à l’avoir fait sont des médias espagnols ayant (sauf un) modifié des infos cruciales très sûrement de manière volontaire ou à la demande d’identités inconnues liées à l’affaire. Niveau international, sauf erreur de notre part, seul SPUTNIK a fait mention de cette affaire.
  • Ils ne furent jamais ajoutés aux dossiers des personnes recherchées par Interpol. Nous avons régulièrement vérifié sur le site d’Interpol. Début 2020, ils n’y sont toujours pas malgré le fait que les médias espagnols soulignent qu’ils le sont.
  • Ils bénéficièrent du soutien de hauts profils, très certainement ceux possédant ce réseau, afin d’obtenir la sortie de prison préventive juste avant le procès et donc s’échapper et éviter la prison à vie que le tribunal semblait être en train de leur promettre. Car dans ces conditions, il est certain qu’ils auraient balancé les noms de leurs patrons. Ceux de l’ombre, ceux qui ne seront jamais inquiétés.
  • Facebook a nettoyé les profils de certains d’entre eux de façon exceptionnelle, modifiant jusqu’au code source de la page des profils en question. Le code est unique et ne correspond pas à celui de n’importe quel autre profil sur la plateforme. De fait, certaines choses pouvant être extraites ne peuvent plus l’être (exemple : l’accès à la photo de profil en format autre que vignette) La modification du profil en question fut faite en 2018 soit 2 ans après sa mise en détention préventive et peu de temps avant sa libération injustifiable de prison.
  • Un nettoyage incroyable fut mis en place du coté Espagnol comme Français allant jusqu’à falsifier des documents officiels ? (entreprise de Christian Arson)



UPDATE 2020

Et voici enfin la trouvaille que nous n’avions pas eu le courage de dévoiler plus tôt… Nous pensions honnêtement que nous pourrions être secondés par des supports plus importants que le nôtre afin de protéger ce travail… Mais des gens courageux, malheureusement, ça n’existe plus. Sachez que la plupart des soi-disant “très gros dissidents” n’ont même pas répondu à nos appels. Bref. Voici l’exclu que nous partagions dans notre documentaire du 12 Septembre 2020.

  • Jean Luc Aschbacher travaillait pour Gérard Menoud et Michel Ricaud
  • Menoud était considéré comme le roi du porno en France dans les années 80.
  • Menoud recevait du matériel de la part de Daniel Messinger.
  • Messinger, gros millionaire Suisse toujours en fuite, était accusé officiellement de produire du matériel pédopornographique (vous retrouverez des pdf dans l’organigramme réunissant les preuves)
  • Messinger et Menoud sont connectés à Nihoul et Dutroux. (voir fichier déclassifié de plusieurs centaines de pages sur l’affaire Dutroux, il est disponible à l’onglet “Dutroux” dans l’organigramme, le dernier de la liste)
  • Du matériel pédoporno de Messinger/Menoud, fut retrouvé sur les CDROMS de Zandvoort.
  • Menoud était l’employeur de Jean Luc Achbacher… source 1, 2, 3, 4(et y’en a d’autres dans l’orga)
  • Jean Luc Aschbacher avait une entreprise (celle qui fut grillée pour dissimuler le réseau pédo en Espagne) qui portait le nom de ASCHCOM PRODUCTOS SL
  • Cette adresse est domiciliée au 46 calle tapioles / Barcelone
  • Une autre société est à la même adresse, celle de SALE ADULT LINE ONLY SL
  • Aschbacher était le gérant de cette société auparavant
  • Cette société appartient à FREDERIC ERNEST NESENSHON
  • Il n’existe qu’un seul homme portant ce nom est il est Français
  • Il est propriétaire de plusieurs sociétés dont une domiciliée à quelques numéros de l’ancien appartement de Epstein avenue Foch…
  • Nesenshon est un grand chancelier de la grande loge internationale Memphis Misraïm. (ils ont supprimé la page il y a quelques semaines et ont même réussi à faire supprimer des archives. Sachez que si cette archive disparait elle aussi, nous avons des copies “filmées”, des copies PDF, des copies online sur des serveurs anon et nous sommes une dizaine à posséder une copie de tout le dossier.)
  • Nesenshon a fait campagne pour MACRON. Source 1, 2, 3.
  • Il est un très bon copain de Michèle Alliot-Marie. Source 1, 2, 3.
  • Il fait partie d’un genre de groupe politco/franc-maçon du nom de Le chêne.
  • Il voyage beaucoup au Maroc et est parrain de beaucoup de “petits garçons” du pays, dont un que l’on peut apercevoir en pleurs dans ses bras… (Facebook)

Pour résumer :

Aschbacher travaille pour un réseau pédophile relié à Dutroux et Zandvoort puis part s’installer en Espagne pour reprendre le flamme d’un réseau qui existe depuis les années 80 et qu’ aucun gouvernement (USA et pays européens inclus) ne met totalement à terre. Il travaille pour Nesenshon dans une boite qui fait aussi dans du porno (sale adult line only sl), puis monte sa propre boite (aschcom productos SL) pour mettre sur pieds un genre d’agence de voyage “tout compris” pédophile avec des hôtels au Maroc. Il se fait choper en 2016, est mis avec ses copains en détention préventive pour être ensuite libéré la veille du procès et permettre sa fuite. Il est recherché par Interpol mais n’est PAS dans les registres d’Interpol. Il est l’ancien gérant d’une boite d’un gros FM Français qui a une entreprise à quelques numéros de l’appart d’ Epstein avenue FOCH. Il est aujourd’hui en fuite et la pédojustice de quelque pays que ce soit n’ouvre pas d’enquête sur son ancien employeur qui, pourtant, a toujours sa boite active à la même adresse que celle du réseau soi-disant démantelé. On ne vous lâchera pas, on a d’autres pistes et on SAIT qu’il y a d’autres gars derrière (on a déjà les noms, il manque juste quelques preuves). Un réseau qui en connecte bien d’autres !!! Gardez bien cela en tête !!! TRINITY / ZANDVOORT / DUTROUX / VALENCE / USA , il n’y a QU’UN SEUL RÉSEAU !

 

#Fsociety