Un réseau couvert par la police, la justice et les services sociaux. Les témoins qui les dénoncent se retrouvent dans le box des accusés…Sophie Giuli et Eric Mignot partagent la garde de leurs enfants depuis leur séparation.
Au retour d’un week-end chez son père, leur fille se retrouve dans un état épouvantable, choquée. La petite fille finira par dire qu’elle a été violée par un ami de son père. Une plainte est déposée au commissariat de ST Tropez, plusieurs certificats médicaux sont établis.
Le lendemain, les gendarmes, sur ordre du Procureur, lui retirent ses 3 enfants pour les mettre en sécurité le temps d’entendre le père et son ami. S’ensuit un long silence… Plus aucune nouvelle de ses enfants. Partout où elle s’adresse on lui répond : « Ordre du Procureur de ne rien vous dire ». Trois semaines plus tard, par l’ASE, elle apprend que le Juge des enfants dont elle n’a pas reçu de convocation pour ses audiences, a remis la garde exclusive des enfants à leur père. Il s’appuie alors sur les mensonges du Dr Bensoussan, de M. Einecke l’éducateur spécialisé et Madame Voisin la psychologue chargés tous deux de l’AEMO et met en cause non plus Sophie Giuli mais sa mère et son beau-père !
On apprendra par la suite que ce n’est pas seulement Margaux mais les 3 enfants qui ont été violés (oral et anal…) et ce depuis août 2007, par le père tous les jours et par des amis du père, hommes et femmes, avec d’autres enfants, les mercredis, samedis et dimanches. On apprendra aussi qu’ils assistent à des meurtres réels d’enfants qui sont filmés.
En 2012, la maman ne voit toujours ses enfants qu’en milieu surveillé 2 à 4 heures par mois… Une gendarme du Var aura le courage de dénoncer ce réseau sur internet dans une lettre, sous le nom d’Amidlisa.
https://www.youtube.com/watch?v=Ijqbx_RW_K0
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