Le Coral était un lieu de vie chargé de l’accueil de jeunes en difficulté, (maladies psychiatriques, autisme..). Le lieu était dirigé par un éducateur spécialisé : Claude Sigala, et son épouse.
En octobre 1982, des enfants du Coral se rapportent des viols auprès d’une voisine du Coral. Une plainte est déposée par des parents et le Juge Salzmann ouvre une information judiciaire, débouchant sur l’inculpation de : Claude Sigala, le médecin psychiatre du Coral, Alain Chiapello et un éducateur, Jean-Noël Bardy. Très vite, un scandale tombe sur le coin de la table avec de nombreuses accusations portées sur le milieu politique gauchiste libtard, horizon politique déjà bien connu pour réclamer l’abaissement de la majorité sexuelle et l’honteuse promotion prônant la légalisation de la pédophilie.
Jean-Claude Krief, un éducateur stagiaire, témoigne qu’il est parvenu à détecter un réseau pédophile au sein même du Coral. Des pédocriminels seraient invités à se « défouler » sur les enfants qui leur sont « confiés ».
René Schérer, professeur, est mis sous contrôle judiciaire pour incitation de mineurs à la débauche puis innocenté lors de la confrontation. Observez attentivement l’entourage de cet homme. Lorsque l’on signe une pétition pro-pédophilie, que l’on s’entoure de pédophiles assumés ou présumés, il est très difficile d’avaler un acquittement en procès pour des faits de ce genre.
Gérard Durand, professeur de musique, et Willy Marceau, un jeune homme de 21 ans sans profession, sont également inculpés d’attentat à la pudeur suite aux dénonciations de Krief.
L’écrivain Gabriel Matzneff est lui aussi mis en cause, mais pas inculpé. Pourtant, rappelons une chose que les merdias aiment à dissimuler au plus profond du web. Voici une citation du livre de Matzneff.
“Mes amis pédophiles peuvent témoigner que ce n’est qu’exceptionnellement que j’utilise les réseaux de notre secte, où l’on se refile les gosses, et où l’unique séduction est celle du portefeuille.”
Jean-Claude Krief transmet aux policiers une liste de personnalités, surtout politiques, comme étant liées à l’affaire du Coral. Jack Lang, alors ministre de la Culture, fait partie des personnes citées, de même que le juge pour enfants Jean-Pierre Rosenczveig (présumé reconnu sur un cliché du CD de Zandvoort), qui deviendra dans les années 90 le président du tribunal pour enfants de Bobigny, ainsi que le psychothérapeute Léonide Kameneff et le cinéaste Bernard Alapetitte.
Notons que : Alapetitte est cité/mêlé/connecté à des personnes d’intérêts dans toutes les affaires de réseaux pédophiles de l’époque. Ado 71, Zandvoort, Toro Bravo, Coral et même l’affaire Maddie McCann. Pour ce qui est de Kameneff, même refrain. Il sera dans l’arborescence de l’affaire de l’école en bateau, réseau de trafic sexuel de jeunes népalais. Jack Lang n’est plus à mentionner mais rappelons les faits. Sa fille Caroline était une amie de Jeffrey Epstein. Jack Lang avoue avoir dîné avec Epstein. Il fut nommé dans l’affaire Marjorelle, Verdun, Coral. Ses amitiés ne sont composées que de pédophiles présumés ou assumés voir inculpés.
Le procès aura lieu en 1986 : aucune personnalité politique ou intellectuelle n’est citée à comparaître. Le dossier sera enterré.
#Fsociety