PERPÉTUITÉ : Il tue son bourreau

Dans la série, justice pourrie, pédojustice, injustice absolue, voici le Québec. Yan Dugas est un jeune homme de 22 ans, détruit par des traumatismes d’enfance qui ne souhaitent s’effacer au fil des années et qui, petit à petit, tombe dans tous les excès pour noyer sa souffrance. Dépression, drogue, PTSD (Post-Traumatic Stress Disorder) latent, petits délits ici et là, le jeune homme n’est déjà depuis longtemps que l’ombre de lui-même. Détruit par les abus, les viols qu’il a subi de la part de son entraîneur de soccer, à l’age de 11 ans. Le destin ne lui fit pas de cadeau. Entre 13 et 18 ans, il subira encore des abus et sa chute se fera sans fin. Son Bourreau ? Mathias Breton, un pédo multirécidiviste qui, plutôt que de se trouver en prison finit libre comme l’air afin de perpétuer ses crimes. En 2016, il croise le chemin du violeur, juste devant chez lui. Il a alors 18 ans. Il tend un piège au pédo, allant à sa rencontre et faisant mine de vouloir coucher avec lui. Une fois dans la chambre de l’individu, Yan sort un couteau de cuisine (qu’il, il faut le mentionner, a toujours sur lui par peur d’une énième agression). Un coup est porté en direction du torse du pédo. L’homme meurt sous les mains de celui qu’il avait agressé.


Yan, honnête et droit dans ses baskets, ne niera rien, confessera tout et plaidera coupable sans préméditation. Son sort est entre les mains de la pédojustice Québécoise qui, puisque autant remplie de pédophiles que le salon de Trudeau-pédo père et fils, lui infligera l’ultime affront de prononcer la perpétuité. Vous avez bien entendu. Perpet. Une sûreté de 12 ans est installée, suggérant et on l’espère, une potentielle libération de la jeune victime d’ici quelques années. Le pédophile se verra offrir post-mortem des circonstances atténuantes par la cour de justice Québéquoise qui semble vouloir lui retirer la veste de pédo pour la remplacer par celle d’une pauvre victime. Ils mettront ainsi en avant que Mathias Breton était un homme souffrant d’une déficience intellectuelle, pauvre orphelin de Duplessis. Ça ne marchera pas avec nous. Nous célébrons ce jour, la mort d’un déchet de l’humanité et portons toutes nos pensées envers la jeune victime qui remplaça la justice, puisque la justice, elle, ne fit que le mépriser. Nous sourirons aussi sur un détail. A la morgue, c’est dans l’indifférence absolue que le corps du bourreau restera, personne ne venant réclamer la dépouille du pédo.


Histoire de comparer un peu cette pédojustice dans d’autres histoires, nous sommes allés relever les peines infligées aux pédos du Quebec pour vous montrer l’horreur de ces gouvernements gérés par des pédos sans scrupules. Sachez qu’en 12 mois, c’est environ 325 pédos et violeurs qui défilent devant le tribunal. Avec, toujours, des peines inférieures que le jeune homme victime dont nous parlons aujourd’hui.


  • MICHEL BLOUIN – Une dizaine de victimes – 7 ans de prison
  • NOËL THIBAULT – Viols sur les enfants d’une garderie dirigée par sa femme sur une période de 22 années – 6 ans de prison
  • BERNARD GAUDREAULT – plusieurs victimes de 8 à 13 ans, viols répétés durant 20 ans – 30 mois de prison
  • PIERRE VEZINA – victime dans une garderie (encore) âgée de 4 ans – 21 mois de prison
  • REMI VALCOURT – multirécidiviste ayant déjà pris (seulement) 9 mois en 2005 et 12 mois en 2012 pour viols sur petite fille – 5 ans de prison

Qu’elle est belle la justice Canadienne / Québécoise… Elle est belle… Par ces peines voici ce qu’elle déclare plus qu’explicitement « Violez des enfants, les peines seront minimes, tuez un pédo, c’est sur vous qu’on s’acharnera » En même temps qui s’étonne ? Une pédojustice faite de pédophiles jusqu’aux plus hautes instances du pays. On pouvait pas s’attendre à moins… L’injustice devra être punie. Les juges au même banc que les pédos. A bon entendeur.

 

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