2020 – Les stars victimes se mettent à parler ? C’est l’impression que ça donne avec deux témoignages. Celui de l’héritière Gucci et celui de Paris Hilton. Comme l’a relayé, il y a peu, Alexandre Lebreton sur sa chaîne, les langues commencent à se délier pour balancer de gros noms. Ici, c’est de la famille Gucci dont il est question. C’est l’héritière Alexandra Zarini qui allumera le feu avec de grosses déclarations qu’elle fera dans une vidéo de quelques minutes. C’est par la menace de la déshériter que la famille répondra aux accusations. Dans le viseur : Son ancien beau-père, sa mère et sa grand-mère. Le beau-père l’a violée dés 6 ans et ce, jusqu’à ses 22 ans. La mère et la grand-mère ayant protégé « Joseph » et aurait même permis que ce sale pédophile puisse filmer Alexandra nue lorsqu’elle était petite. On se doute bien que ces enregistrements n’ont pas fini au fond d’un placard entre deux DVD de Disney mais très probablement online et dans les collections personnelles des pervers du showbusiness et autres célébrités pédos des USA. La mère et la grand-mère (si l’on ose encore les nommer ainsi…) eurent essayé dans le passé d’étrangler Alexandra lorsqu’elle avait menacé de parler. Ces dernières nient, bien entendu. Mais il n’y aura pas grand monde pour y croire. On sait bien ce qu’il se passe dans vos milieux et n’avons pas le moindre doute sur la véracité des propos de la victime. Elle rapporte aussi que, lors de cette tentative de meurtre (ou de pression), c’est le pédophile qui intervint pour l’extirper des mains de sa mère et de sa grand-mère et qu’il en profita ensuite pour la violer. Encore. Notons qu’il est aussi question de drogues. Nous pouvons donc émettre la possibilité d’un contrôle MK qui la plupart du temps est induit par l’absorption de drogue par les victimes. Ces dernières qui, comme Alexandra, se retrouvent plus tard addictes à ces substances.
UPDATE 2021 : Le 26 avril, Patricia Gucci et sa mère, Bruna Palombo, ont déposé une « requête en annulation de la signification d’assignation » suite au procès intenté en septembre par sa fille aînée, Alexandra Zarini. Source
LES ACCUSÉS
- Joseph Ruffalo (beau-père) – Travaille dans l’industrie de la musique + producteur de film- bénévole dans un hôpital pour enfants…
- Patricia Gucci (mère)
- Bruna Palombo (grand-mère)
Passons à Paris Hilton. A l’évocation de ce nom, la majorité d’entre nous aura l’image d’une blonde écervelée, riche et superficielle. Mais derrière le bling-bling et les lissages, Paris dissimulait une terrible souffrance, celle de son adolescence. Dans un reportage, This is Paris, la journaliste Alexandra Dean nous révèle l’envers du décor. Au fil de ses confessions, nous réalisons que cette femme a vécu une période terrible et douloureuse lorsqu’elle était adolescente. Venant d’une famille connue et nouvellement installée à New York, elle se fait harceler à l’école par les autres élèves. Ne supportant plus les railleries et l’éducation stricte de ses parents, elle se révolte et commence à sortir dans des clubs et des soirées. Elle aime de plus en plus cette liberté et cette insouciance, à tel point qu’elle néglige sa scolarité. Ses parents n’ont pas réussi à canaliser sa frénésie, ses débordements, ils décident donc en 1996 de l’envoyer dans un internat. Mais pas n’importe quel internat, celui de Provo Canyon School dans l’Utah. Comme un animal sauvage, elle est arrachée de force à sa famille par deux hommes, des agents de sécurité de cette école, en pleine nuit. « J’ai entendu crier comme un cochon qu’on égorge », se souvient sa sœur Nicky. Paris raconte alors l’horreur vécue dans cet établissement : coups, étranglements, brimades, cris, isolements… Le tout sous traitement médicamenteux, des antipsychotiques qui rendront même certains élèves suicidaires. Une école cauchemardesque avec des enseignants pervers et sadiques, que les autorités ont laissé agir malgré les nombreuses dénonciations d’élèves et de familles. Les parents de Paris l’auraient envoyée dans cette école parce qu’elle paraissait bien, une école ordinaire. Ah bon ? Une école ordinaire envoie ses sbires arracher brutalement un enfant en pleine nuit chez ses parents ?? Ça fait des décennies que cette école est accusée et personne n’a jamais rien fait !! Combien de victimes auraient put être épargnées ? Au départ dans les années 70, cette école était une école pour garçon uniquement. Les responsables de l’époque étaient Jack Williams, Robert Crist, D. Eugene Thorns. Quelques années seulement après l’ouverture de cette école, les plaintes tombaient déjà. En 1986, Charter Behavioral Health Systems a acheté le campus et les abus continuèrent durant les 14 années qui suivirent. C’est sous la gouvernance de ces derniers que Paris Hilton devint une victime de plus. Universal Health Services, dirigé par Alan B miller, racheta l’école et devinez quoi ? Les abus continuèrent aussi…
Bon nombre de personnalités y ont envoyé leurs enfants : Roseanne Barr, Barbara Walters, Graham Nash, Farrah Fawcett et des membres des Eagles pour n’en citer que quelques-uns. Ces gosses de riches ne manquaient que d’amour, d’attention. Pour les punir, les contrôler, les fabriquer à être ce qu’ils devaient être, ces ordures de parents les ont offerts à des monstres. La violence, les psychotropes, les viols, la terreur … Dans quel but ? Vous êtes bien d’accord qu’il ne s’agit pas d’une école ordinaire ? Au final, Paris Hilton explique que cette expérience traumatisante lui aura valu de trouver la volonté de maitriser sa vie sans plus jamais être contrôlée par qui que ce soit. Pour finir, petite mention. Ghislaine Maxwell, à l’époque où Paris était une jeune fille, eut pour idée de recruter Paris Hilton pour Epstein, rapporte Christopher Mason, un journaliste British, ami de longue date de la proxénète pédophile, Ghislaine Maxwell. Comme quoi, tout se rejoint d’une manière ou d’une autre…
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