CANAVERO: la juge pédo [2005]

*Image du site JohnHodgkinson


En 2005, le couple Blanchard déclare que leur fille Guérande, âgée de six ans et demi à l’époque, a été violée par Laurence Canavero, juge des enfants au TGI de Privas, en compagnie de sa greffière au sein même du tribunal. Elles auraient utilisé deux “sex-toys” pour assouvir leurs fantasmes pervers. Ce qui, vous vous en doutez fit des dégâts considérables sur la petite Guérande. Le 20 avril 2005, un médecin constate “une déchirure hyménée incomplète” ainsi qu’une “permissivité anale augmentée”. Ces pseudos tributaires de la justice auraient voulu se venger d’une plainte déposée par le couple Blanchard concernant une affaire précédente où une autre de leur fille, Julie, a été violée par une animatrice, Laetitiat Pépino et une assistante sociale au nom de Anne-Gaëlle Luquet au centre Socio-culturel de Saint Agrève (07) en 2004.  SOURCE 1SOURCE 2SOURCE 3

Michèle Nesme, vice-présidente au TGI d’Avignon, ignora complètement ce certificat médical puisqu’il ne sera même pas joint au dossier.  Et Didier Durand avocat général à la cour a défendu Laurence Canavero en disant d’elle qu’elle était un rempart aux mauvais traitements. Les parents sont démunis et J. Hodgkinson, le président national du “parti radical de France” porte plainte en leur nom.  Commence alors une campagne de dénonciation avec des affiches sur le témoignage de la famille concernant les viols de la petite. Cette action est alors utilisée comme prétexte à son arrestation, un moyen lâche de le neutraliser en contournant la liberté de la presse. John Hodgkinson est jugé pour outrage et dénonciation calomnieuse envers la juge le 19 décembre 2014 et écope de 8 mois de prison ferme. Il fera appel le 26 février 2015 et sa peine sera abaissée à 4 mois de détention. John Hodgkinson est également poursuivi par le Procureur Dominique Sénéchal pour “avoir outragé” par écrit Christophe Raffin et Marie-Christine Greiss de la Cour d’Appel de Nîmes, en les accusant d’agissements mafieux et d’association de malfaiteurs. Les faits qu’il dénonce ne sont contestés par personne et pire, cette manipulation est admise par le procureur général Desplan mais il ira pourtant en prison.Une autre source. Les violeuses et leurs complices ne sont pas du tout inquiétés et continuent même d’exercer. Source. Une juge (tiens encore …) et sa clique de magistrats pervers ont encore une fois tout mis en œuvre pour protéger l’une des leurs.

La liste s’allonge, les noms se retiennent…

 

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