PEDO MAGISTRATURE



Comme on le sait, les pédos sont partout, dans tous les milieux, tous les secteurs professionnels. Mais s’il y a un secteur dans lequel on espère y trouver des professionnels intègres, faisant preuve d’humanité et de bon sens, c’est bien celui des magistrats. Ne sont-ils pas censés faire montre d’une attitude irréprochable, impartiale dans le respect de la loi ? Récemment, l’un de ces magistrats était, le temps d’une journée seulement, au cœur des médias, son identité n’ayant bien-sûr pas été révélée. Le juge, premier vice-présisent du TGI de Dijon, ancien juge des enfants, a proposé au viol sa fille âgée de 12 ans sur un site d’échangistes qu’il fréquentait avec sa femme. Vous avez certainement été choqués par cette affaire mais sachez qu’elle ne représente en rien une exception. Nombre de magistrats, la plupart des juges, ont été mis en cause dans de sales affaires de viols d’enfants ou de possession de fichiers pédopornographiques depuis bien longtemps. Sans remonter trop loin dans le temps, voici quelques exemples qui illustrent parfaitement le laxisme, la complaisance et la volonté délibérée de faire taire les victimes, de la justice française. 


  • En 1997, on apprend que 71 magistrats sont impliqués dans un vaste réseau pédocriminel mis à jour grâce à l’opération ADO71. AUCUNE POURSUITE ne sera entreprise et leurs noms seront tus.  
  • Le président du tribunal pour enfants de Bobigny Jean-Pierre Rosenczveig, sera impliqué dans l’affaire du Coral et celle de Zandvoort. PAS DE POURSUITE.  
  • En 2003, Michel Joubrel, 52 ans, un ancien substitut général à la cour d’appel de Versailles. Il avait siégé au Conseil supérieur de la magistrature (CSM) de 1998 à 2002. Il est arrêté pour possession de fichiers pédopornographiques au sein d’un réseau pédocriminel sur internet : viols d’enfants, de bébés de moins de deux ans, ou d’adolescents. D’abord placé à la RETRAITE D’OFFICE par Dominique Perben, il sera RADIÉ.  
  • En 2003 toujours, Philippe Zamour, juge, est surpris en plein tribunal en train de se masturber. Mis en examen puis suspendu, il sera finalement déclaré irresponsable et bénéficiera d’un NON-LIEU.
  • Philippe Chenet-Bresteau, juge pour enfants, également directeur d’une colonie de vacances, avait été muté suite à des soupçons de pédocriminalité au sein même du tribunal entre 1989 et 1991. ZERO SANCTION ! Nouvelles accusations en 1994 alors qu’il dirigeait une colonie. Il ne sera finalement révoqué qu’en 2005 et condamné à 1 an de PRISON… AVEC SURSIS
  • En 2006, Christian Goy, substitut du procureur au tribunal de grande instance de Bayonne, est arrêté pour viols et agressions sexuelles sur mineures, les filles de certains de ses clients lorsqu’il était avocat. Il écopera d’une peine de PRISON DE 15 ANS (peine exceptionnelle pour ce genre de profil).
  • Le juge Pierre Roche, violeur d’enfants témoigne auprès de ses enfants de son implication dans des actes atroces et sataniques liés à l’affaire Alègre. Il dira que de nombreux notables dont des magistrats participaient à des cérémonies de sacrifices, des tortures et viols d’enfants.
  • Bernard Constantin, président de la chambre d’accusation de la cour d’Appel de Chambéry est provisoirement suspendu pour des soupçons de viol sur une fillette.
  • La juge Laurence Canavero sera accusée de viol sur une fillette au sein du tribunal de Valence. La plainte n’aboutira pas évidemment et l’accusateur sera emprisonné.



Et puis il y a tous les magistrats qui certes ne sont pas qualifiés de pédos mais qui, de par leur inaction ou leur minimisation des faits reprochés, laissent aux détraqués la possibilité d’agir en toute impunité. Beaucoup de témoignages viennent pointer des non-lieux, des peines minables, des procédures illégales. Pour exemple :

  • le petit Leeroy a été enlevé à sa maman sur ordre de Colette Lajoie, juge, sans aucune justification.
  • Séverine verra la juge Grollemund prendre clairement partie pour son ex, violeur de Amoris.
  • La juge Danièle Ringot avait rendu le plus célèbre non-lieu dans l’affaire des CD-Roms de Zandvoort, la même décision sera prise par cette juge concernant les viols de Pierre et Marie  (« Viol d’enfants : la fin du silence » d’Elise Lucet) par leur père au sein d’un réseau satanique.
  • La juge en charge de l’affaire Farina, le directeur d’école pédo, estimera que les charges n’étaient pas suffisantes concernant des faits sur une trentaine de victimes et décidera d’un non-lieu.
  • Dans l’affaire Poupart liée à Zandvoort, le réseau FM pédo montre clairement sa volonté d’étouffer les faits pour protéger on ne sait qui. Les magistrats impliqués dans cette vendetta sur la Vérité sont très nombreux : la juge Isabelle LOUMAIGNE-BREHAT, les juges Franck LAFOSSAS et Philippe GUENARD, la juge Thérèse PERET, le procureur Marc FRITSCH, le juge Christian RISS.
  • Le juge Renard, du tribunal de Nice sera en charge de l’affaire Kamal. Problème, il est lui-même impliqué dans les viols de la petite Lauriane ; il établira évidemment un non-lieu !
  •   Yvon Tallec, procureur, minimisera l’implication de la France dans l’affaire des CD-Roms de Zandvoort, établissant que les enfants n’étaient pas français, qu’ils étaient consentants …  
  • La juge Mylène Huguet remettra Léonid Kameneff, violeur d’enfants récidiviste de l’Ecole en bateau, en liberté.  
  • Le juge d’instruction Jacques Bourguignon et l’ancien procureur d’Auxerre René Meyer ne se saisiront pas d’un document mettant en cause Emile Louis.
  • Ghislaine Maxwell, complice d’Epstein, n’est pas inquiétée par la justice, aucun juge ni procureur n’intentera quoique ce soit, elle reste libre.

Et encore les affaires Amidlisa, Outreau, Angers, … toutes les affaires liées à ce réseau pédocriminel international ou impliquant des notables, politiques, magistrats présentent d’énormes failles et dysfonctionnements dans leurs procédures et leurs jugements, TOUTES !

 

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