JAPON : Encore un pays pro-pédo


Nous n’entendons que peu parler du japon en ce qui concerne la pédocriminalité. Pourtant, comme ailleurs, elle existe bel et bien. Des lois, aujourd’hui encore, existent et perdurent, pour permettre la diffusion et la possession de contenus pédophiles. En voici un exemple concret au travers de cet article synthétisé.

Ce que dit de la loi :

En Juin 2008, un projet de loi proposant une interdiction de la possession de matériel à caractère pédosexuel a été soumis à la Chambre des représentants du Japon, où il a été présenté à la Diète en Septembre, mais n’a pas réussi à passer. Le Parti libéral-démocrate et le Nouveau Parti Komeito ont proposé d’interdire toute possession de pornographie juvénile, mais ont été contrés par le Parti démocratique du Japon avec une proposition différente. Il est intéressant de constater que les partis démocratiques, quel que soit le pays, se retrouvent toujours du côté des criminels… La Chambre des représentants s’est dissoute le 21 juillet 2009, et les deux propositions de révision de la loi ont été retirées. Lors des élections générales de la Chambre des représentants en août 2009, des lettres ouvertes écrites par des politiciens à une organisation civile ont montré que les politiciens étaient divisés sur la question. Et le Le 4 juin 2014, un projet de loi a été approuvé pour interdire la possession, ce qui comble cette lacune dans la loi nationale sur l’interdiction de la pornographie juvénile, bien qu’elle ne s’applique pas à Hentai (un site de partage de animé et Manga pornographique).

Le projet de loi a été adopté le 18 juin de la même année. Malgré ces lois tardives pour mettre un cadre légal en matière d’images à caractère pédosexuel, la production de ces contenus n’a pas cessé. Aux yeux du monde, le Japon est considéré comme ayant un grave problème avec la sexualisation des enfants. Exemple : bars où les hommes paient pour rencontrer des écolières ; photos suggestives de très jeunes enfants ; et bandes dessinées mettant en scène des viols d’enfants.

C’est une zone grise juridique appelé Chako Ero qui profite au réseau de production de photos et vidéos pédopornographiques. La Chako Ero se sont des enfants d’à peine six ans qui sont filmés ou photographiés dans des vêtements érotiques.



A Tokyo en 2017 , Nobuhiro Watsuki, le créateur de la  série comique «Rurouni Kenshin» sur un ancien assassin samouraï devenu combattant de la justice, a été arrêté pour pornographie juvénile. Les enquêteurs ont trouvé durant les perquisitions des DVD de filles prépubères dénudées – source.

La loi de 2014 interdisant la production et le vente de contenus de pornographie infantile, ne concerne pas les animés et les mangas, au nom de la liberté d’expression. Les personnages des mangas juvéniles et volontairement sexualisés et ambigus plaisent à un seul public : les pédocriminels. Tout ceci participe à l’hypocrisie Japonaise car, en effet, il est courant de retrouver des dessins de ce genre en photo de profil des pédophiles sur les réseaux sociaux – source.

Pour enfoncer le clou, sachez que ces poupées pour pédophiles, jouets sexuels aux allures d’enfants, proviennent en grande partie de là-bas. Nous parlons souvent de la Chine et de ses déboires à cet égard mais le Japon doit y être tout autant mentionné, car proposant à l’export ces objets dégueulasses provenant directement d’un cerveau particulièrement atteint pour avoir un jour pensé créer une telle horreur… En exemple, la société très décriée « Orient Doll » fabricante de cette merde ici. Le marché semble juteux et nombreux sont les pays s’offusquant des commandes de leurs pédophiles nationaux publiquement. Pourtant, l’import/export de cette marchandise perdure…

Morale de tout ceci : Ce n’est pas parce que nous n’en entendons pas ou peu parler que certains pays en sont protégés. Les pédophiles sont partout et même au Japon, malgré leurs valeurs et leur conservatisme, eux aussi protègent les êtres les plus immondes de ce monde.

 

#Fsociety