Christian Amédée HENNION – Pédo Colon Itinérant



PROFIL

  • 1949?-1999 (même la BNF ne sait pas quand il est né, « serait mort à 50 ans le 31 août 1999 »)
  • journaliste à Libération de 1975 à 1995
  • actif au sein du FHAR – front homosexuel d’action révolutionnaire
  • militant associatif, successivement éducateur, instituteur puis infirmier à la clinique psychiatrique de La Borde dirigée par Jean OURY et Felix GUATTARI dans le Loir-et-Cher
  • pédocriminel itinérant, voyage, viole et traumatise des enfants tout au long de sa vie
  • pédocriminel qui garde Franck DEMULES sous son emprise pendant 10 ans


EN DÉTAIL

Impunité, tolérance, complaisance ? Des journalistes (psys, avocats, policiers) qui ne voient pas ce qui se passe sous leur nez sont de très mauvais journalistes (psys, avocats, policiers), soit (a minima) coupables de complicité et de non-assistance à personne en danger, soit des pédocriminels eux-mêmes. En tant que chroniqueur judiciaire à la rubrique des faits divers de Libération, HENNION disposait de contacts privilégiés avec les autorités et le Quai des Orfèvres. Qui sont ces premiers maillons de la justice qui le renseignaient en étant incapables de détecter ce détraqué ? Quasi seule la presse Cambodgienne donnera des informations au sujet de Christian HENNION, c’est comme si Internet avait été nettoyé !! Mais ne faisons pas l’éloge de la presse Cambodgienne puisque (avec ses confrères internationaux) non seulement elle se ravira d’exhiber les visages de certains des enfants victimes et survivants, mais en plus, le Phnom Penh Post usera d’un sortilège bien connu qui consiste à avoir recours à la magie des deuxièmes prénoms, et tentera de rendre le pédocriminel en série anonyme en ne l’appelant pas « Christian » mais « Amédée HENNION ». Il y a tellement de disparités ! À commencer par sa date de naissance… tantôt on lit qu’il est mort à 50 ans en 1999, tantôt on lit qu’il a été arrêté alors qu’il était âgé de 53 ans en 1997… même l’institution maçonnique qu’est la Bibliothèque Nationale de France met un point d’interrogation sur son année de naissance. Mais QUI le protégeait ? 




France, 1977 – 1986 : HENNION détient Franck DEMULES sous son emprise 

Un enfant, une mère seule. Un pédo qui serpente et s’immisce dans leur vie jusqu’à obtenir la garde partagée de l’enfant. HENNION a perçu la vulnérabilité d’une femme et de son fils et il a attaqué. Franck DEMULES a subi les viols, attouchements, l’emprise, la violence et la coercition de Christian HENNION de ses10 à 18 ans. Franck DEMULES. « Tout mon être a été colonisé par cet homme… Pendant toutes ces années, je n’ai dû dormir que trois nuits dans ma chambre. Je me couche avec ce dos, cette haleine, ces fesses, ce torse. Je me réveille avec ce même torse, ces mêmes poils, cette même haleine. Dormir avec lui, c’est le rôle que je déteste le plus. Ce mec me remue l’estomac. » Après la publication de son livre (Un petit tour en enfer, 2009), Franck DEMULES assure avoir reçu quelques messages d’excuses de la part de deux ou trois journalistes de Libération. Les autres, selon lui, se sont tus, quand ils ne l’ont pas évité, lorsqu’ils le croisaient accidentellement en soirée. « Non seulement tu es victime, mais en plus tu culpabilises d’en parler. C’est ça le problème de la pédophilie : les victimes sont coupables. C’est la double peine. Non seulement, on te vole ton enfance, mais en plus tu fais chier tout le monde à raconter ce que tu as vécu. » (boywiki.org) Question au sujet de Marianne FAITHFULL et des soeurs Carla et Valeria BRUNI auprès desquelles Franck DEMULES travaille. Questions vis-à-vis des conseils donnés à Franck concernant les psychiatres qu’il devait consulter et les cliniques psychiatriques et les centres de désintoxication dans lesquels se faire interner. Livre DEMULES : « À Noël, les sœurs BRUNI décident de l’envoyer dans une clinique de désintoxication. Ils lui ont suggéré d’aller au centre d’Eric Clapton dans les Caraïbes, puis ont opté pour une institution recommandée par Marianne FAITHFULL, près de Paris. » Marianne FAITHFULL suggère le docteur CHANÉAC et la clinique psychiatrique de Crosne, et Carla BRUNI orientera DEMULES vers la clinique de Jean Lapointe au Québec, dans laquelle il aura une « révélation »…




Libération ou le pédo-journal Français

Vous savez déjà que Libé est un vivier de pédos : MATZNEFF,  COHN-BENDIT, HENNIG, HOCQUENGHEM, défense de POLANSKI, liberté de dire qu’un garçon de 11 ans avait « demandé à être sodomisé lui-même » (Jacques DUGUÉ). De 1975 à 1995 HENNION est journaliste à Libération, autour de lui personne ne voit rien. 

  • Serge JULY : « J’ai souvent croisé cet adolescent et il était difficile de dire s’il était seulement le protégé de Christian HENNION, son fils adoptif ou son amant. Et je n’avais pas cherché à approfondir. » Voilà, l’ancien DG de Libération qui emploie le terme « amant » pour parler du pédocriminel journaliste Christian HENNION et de sa relation avec sa victime âgée de 10 ans. Dans la nécrologie de HENNION qu’il écrit en 1999, JULY vomi le pedigree du pédo et mentionne son arrestation au Cambodge en 1997. En revanche, JULY ne parle pas de pédocriminalité mais de « racket ». Omettre, sciemment ? On émet l’hypothèse qu’à un tel poste JULY n’est pas analphabète. 
  • Marc KRAVETZ : « journaliste » (qui n’a rien vu, ou n’a rien voulu voir), grand adorateur de Christian HENNION, fait ses éloges de : « La Chronique des flagrants délits… l’une des marques distinctives du journal ». 
  • Une « journaliste » : « On était tous plus ou moins au courant, mais on n’a rien fait. Aujourd’hui, je m’en veux. Christian nous disait qu’il prenait des bains tous les soirs avec Franck, et nous, on faisait des blagues, on lui demandait ce qu’il faisait avec ce gamin. L’avocat de la mère avait plaidé que c’était scandaleux de donner la tutelle à un homo, en parlant de Christian. Ça, par contre, ça avait choqué tout Libé. On était complètement irresponsables à l’époque. »
    Franck Demules : « Il n’y a pas qu’au journal que les gens ne se sont pas interrogés, ne m’ont pas interrogé sur ma relation avec Christian. Partout où je suis allé avec mon tuteur – je devrais dire pédocriminel mais je n’y arrive pas – personne ne m’a jamais demandé. Ni les amis intellos de Christian, ni ses amis psys, avocats, banquiers, juges, ou personnalités du show-business. C’était normal pour tout le monde. Personne ne m’a jamais demandé si j’étais heureux, juste heureux. »

HENNION aurait quitté Libération en 1995. Pédocriminel itinérant multi-rédiviste, il voyage.




Cambodge, 28 Février 1997 : HENNION arrêté 

  • Nombre de victimes estimé : des centaines depuis son arrivée dans le pays en Novembre 1995 
  • Présenté comme un photographe « indépendant » 
  • + de 100 photographies d’enfants partiellement vêtus retrouvées à son domicile
  • 7 garçons sauvés, dont 3 se trouvaient dans la maison au moment de son arrestation
  • Aucune protection des enfants victimes : des survivants de 13 et 14 ans ont été présentés lors de la conférence de presse


Cambodge, 7 Mars 1997 — Phnompenhpost

« Un Français, Amedee HENNION, a été arrêté le 28 Février par la police du bureau Cambodgien d’Interpol, et un Canadien-allemand, nommé Manfred Horst ALBERT par la police, a été arrêté quatre jours plus tard. Les hommes, tous deux âgés de 53 ans, n’avaient pas encore été inculpés au moment de la mise sous presse. Les autorités ont déclaré qu’ils seraient poursuivis en vertu de la nouvelle loi sur la traite des êtres humains et la prostitution, qui prévoit des peines pouvant aller jusqu’à 20 ans d’emprisonnement pour les crimes contre les enfants. HENNION a été arrêté à son domicile par le directeur général d’Interpol au Cambodge, Skadavy M Ly Roun. Après son arrestation, HENNION a été exhibé devant des journalistes au bureau d’Interpol, dans le but, selon M. Skadavy, de soulever « la question des droits de l’enfant ». Près de 100 photographies d’enfants partiellement vêtus, qui, selon la police, ont été trouvées au domicile de HENNION lors de son arrestation, ont été exposées lors de la conférence de presse. La police a indiqué qu’elle détenait sept garçons, dont trois se trouvaient dans la maison au moment de son arrestation. Plusieurs de ses victimes présumées, âgées de 13 et 14 ans, ont également été présentées lors de la conférence de presse. L’une d’entre elles a déclaré que HENNION lui avait versé 4 dollars pour une fellation, à deux reprises. HENNION, présenté séparément aux journalistes, a protesté, clamant son innocence et a déclaré qu’il allait faire une grève de la faim. Skadavy a accusé HENNION d’avoir eu des relations sexuelles avec plus de 100 garçons cambodgiens depuis novembre 1995, date de son arrivée dans le pays. HENNION a déclaré à la police qu’il était un photographe indépendant. D’autres sources affirment qu’il avait dit aux gens qu’il était au Cambodge pour préparer un livre sur les temples d’Angkor. Son arrestation aurait été motivée par des informations fournies par un informateur étranger à Phnom Penh. HENNION a été emmené au tribunal municipal de Phnom Penh trois jours après son arrestation. Il n’a pas été inculpé, mais un juge a ordonné sa mise en détention pour une durée maximale de 4 à 6 mois, dans l’attente d’une enquête judiciaire. … ALBERT, un citoyen canadien né en Allemagne [venu exploiter des enfants au Cambodge], a été arrêté le 4 Mars au café du Capital Hotel, selon M. Skadavy. Il devrait faire face aux mêmes accusations que HENNION, mais les deux affaires ne sont pas liées, a déclaré la police. M. Skadavy a déclaré qu’ALBERT vivait à Bangkok mais qu’il venait fréquemment au Cambodge en tant que touriste, et que son arrestation faisait suite à des plaintes d’enfants. Au moment de l’impression du Post, ALBERT n’avait pas encore comparu devant le tribunal. … La campagne très médiatisée de M. Skadavy contre les pédocriminels a provoqué la stupeur et l’incrédulité des autres policiers et des habitants de Phnom Penh. « Quand j’ai parlé de ce crime à mes policiers, ils ont trouvé ça drôle, ils ont ri », a déclaré Skadavy à propos de l’affaire HENNION. « Mes collègues ont dit pourquoi un homme voudrait coucher avec de jeunes garçons alors que nous avons beaucoup de jeunes filles prostituées disponibles ». Il a ajouté qu’il a également dû expliquer aux mères des victimes ce qu’était un abus sexuel sur enfant. « Elles ne croyaient pas que des relations sexuelles entre des hommes et de jeunes enfants, surtout des garçons, pouvaient se produire. Elles pensaient que [HENNION] enseignait le français à leurs enfants. » 



Cambodge, Juillet 1997

Le jour de son procès, HENNION est accompagné au tribunal par Janine PHILIPPE-MARECHAL, la présidente de l’association démocratique des Français à l’étranger et le consul Français. Son avocat est M. Mom Loch. Deux heures après le début de l’audition, le juge déclare que « l’instruction n’est pas assez complète » et qu’il faut donc la poursuivre. À partir de là : néant. Jusqu’au 31 Août 1999 où la mort de HENNION est annoncée. Les mots de Serge JULY dans la nécrologie du pédo dans Libé (avec des précisions sur les destinations de prédilection du pédo ; avec le mensonge quant à son arrestation ; et une première version des causes de sa mort) : « Il rejoignit Libération en 1975. Il le quitta vingt ans plus tard, voyagea beaucoup, au Sénégal, au Maroc et au Cambodge où il souhaitait s’installer avec son ami, comme photographe. Objet d’une tentative de racket, son ami disparu, il rentra désespéré en France, après avoir connu les prisons khmères. Quelques mois plus tard, ce grand fumeur de gitanes apprenait qu’il était atteint d’un cancer. » Deuxième version de sa mort en 1999 : décédé des suites d’une attaque cérébrale. Pouf. Disparition du pédocriminel multirécidiviste impuni depuis des décennies.  HENNION était proche de la justice (c’est JULY qui le dit dans sa nécrologie) : « Très lié aux magistrats qui donnèrent naissance au Syndicat de la magistrature, il partageait son temps entre les débats sur la justice. » HENNION copinait avec le magistrat Yves LEMOINE, ils pondent un bouquin ensemble en 1980 : « Juges et procureurs histoires d’une perversion » aux éditions Recherches. Dix ans plus tard, en 2009, sort donc le livre de Franck DEMULES. HENNION ne fera jamais de prison pour les viols qu’il a commis par personne ayant autorité. La presse mainstream ne parle plus de l’affaire HENNION. Les infos qui suivent ont été publiées en 2014 sur le blog de Gérard THEVENET : « Durant la seconde moitié des années 90 un autre prédateur racolait ses victimes à Phnom Penh. Il s’agit de Christian HENNION, alors journaliste au journal Libération. Il avait été arrêté à Phnom Penh dans son appartement en compagnie de plusieurs jeunes enfants, et emprisonné dans cette ville. Les services consulaires lui faisaient livrer chaque jour des repas, ce qui me semblait normal. Quelques mois plus tard, il a été libéré pour être expulsé vers la France. Je me souviens que le consul de France de l’époque l’avait récupéré à sa sortie de prison et était allé déjeuner avec lui dans un restaurant de la ville avant de le conduire à l’aéroport. Je ne trouve pas cela très cool, quel besoin pour un Consul d’aller s’asseoir à la même table qu’un aussi sinistre individu ? » On constate qu’en Janvier 2020 le journal Libération a envoyé à l’AFP son communiqué de presse « Libération poursuit son opération de transparence » et qu’il a été repris tel quel par tous les organes de propagande : L’Express, Le Monde, FR24, Ouest France… Nous émettons l’hypothèse que les informations au sujet des conditions de la libération de Christian HENNION ont été nettoyées pendant cette « opération transparence » 



Cambodge : pédocriminalité et exploitation des enfants 

  • 2018 – Dol.gov Child Labor Reports 2018 :
  • Recrudescence du nombre d’enfants exploités à des fins de mendicité dans les zones touristiques… 81,9 % agriculture ; 10,1 % services ; 8,0 % industrie. Aucune information sur les pires formes d’exploitation des enfants, la prostitution et la servitude..
  • Mars 2001 Pédocriminel dénoncé — Peter WRAY et Phelim KYNE, The Phnom Pehn Post – Jon KEELER, ancien directeur de la Phnom Penh’s London School of English, condamné en Novembre 2000 à 3 ans de prison pour « débauche ».
  • 22 Juin 2001Le suspect, un pornographe envisageait un bordel SM, d’enfants — Phelim KYNE et Lon NARA, The Phnom Pehn Post – Pierre GUYNOT, 44 ans, a été arrêté le 31 Mai et fait face à des accusations de débauche impliquant du matériel à caractère pédosexuel, de possession illégale d’armes et de séquestration.  Les preuves suggèrent que GUYNOT vendait ces photos sur Internet. Les abus se sont produits dans l’entreprise de karting de GUYNOT à Sihanoukville, avec des enfants des rues et des garçons « adoptés » de la région de Sihanoukville. GUYNOT est actuellement hospitalisé à l’hôpital provincial de Sihanoukville en raison d’une suspicion de maladie cardiaque. Les techniciens informatiques du projet LEASECP (Law Enforcement Against Sexual Exploitation of Children) du ministère de l’Intérieur ont ouvert l’ordinateur en présence de GUYNOT et du procureur de Sihanoukville le 8 juin. L’analyse par la police des fichiers informatiques de Pierre GUYNOT, soupçonné d’être un pédopornographe français, a révélé des « milliers » d’images pornographiques sadiques de mineurs dont les organes génitaux sont attachés avec des accessoires sadomasochistes ainsi que les plans et les schémas détaillés d’un étrange sex-club basé à Sihanoukville et spécialisé dans les sévices sadomasochistes sur les enfants, le « Donjon de Sihanoukville/Savage Men’s Club ». Les plans indiquaient les prix (« cotisation annuelle de 100 dollars, 75 dollars en cas de test sanguin négatif ») et invitaient les personnes intéressées uniquement par les « garçons S&M » à « expérimenter vos souhaits et essayer votre cauchemar ». Pendant ce temps, des sources du Post à Sihanoukville rapportent que le 20 juin, GUYNOT a reçu une somme d’argent non spécifiée de la part de parents en France, des fonds dont on craint qu’ils ne soient utilisés pour faciliter sa libération.
  • suite GUYNOT : 2 Août 2002Deux personnes libérées dans les procès pour pédophilie à l’étranger — Lon Nara, The Phnom Pehn Post – À Sihanoukville, le citoyen français Pierre GUYNOT a été libéré après que le juge Huon Many a également estimé que les preuves étaient insuffisantes pour le condamner pour débauche. GUYNOT a été reconnu coupable de possession illégale d’une arme et a été condamné à six mois de prison, qu’il a passés en attendant son procès l’année dernière. Son fils adoptif de 21 ans, Ouk Savuth, a été condamné par contumace à trois ans de prison pour séquestration d’un garçon. Le propriétaire d’une entreprise de karting à Sihanoukville, âgé de 45 ans, avait été arrêté en Mai 2001. La décision du juge a consterné la police, les défenseurs des droits de l’homme et l’avocat des victimes. L’avocat Yim Sary s’est plaint que le juge ait rejeté le témoignage de huit des neuf garçons, qui avaient tous entre 10 et 15 ans. Il a également refusé de prendre en compte les nombreuses photographies à caractère pédosexuel prises par GUYNOT, ainsi que le rapport de police. Sary a déclaré que le juge avait ordonné à GUYNOT de payer une amende de 80 dollars à la famille du garçon séquestré, bien que ce soit son fils adoptif qui ait été reconnu coupable de cette accusation. Il a déclaré qu’il ferait appel du verdict. « Ce procès n’était pas équitable », a déclaré Sary. « Le juge a écouté GUYNOT et le témoignage du seul garçon qui s’est rétracté. Il a considéré que le reste des preuves était sans fondement. » Chhrin VANNE, qui a dirigé l’enquête de police, a déclaré que le déroulement du procès était inhabituel, notamment parce que le juge avait élevé la voix à l’encontre des victimes. Malgré le verdict, il a déclaré que l’affaire irait devant la Cour suprême si nécessaire. Un porte-parole de l’ambassade de France a déclaré que GUYNOT pouvait désormais quitter le pays car aucune charge n’était retenue contre lui.
  • 18 Janvier 2002Cambodge – Enfants exploités à des fins de prostitution — Peter LLOYD, Magazine Foreign Correspondent ABC – Australian Broadcasting Corporation – Le commerce du sexe au Cambodge est souvent dépeint comme un service pour les pédocriminels étrangers – de riches Occidentaux qui se rendent en Asie, où règne la pauvreté, pour assouvir des désirs qui les conduiraient en prison ici. Mais la réalité est qu’il s’agit d’une industrie qui sert principalement les hommes Cambodgiens. Foreign Correspondent s’entretient également avec Pierre GUYNOT, un expatrié français accusé de plusieurs chefs d’inculpation d’abus sexuels sur de jeunes garçons. GUYNOT avait même un site web sur lequel il faisait la promotion d’un donjon SM pour pédocriminels. Lors de son procès, des témoignages de garçons et des photos d’enfants portant des cadenas sur leurs parties génitales ont été présentés comme preuves. Le juge les a jugées irrecevables. GUYNOT clame son innocence – tandis que la ministre de la Condition féminine nous dit qu’elle pense que le juge a reçu un pot-de-vin. 
  • 27 Juillet 2007Infiltration dans les bordels d’Asie du Sud-Est —Thembi MUTCH, BBC News – La journaliste Thembi MUTCH a passé sept semaines en Thaïlande et au Cambodge pour découvrir la vie des enfants victimes de la traite dans l’industrie florissante du sexe de la région. RÉCIT DE LA TRAITE – Quant aux enfants victimes de la traite, leurs récits défient les mots.  Au Cambodge, une jeune fille de 15 ans raconte que ses parents l’ont vendue à un homme pour sa virginité. L’homme l’avait droguée et violée alors qu’elle était inconsciente. Après une semaine passée dans une chambre d’hôtel avec cet homme, elle a été vendue dans une maison close. Là, elle a été violée collectivement par 10 hommes se faisant passer pour des clients. Elle s’est échappée en se cachant dans une poubelle, mais elle a été à nouveau victime de la prostitution pendant trois ans. Elle a fini par s’échapper et a frappé à la porte d’inconnus qui l’ont prise en charge.
  • 12 Janvier 2004Frapper l’esclavage là où ça fait mal — Quentin HARDY, Forbes – Une affaire récemment conclue au Cambodge a été une victoire longtemps recherchée. L’affaire a commencé à la fin de l’année 2000 avec des caméra cachées montrant des enfants dans des maisons closes du village d’exploitation sexuelle de Svay Pak, situé à dix kilomètres de la capitale, Phnom Penh.… Les autorités ont dressé la carte d’un commerce systématique et très rentable d’innocents. Les trafiquants d’esclaves promettent aux enfants des zones rurales reculées de travailler ou de recevoir des cadeaux dans des villes éloignées, puis les vendent à des maisons closes pour un montant pouvant atteindre 1 000 dollars. Un rapport sexuel avec ces enfants coûte 30 dollars, contre 5 dollars pour une prostituée adulte au Cambodge. Nos enquêteurs sont arrivés à Svay Pak, et dans les dix minutes qui ont suivi, des proxénètes sont venus nous dire : « Vous voulez des petits ? Je peux avoir des petits petits », raconte Sharon COHN, responsable de l’unité anti-trafic d’IJM. « C’était incroyable – des enfants d’à peine 5 ans ».
  • 3 Janvier 2009Si ce n’est pas de l’esclavage, qu’est-ce que c’est ? — Nicholas D. Kristof, The New York Times – Pross avait 13 ans et n’avait pas encore eu ses premières règles lorsqu’une jeune femme l’a kidnappée et vendue à une maison close de Phnom Penh. La propriétaire de la maison close, une femme comme c’est souvent le cas, a battu Pross et l’a torturée en l’électrocutant jusqu’à ce que l’enfant finisse par acquiescer. Elle est restée enfermée au fond de la maison close, les mains attachées dans le dos, sauf lorsqu’elle était avec des clients. Les propriétaires de maisons closes peuvent demander de fortes sommes pour des rapports sexuels avec une vierge, et comme beaucoup de filles, Pross a été douloureusement recousue pour pouvoir être revendue comme vierge. En tout, le propriétaire du bordel a vendu sa virginité quatre fois. Pross le payait de sa peau chaque fois qu’elle laissait échapper un client potentiel. « J’étais battue tous les jours, parfois deux ou trois fois par jour », a-t-elle déclaré, ajoutant qu’il lui arrivait aussi de subir des chocs électriques deux fois dans la même journée.
  • 2011 Alexander TROFIMOV (pédo reconnu coupable d’avoir payé pour violer des enfants de 6 à 13 ans) gracié par le roi Sihamoni.
  • 2013Affaire du pédo-juge Philippe BROALY, directeur de l’école française de Sihanoukville.
  • 2014 – Virginité à vendre : un commerce choquant au Cambodge – Abigail HAWORTH, The Guardian + Global Development est soutenu par la Bill & Melinda GATES Foundation… – En marge de l’industrie du sexe, un affreux marché de la virginité a vu le jour au Cambodge. Des hommes riches et puissants contraignent des mères désespérées à vendre l’innocence de leurs filles… La croyance selon laquelle les relations sexuelles avec des vierges augmentent la vigueur masculine est depuis longtemps répandue parmi les hommes puissants d’Asie, y compris le président Mao et la dynastie des Kim de Corée du Nord. « Contrairement aux pédophiles qui recherchent des enfants de moins de 10 ans, les hommes locaux ne se soucient guère de l’âge de la vierge, mais seulement de sa beauté et de sa pureté », explique Pung. Les parents qui vendent la virginité de leurs filles ont peu de notions des droits de l’enfant. « Ils considèrent leur progéniture comme leur propriété ».
  • 2015 Cambodge, le commerce du sexe des enfants est soutenu par les parents — Erica WRIGHT Borgen Project – Chaque jour, au Cambodge, des parents vendent leurs enfants à des fins sexuelles. De nombreux parents cambodgiens décident de vendre leurs enfants, dont certains n’ont qu’un mois, parce qu’ils estiment que la vente de leur propre chair et de leur propre sang est le seul moyen de survivre. Un affreux marché de la virginité a vu le jour au Cambodge, dans lequel des hommes riches et puissants contraignent les mères à vendre l’innocence de leurs filles.
  • Mai 2020Le Cambodge accuse un professeur d’anglais britannique d’abus sexuels sur des enfants -WATKIN, un professeur Anglais condamné à trois ans de prison pour abus sexuels commis à l’encontre de deux adolescentes (deux soeurs de 13 et 17 ans). 
  • Février 2021 Un pédophile condamné et emprisonné au Cambodge va revenir à Tampa pour faire face aux accusations – Ruth James CLINE, 40 ans, un avocat de Tampa (Floride) condamné pour actes indécents à l’encontre de mineurs de moins de 15 ans pour avoir payé quatre filles pendant ses visites de pédo-itinérant au Cambodge entre Février et Mai 2019. CLINE a été condamné à deux ans et demi de prison au Cambodge et doit s’acquitter d’une petite amende de $200 et d’une « compensation » de $3 750 pour chacune de ses victimes. La procureur des États-Unis, Maria CHAPA LOPEZ a annoncé cinq chefs d’accusation pour s’être « livré à un comportement sexuel illégal à l’étranger et à un chef d’accusation pour possession d’images à caractère pédosexuel. Il fois qu’il aura purgé sa peine au Cambodge, CLINE sera expulsé vers les États-Unis pour faire face à ces accusations. S’il est reconnu coupable, il encoure une peine maximale de 30 ans de prison pour chaque chef d’accusation et jusqu’à 20 ans pour possession de matériel à caractère pédosexuel. 



CONCLUSION

La traite des enfants organisée par des trafiquants a lieu dans des bars, des maisons closes, des salons de massage… Et comme partout dans le monde, ces criminels sont protégés. La loi prévoit des peines allant de deux à vingt ans de prison mais les pédocriminels condamnés n’effectuent pas la moitié de leurs peines. Les responsables des ONG sont eux-mêmes des trafiquants. Des parents sacrifient leurs enfants. Si les pédos itinérants sont condamnés, on ne peut que constater la puanteur de la facilité avec laquelle ils arrivent à rentrer dans leur pays. À ce propos, on ne peut absolument plus douter du degré d’implication de la diplomatie Française. Les douaniers servent-ils seulement à quelque chose ? Ne sont-ils pas formés au profiling ? Ne vérifient-ils pas les destinations ? N’ont-ils pas accès aux registres des pédocriminels et des auteurs d’infractions sexuelles ? HENNION est rentré libre en France. Corruption vous disiez ? Seulement, HENNION est-il réellement mort ? Ou est-il aussi mort que François ABELLO ?




BONUS PEDOJOURNALISTIQUE : Le Monde, ou le deuxième pédo-journal Français

À PROPOS D’UN PROCÈS – Le Monde, le 26 janvier 1977
Les 27, 28 et 29 janvier, devant la cour d’assises des Yvelines, vont comparaître, pour attentat à la pudeur sans violence sur des mineurs de quinze ans, Bernard Dejager, Jean-Claude Gallien et Jean Burckhardt, qui, arrêtés à l’automne 1973, sont déjà restés plus de trois ans en détention provisoire. Seul Bernard Dejager a récemment bénéficié du principe de la liberté des inculpés. Une si longue détention préventive pour instruire une simple affaire de « mœurs », où les enfants n’ont pas été victimes de la moindre violence, mais, au contraire, ont précisé aux juges d’instruction qu’ils étaient consentants (quoique la justice leur dénie actuellement tout droit au consentement), une si longue détention préventive nous paraît déjà scandaleuse. Aujourd’hui, ils risquent d’être condamnés à une grave peine de réclusion criminelle soit pour avoir eu des relations sexuelles avec ces mineurs, garçons et filles, soit pour avoir favorisé et photographié leurs jeux sexuels. Nous considérons qu’il y a une disproportion manifeste, d’une part, entre la qualification de « crime » qui justifie une telle sévérité, et la nature des faits reprochés ; d’autre part, entre le caractère désuet de la loi et la réalité quotidienne d’une société qui tend à reconnaître chez les enfants et les adolescents l’existence d’une vie sexuelle (si une fille de treize ans a droit à la pilule, c’est pour quoi faire ?). La loi française se contredit lorsqu’elle reconnaît une capacité de discernement à un mineur de treize ou quatorze ans qu’elle peut juger et condamner, alors qu’elle lui refuse cette capacité quand il s’agit de sa vie affective et sexuelle. Trois ans de prison pour des caresses et des baisers, cela suffit. Nous ne comprendrions pas que le 29 janvier Dejager, Gallien et Burckhardt ne retrouvent pas la liberté.
Ont signé ce communiqué : Louis Aragon, Francis Ponge, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Judith Belladona, docteur Michel Bon, psychosociologue, Bertrand Boulin, Jean-Louis Bory, François Chatelet, Patrice Chéreau, Jean-Pierre Colin, Copi, Michel Cressole, Gilles et Fanny Deleuze, Bernard Dort, Françoise d’Eaubonne, docteur Maurice Eme, psychiatre, Jean-Pierre Faye, docteur Pierrette Garrou, psychiatre, Philippe Gavi, docteur Pierre-Edmond Gay, psychanalyste, docteur Claire Gellman, psychologue, docteur Robert Gellman, psychiatre, André Glucksmann, Félix Guattari, Daniel Guérin, Pierre Guyotat, Pierre Hahn, Jean-Luc Henning, Christian Hennion, Jacques Henric, Guy Hocquenghem, docteur Bernard Kouchner, Françoise Laborie, Madeleine Laïk, Jack Lang, Georges Lapassade, Raymond Lepoutre, Michel Leyris, Jean-François Lyotard, Dionys Mascolo, Gabriel Matzneff, Catherine Millet, Vincent Monteil, docteur Bernard Muldworf, psychiatre, Négrepont, Marc Pierret, Anne Querrien, Griselidis Real, François Régnault, Claude et Olivier Revault d’Allonnes, Christiane Rochefort, Gilles Sandier, Pierre Samuel, Jean-Paul Sartre, René Schérer, Philippe Sollers, Gérard Soulier, Victoria Thérame, Marie Rhonon, Catherine Valabrègue, docteur Gérard Vallès, psychiatre, Hélène Vedrines, Jean-Marie Vincent Jean-Michel Wilhelm, Danielle Sallel nave, Alain Cuny.


Sources :1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10

  • Libé : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18
  • Cambodge : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30
  • Marianne FAITHFULL et les soeurs BRUNI : 1, 2, 3
  • « Libé poursuit son auto-examen sur sa tolérance passée envers la pédophilie », comment dire ? l’auto-analyse serait efficace, objective et infaillible ? on a déjà les exemples du clergé et de l’IGPN… vous vous moqueriez pas un peu de nos gueules 20 Minutes ?  

 

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