L’affaire du Texan qui dirigeait un site web référençant des histoires de tortures et de viols d’enfants.
Thomas Alan ARTHUR
Né en 1957 — 64 ans
Terlingua Ranch, Brewster County (Alpine, TX)
Sur internet, Thomas Alan ARTHUR fait la promotion des abus pédosexuels depuis au moins 1997. À cette époque il fréquente « Usenet » et publie des histoires écrites par d’autres déviants pro-pédocriminels inscrits sur le site. À partir de 1996, Thomas Alan ARTHUR dirige le site « Mr.Double », au début, il s’agit de « textes seulement, pas d’images ». Dès 1998, TAA met en place un système de cotisation mensuelle pour que ses membres contribuent et lisent les histoires. Ces abonnés payent une redevance ($10 par mois, $50 pour six mois, et $90 pour un an) pour accéder à plus de 25 000 histoires rédigées par plus de 2 200 auteurs. Les abonnés bénéficient d’un tarif réduit en soumettant 25 000 mots de contenu, sous un pseudonyme. Qui étaient les plus gros contributeurs ? les plus gros donateurs ? Pédo-méticuleux, Thomas Alan ARTHUR approuvait chacune des histoires avant leur publication sur « Mr.Double ». Le site référençait des histoires et des illustrations de viols, de tortures et de meurtres d’enfants et de bébés. Pour donner un exemple des prétendues « fictions » postées par ARTHUR, entre les histoires de tortures et de démembrements, il y a la description du viol d’un nourrisson étouffé par sa couche ! Les cinglés ! « MrDouble.com » est lié au site « Doublespeakeasy », un autre forum pro-pédo dans lequel les membres postaient des descriptions détaillées de leurs »fantasmes » de dégénérés. Pendant vingt ans, ARTHUR évite les ennuis en suggérant aux utilisateurs de « Mr.Double » de déclarer leurs histoires d’enfants torturés comme des « fantasmes ». ARTHUR demandait aux membres qui échangeaient des images à caractère pédosexuel de le faire en-dehors du site… En plus d’applaudir et de remercier les membres de faire vivre son site à travers leurs « pédo-fantasmes », ARTHUR parlait aussi de sa propre attraction déviante à l’égard des petites filles, les petites filles Mexicaines précisément (rappelons que cette pourriture habitait à la frontière entre le Texas et le Mexique, un des points névralgiques des trafics d’enfants). Le fait que Thomas Alan ARTHUR encourage des pédocriminels et qu’il fasse la publicité des viols d’enfants ne laisse que peu de questions quant au fait qu’il soit un individu très dangereux. Dangereux en tant qu’individu ; et dangereux au travers de son soutien à des activités pédocriminelles. Il a contribué à mettre des enfants en insécurité partout.
Son pédosite, hébergé aux Pays-Bas, a été son unique source de revenus pendant vingt ans. Les autorités Hollandaises ont envoyé les preuves aux autorités Américaines via le Mutual Legal Assistance. Le FBI a utilisé le compte d’un abonné pour télécharger 5 histoires, puis, le FBI a retracé l’adresse IP de « Mr.Double » jusqu’au domicile d’Alpine où Thomas Alan ARTHUR vivait avec sa femme (Sandra ARTHUR). D’après les déclarations sous serment du FBI, le pédo-site affichait plusieurs clauses de non-responsabilité indiquant qu’aucune histoire publiée sur le site n’était basée sur des faits réels. Dans la liste des membres de « Mr.Double » figurait un très grand nombre de personnes ayant des condamnations antérieures, je vous laisse deviner…. viols d’enfants et possession de matériel à caractère pédosexuel. Sur le site, en plus des textes, certaines des pages des membres contenaient des dessins d’enfants exploités. En Novembre 2019, le FBI interpelle ARTHUR chez lui, près de Terlingua Texas, à côté de Big Bend National Park (frontière Mexicaine). « Mr.Double » est mis hors ligne. Les preuves à l’encontre d’ARTHUR permettent d’expédier son procès en trois jours. Un commentaire sous un article attire l’attention : « je me demande bien où il a trouvé une telle bande passante dans un coin comme Terlingua TX. »
L’arrestation de Thomas Alan ARTHUR entre dans le cadre des interpellations opérées par le Project Safe Childhood. Son audience préliminaire s’est déroulée à Alpine, TX. Depuis, il a été signalé que TAA était responsable des viols de son ex-petite-amie et de la fille de cette dernière. Il est possible qu’ARTHUR ait utilisé le nom « Rosa Lopez International » aussi connu sous le nom de « R.L.I. Industries ». (informations de Big Bend Sentinel voir sources) Les autorités ont saisi au moins 25 appareils électroniques, y compris des téléphone portables, des cassettes VHS et des clés USB, dont l’analyse prendra « un temps considérable ». Le FBI a saisi 95 caisses de « livres à caractère sexuel » qui « doivent être inventoriés, catalogués et photographiés / scannés » dans un processus qui « prendra des semaines supplémentaires ». Et alors que les charges contre TAA se concentraient à l’origine sur des textes et des « œuvres d’art » soi-disant « obscènes », les procureurs affirment avoir trouvé du matériel à caractère pédosexuel sur au moins un des appareils saisis. Les autorités ont supprimé le nom du site suite aux enquêtes ouvertes au sujet de plusieurs utilisateurs. Lors de l’interrogatoire, ARTHUR admet gérer le site et déclare que les dessins publiés sont de « l’art ». Il reste à voir si le dossier des fédéraux contre ARTHUR portera sur des textes écrits ou sur tout matériel à caractère pédosexuel trouvé sur sa propriété (condamnation prévue le 19 Avril 2021). Le public apprend non seulement que le site d’ARTHUR lui rapportait entre $10 000 et $14 000 par mois mais qu’il recevait d’autres entrées d’argent d’un autre site web « pornographie adulte » et « d’érotisme ». D’après les autorités, TAA était aussi revendeur d’armes à feu sur internet. Lors de la perquisition, 50 armes à feu, dont des antiquités ont été saisies. TAA vendait également des munitions, qu’il qualifiait lui-même de « perforantes ». Au tribunal, l’avocat de TAA, Mark BENNETT, a fait valoir que son client devrait être libéré sous caution, notant que TAA n’avait pas besoin de licence pour vendre des armes en ligne. Selon son avocat, ARTHUR ne risquait pas de s’enfuir et n’était pas en contact avec des enfants puisqu’il vivait dans un ranch isolé. Le juge David B. FANNIN, qui présidait l’audience, a refusé de laisser sortir ARTHUR sous caution. Le juge FANNIN a également refusé de faire sortir ARTHUR de l’isolement, affirmant que le Service des Marshals américains l’avait placé en isolement pour sa propre protection et qu’il ne voulait pas « saper » leur décision. Thomas Alan ARTHUR a été condamné par un jury fédéral le 21 Janvier à l’issu d’un procès de trois jours. Il a été reconnu coupable de 3 chefs d’accusation de trafic de représentations visuelles obscènes d’abus pédosexuels, de 5 chefs d’accusation de trafic et vente de textes obscènes à caractère pédosexuel et d’1 chef d’accusation d’activité de vente de sujets obscènes impliquants des abus pédosexuels. Flight risk et considéré comme dangereux pour la société étant donné le nombre de preuves contre lui, TAA est détenu sans caution (sa caution a été refusée le 20 Novembre 2019, voir sources).
Ont fait l’annonce : Nicholas L. McQUAID, procureur général adjoint par intérim de la division pénale du ministère de la justice ; Gregg N. SOFER, procureur du Western District of Texas ; et Luis M. QUESADA, Special Agent du bureau du FBI à El Paso Field.
Poursuivent l’affaire avec l’assistance du bureau des affaires internationales du ministère de la justice (Justice Department’s Office of International Affairs) : Austin M. BERRY procureur de la Criminal Division’s Child Exploitation and Obscenity Section ; Monica MORRISON, adjoint du procureur du Middle District du Tennessee ; et Fidel ESPARZA, adjoint du procureur du Western District du Texas.
Ont enquêté sur l’affaire : le FBI ; ICE (U.S. Immigration and Customs Enforcement’s Homeland Security Investigations) ; Texas Department of Public Safety ; et le bureau du Sheriff de Brewster County.
D’après un voisin entendu par NewsWest9, Thomas Alan ARTHUR habitait avec sa femme dans son ranch au Texas depuis 1999 et possédait près de 300 acres de terres, un bunker dans lequel personne d’autre que le couple n’avait le droit de mettre les pieds. La femme de Thomas Alan ARTHUR est Sandra ARTHUR. Tous les deux vivaient « off the grid ». Nom entier de la femme de Thomas Alan ARTHUR : Sandra Joan ARTHUR. Que savait-elle ?
Petit point « federal law – U.S. » :
En vertu de la loi, le gouvernement fédéral Américain peut saisir les biens de toute personne reconnue coupable de certains crimes fédéraux : les documents obscènes dans le cas d’ARTHUR. Une fois qu’une personne est condamnée, le gouvernement doit alors prouver que les biens étaient à la fois impliqués dans l’activité criminelle et que ces biens provenaient du produit de l’activité criminelle ou étaient utilisés pour y contribuer. La loi stipule également que le gouvernement doit identifier la propriété qu’il veut saisir afin que toute personne qui pourrait avoir un droit sur cette propriété puisse se manifester. Une audience aura lieu à ce sujet et une décision finale sera prise. Après quelques recherches…. le ranch d’ARTHUR à Terlingua a été en vente au prix de $450 000 : une maison, plus de 250 acres de terrains et plusieurs dépendances.
Sur internet, Thomas Alan ARTHUR était donc « Mr.Double ». Il utilisait plusieurs adresses : MrDouble @ix.netcom.com ; MrDouble @mrdouble.com. Les sites qu’il administrait : mrdouble.com (mis hors ligne par les autorités) et mrdoubleena.com (hors ligne) ; netcom.com/~mrdouble/main/stories.htm (hors ligne) ; why.net/user/mrdouble/htm/stories2.htm (hors ligne).
En recherchant « Mr.Double » sur Internet, les résultats vous suggèrent un site toujours actif ASSTR (« alt.sex.stories ») sur lequel est publié un texte intitulé « Women Boy Lovers » écrit par John RAYMOND. Dans le footer de cette page internet : « A MrDouble Production — Copyright 1998-2014 ». Citation de cette horreur : « ce livre prouve que, partout dans le monde, les garçons désirent avoir des relations sexuelles aussi tôt que possible ». « ASSTR » (alt.sex.stories) est un groupe en ligne lié à USENET lancé en Mai 1992 par Tim PIERCE. USENET a été l’une des premières fonctionnalités de l’Internet, populaire bien avant son ouverture au public en 1994. Les groupes de discussion, généralement hébergés sur des serveurs universitaires, servaient de « tableaux d’affichage » avant l’invention du World Wide Web. À la fin des années 1990, l’utilisation (et l’abus) de USENET pour le partage de fichiers a explosé. Avant que les serveurs et les fournisseurs d’accès Internet ne commencent à bloquer ou à désactiver USENET dans les années 2000, c’était « the place to be » pour les trolls. Des téraoctets de pornographie, d’images à caractère pédosexuel, de films piratés, de musique, ou logiciels commerciaux. En plus d’être l’administrateur du groupe alt.sex.stories, Tim PIERCE est un informaticien confirmé, il travaille pour ADOBE. Il réside à Berlin (Massachusetts). Auparavant, PIERCE a travaillé pour Curoverse (Boston), Google (Mountain View Californie), Akamai Technologies (Cambridge), Rnk Telecom. PIERCE serait passionné de généalogie, on le retrouve sur Rootsweb.com, Inc et Ancestry.com. Il est ingénieur logiciel Unix depuis 1993 et se concentre sur Linux et FreeBSD depuis 1994. PIERCE a étudié au Amherst College Massachusetts (classe de 1993) et à Saint Ann’s School, Brooklyn, NY (classe de 1988). PIERCE serait donc né aux alentours de 1970 et aurait étudié au Amherst College MA ce qui explique le « . EDU » de ses adresses mail. Je suppose qu’il a lancé USENET lorsqu’il était à l’université..
Sur son profil Flickr, Tim PIERCE partage des photos, dont celles qui semblent des photos de vacances d’une famille : Quin, Morgan et Rachel ; il partage aussi le lien de son site unchi.org. « Copyright 2000-2004 Tim PIERCE et Ellen SEEBACHER ». « Unchi n’a pas de signification à proprement parler. Le unChi Project a sélectionné ce nom de façon à masquer nos activités face aux forces du Chi ». Qui est Ellen K. SEEBACHER ? Son nom apparaît dans des listes USENET. Elle est domiciliée à la même adresse que PIERCE : 2 village Ln Berlin, MA 01503 (Whitepage). Dans la bio Twitter : on apprend qu’Ellen Keyne SEEBACHER 55 ans, est « auteur, éditrice » et doula (simili sage-femme) à Sawyer Hill Birth. Il y a aussi un lien vers editwrite.unchi.org. SEEBACHER serait diplômée d’une licence de psychologie et des sciences du comportement de l’université de Chicago. Ellen parle Anglais, Allemand, Espagnol, Portugais, Italien, Français, Suédois, et la langue des signes Américaine. Sur son site http://www.sawyerhillbirth.org, on apprend qu’Ellen vit dans dans un éco-village : « Sawyer Hill EcoVillage ». Dans l’onglet photo du site de l’éco-village, en cliquant sur « older » on arrive sur une page flickr « Mosaic Commons ». On reconnait les maisons de l’éco-village, et… quand on parcourt les photos ; on trouve Morgan et Quinn en 2005, soit cinq ans AVANT que Tim PIERCE ne partage leurs photos avec Rachel sur son flickr. Sur la page du calendrier du site sawyerhillbirth.org d’Ellen SEEBACHER : le 9 Février 2021 il y avait un événement « LLL ; les bébés et les enfants sont les bienvenus »…. hmmm… LLL ? LLL signifie « La Leche League » ; il s’agit d’une association d’allaitement ! Rien que ça. SEEBACHER est aussi membre de Informed Beginings. Ellen aussi est très branchée généalogie. SEEBACHER est en fait la fondatrice de Rootsweb avec Tim PIERCE Brian LEVERICH, Karen ISAACSON, Maragaret J. OLSON, Bills MILLS, John PIMENTEL, W. Fred RUMP… on retrouve SEEBACHER sur les publications du New England Regional Genealogical Consortium et en tant que contributrice « bisexualité ». Quand vous faites vos arbres généalogiques, les data, c’est pour ces gens.
Sources Thomas Alan ARTHUR : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19.
US v. Thomas Alan ARTHUR ; plaide non coupable ; caution refusée
Sources Tim PIERCE & Ellen SEEBACHER : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20
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